Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Elle
par Clémentine Goldszal
Formellement épatant, filmé en subtil noir et blanc, Clair-Obscur est un superbe premier film aux résonances très intimes.
20 Minutes
par Caroline Vié
Deux amies métisses se retrouvent par hasard dans le New York des années 1920. L’une assume d’être noire, l’autre se fait passer pour blanche. Dans le superbe « Clair-obscur », Rebecca Hall explore leur relation en évitant tout manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le travail sociologique et émotionnel entrepris par Rebecca Hall est colossal, très contemporain et d’autant plus admirable qu’il est profondément intime.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Raphaël Iggui
Avec la réalisation intimiste et travaillée de Rebecca Hall, Clair-Obscur évite le piège larmoyant pour proposer une réflexion théâtralisée, verbeuse, mais surtout passionnante sur l'intériorisation du racisme, des discriminations, les questions d'identité individuelles et collectives... à travers un triangle amoureux moins carré qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Constance Jamet
Un récit magnétique et délicat.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Produit par Forest Whitaker, ce drame, à la mise en scène élégante qui lorgne du côté de Todd Haynes et à la photographie sublime (accentuée par le noir et blanc et le format carré), aborde la question du racisme, à travers deux portraits de femmes complexes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Camille Nevers
C’est une merveille de miniature, travaillée avec plus d’aplomb que de délicatesse, à la façon de Virginia Woolf (on songe de loin, pour l’étude féminine subjectiviste, à Mrs Dalloway, publié quatre ans avant le roman de Larsen).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Sans didactisme, Clair-Obscur, dans sa peinture d’un milieu peu représenté, se révèle d’une grande finesse, jouant du sous-texte pour démystifier l’assimilation, cette fable qui réintroduit tous les conditionnements de la servitude et de la soumission lorsque survient une crise majeure impliquant les forces de l’ordre.
Télérama
par La Rédaction
Un premier long métrage élégant et troublant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Un double portrait de femme au pouvoir d’attraction fascinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Clair-Obscur est le plus saisissant quand il adjoint à son histoire de race et de classe, une histoire de désir saphique réprimé et entrevoit de nouer une réflexion sur les différents pôles des minorités.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Une oeuvre d’une grande maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
L’actrice Rebecca Hall, pour une fois derrière la caméra, enrobe son scénario, jamais manichéen, mais qui s’éparpille un peu, dans une réalisation en noir et blanc de toute beauté.
Elle
Formellement épatant, filmé en subtil noir et blanc, Clair-Obscur est un superbe premier film aux résonances très intimes.
20 Minutes
Deux amies métisses se retrouvent par hasard dans le New York des années 1920. L’une assume d’être noire, l’autre se fait passer pour blanche. Dans le superbe « Clair-obscur », Rebecca Hall explore leur relation en évitant tout manichéisme.
CinemaTeaser
Le travail sociologique et émotionnel entrepris par Rebecca Hall est colossal, très contemporain et d’autant plus admirable qu’il est profondément intime.
Ecran Large
Avec la réalisation intimiste et travaillée de Rebecca Hall, Clair-Obscur évite le piège larmoyant pour proposer une réflexion théâtralisée, verbeuse, mais surtout passionnante sur l'intériorisation du racisme, des discriminations, les questions d'identité individuelles et collectives... à travers un triangle amoureux moins carré qu'il n'y paraît.
Le Figaro
Un récit magnétique et délicat.
Le Journal du Dimanche
Produit par Forest Whitaker, ce drame, à la mise en scène élégante qui lorgne du côté de Todd Haynes et à la photographie sublime (accentuée par le noir et blanc et le format carré), aborde la question du racisme, à travers deux portraits de femmes complexes.
Libération
C’est une merveille de miniature, travaillée avec plus d’aplomb que de délicatesse, à la façon de Virginia Woolf (on songe de loin, pour l’étude féminine subjectiviste, à Mrs Dalloway, publié quatre ans avant le roman de Larsen).
Positif
Sans didactisme, Clair-Obscur, dans sa peinture d’un milieu peu représenté, se révèle d’une grande finesse, jouant du sous-texte pour démystifier l’assimilation, cette fable qui réintroduit tous les conditionnements de la servitude et de la soumission lorsque survient une crise majeure impliquant les forces de l’ordre.
Télérama
Un premier long métrage élégant et troublant.
aVoir-aLire.com
Un double portrait de femme au pouvoir d’attraction fascinant.
Les Inrockuptibles
Clair-Obscur est le plus saisissant quand il adjoint à son histoire de race et de classe, une histoire de désir saphique réprimé et entrevoit de nouer une réflexion sur les différents pôles des minorités.
Première
Une oeuvre d’une grande maîtrise.
Télé 7 Jours
L’actrice Rebecca Hall, pour une fois derrière la caméra, enrobe son scénario, jamais manichéen, mais qui s’éparpille un peu, dans une réalisation en noir et blanc de toute beauté.