Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Il suffit d’une chanson grésillant dans un transistor reprise en murmures par le vieil alcoolique pour déchirer ce rideau naturaliste et rappeler, tout au bout de cette rengaine d’existences mortes nées, que Ray et Liz est aussi et surtout, peut-être, un grand film d’amour fou.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La sobriété de la mise en scène appliquée à un environnement aussi âpre n’empêche pas la sophistication de l’ensemble. Magnifique.
Transfuge
par Louis-David Texier
Les personnages sont scrutés par la caméra, l'écriture est ciselée, le cadrage précis, les décors très travaillés, et le film est porté par des intentions et un phrasé digne des romans de Witold Gombrowicz.
CNews
par La rédaction
Ce premier long-métrage, aussi fort et puissant que les clichés de l’artiste, se décline en trois souvenirs et en trois époques distinctes.
L'Express
par Christophe Carrière
Le parti pris esthétique, avec ses cadres soignés dans un format carré et une lumière blafarde, frise le maniérisme et peut finir par lasser, mais le propos et l'interprétation accrochent et interpellent. Comme toute oeuvre singulière.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si cela rappelle Mike Leigh, dans le fond on trouve aussi des correspondances souterraines entre ce tableau sans pitié de l’Angleterre nue et la poétique trilogie de Bill Douglas.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Seul le cinéma britannique a cette touche strictement «matter of fact», pour restituer le monde des prolétaires. Il ne quête ni approbation ni réprobation, recense avec une honnêteté sans coquetterie comme sans apitoiement les moindres détails de ce paysage familial. Belle ambition d’artiste, justement accomplie.
Le Monde
par Mathieu Macheret
En ne dissimulant rien des errements de ses parents, Billingham pose sur eux un regard paradoxal, à la fois tendre et cruel, aimant et impitoyable, qui lui permet d’approcher l’âpreté même de l’indigence sociale, sans avoir à verser dans les écueils répandus du misérabilisme ou de l’édulcoration.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Instantanés d’une enfance dans le chaos des années Thatcher, "Ray & Liz"est un portfolio déglingué et formidablement émouvant d’un outre-monde qui se passe bien des sentiments, d’une zone grise du monde trop longtemps refoulée et expulsée par son réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Billingham aime ses personnages indignes, ce qui sauve son film. Comme un bouquet, il fait une composition affreuse, belle et méchante de corps, de boutures et de bêtise : greffon humain, floral, animal, amalgame curieux, bestiaire naturaliste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Loin d'être voyeuriste ou misérabiliste, le film montre un lumpenprolétariat qui vit malgré tout, et pour lequel la solidarité n'est pas un vain mot.
Télérama
par Cécile Mury
Ni colère, ni empathie, ni le moindre autre affect apparent. Juste un regard singulier, unique, une chronique de l’abandon.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Une peinture grinçante du prolétariat sous l’ère Thatcher, par le photographe Richard Billingham, qui déborde de tendresse pour la classe sociale de son enfance, et qui parvient de ce fait à nous nous interroger sur notre propre relation au passé et à la famille.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Les Billingham sont représentés dans toute leur âpreté, sans pour autant que leur soit confisquée une douceur cachée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par La Rédaction
Découpé en trois chapitres retraçant des faits précis à des époques différentes, Ray and Liz souffre d’un rythme très lent et d’un certain manque de fluidité mais l’image façonnée par Billingham, elle, est (forcément) fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Audrey Planchet
Billingham tombe régulièrement dans le piège de l’illustration en faisant de son passé un objet de fétichisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Les images sont prégnantes mais le récit réduit à une suite d’anecdotes contemplatives.
L'Obs
par François Forestier
La démarche est louable. Mais « Ray & Liz » ressemble à une purge.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thomas Baurez
Billingham scrute les détails de la vie de ses géniteurs à la manière d’un entomologiste. Mais sa façon de nous donner à voir ainsi ce couple si malsain s’enfoncer dans son malheur nous enferme dans une pénible position de voyeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Première
par Sophie Benamon
Des séquences de vie de famille aussi déprimantes que grotesques.
Cahiers du Cinéma
Il suffit d’une chanson grésillant dans un transistor reprise en murmures par le vieil alcoolique pour déchirer ce rideau naturaliste et rappeler, tout au bout de cette rengaine d’existences mortes nées, que Ray et Liz est aussi et surtout, peut-être, un grand film d’amour fou.
Sud Ouest
La sobriété de la mise en scène appliquée à un environnement aussi âpre n’empêche pas la sophistication de l’ensemble. Magnifique.
Transfuge
Les personnages sont scrutés par la caméra, l'écriture est ciselée, le cadrage précis, les décors très travaillés, et le film est porté par des intentions et un phrasé digne des romans de Witold Gombrowicz.
CNews
Ce premier long-métrage, aussi fort et puissant que les clichés de l’artiste, se décline en trois souvenirs et en trois époques distinctes.
L'Express
Le parti pris esthétique, avec ses cadres soignés dans un format carré et une lumière blafarde, frise le maniérisme et peut finir par lasser, mais le propos et l'interprétation accrochent et interpellent. Comme toute oeuvre singulière.
L'Humanité
Si cela rappelle Mike Leigh, dans le fond on trouve aussi des correspondances souterraines entre ce tableau sans pitié de l’Angleterre nue et la poétique trilogie de Bill Douglas.
Le Figaro
Seul le cinéma britannique a cette touche strictement «matter of fact», pour restituer le monde des prolétaires. Il ne quête ni approbation ni réprobation, recense avec une honnêteté sans coquetterie comme sans apitoiement les moindres détails de ce paysage familial. Belle ambition d’artiste, justement accomplie.
Le Monde
En ne dissimulant rien des errements de ses parents, Billingham pose sur eux un regard paradoxal, à la fois tendre et cruel, aimant et impitoyable, qui lui permet d’approcher l’âpreté même de l’indigence sociale, sans avoir à verser dans les écueils répandus du misérabilisme ou de l’édulcoration.
Les Fiches du Cinéma
Instantanés d’une enfance dans le chaos des années Thatcher, "Ray & Liz"est un portfolio déglingué et formidablement émouvant d’un outre-monde qui se passe bien des sentiments, d’une zone grise du monde trop longtemps refoulée et expulsée par son réalisateur.
Libération
Billingham aime ses personnages indignes, ce qui sauve son film. Comme un bouquet, il fait une composition affreuse, belle et méchante de corps, de boutures et de bêtise : greffon humain, floral, animal, amalgame curieux, bestiaire naturaliste.
Positif
Loin d'être voyeuriste ou misérabiliste, le film montre un lumpenprolétariat qui vit malgré tout, et pour lequel la solidarité n'est pas un vain mot.
Télérama
Ni colère, ni empathie, ni le moindre autre affect apparent. Juste un regard singulier, unique, une chronique de l’abandon.
aVoir-aLire.com
Une peinture grinçante du prolétariat sous l’ère Thatcher, par le photographe Richard Billingham, qui déborde de tendresse pour la classe sociale de son enfance, et qui parvient de ce fait à nous nous interroger sur notre propre relation au passé et à la famille.
Les Inrockuptibles
Les Billingham sont représentés dans toute leur âpreté, sans pour autant que leur soit confisquée une douceur cachée.
Rolling Stone
Découpé en trois chapitres retraçant des faits précis à des époques différentes, Ray and Liz souffre d’un rythme très lent et d’un certain manque de fluidité mais l’image façonnée par Billingham, elle, est (forcément) fascinante.
Critikat.com
Billingham tombe régulièrement dans le piège de l’illustration en faisant de son passé un objet de fétichisme.
Le Journal du Dimanche
Les images sont prégnantes mais le récit réduit à une suite d’anecdotes contemplatives.
L'Obs
La démarche est louable. Mais « Ray & Liz » ressemble à une purge.
Première
Billingham scrute les détails de la vie de ses géniteurs à la manière d’un entomologiste. Mais sa façon de nous donner à voir ainsi ce couple si malsain s’enfoncer dans son malheur nous enferme dans une pénible position de voyeur.
Première
Des séquences de vie de famille aussi déprimantes que grotesques.