Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Alex Masson
La sérénité méditative de ce film n'est qu'apparente, laissant sourdre une inconsolable peine qui le rend bouleversant.
L'Obs
par François Forestier
Un récit profondément humaniste.
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
"Manta Ray" est une œuvre ambitieuse, au rythme lent, qui laisse présager le meilleur pour la carrière de son réalisateur.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Mêlant, au sens propre comme au figuré, lumière et obscurité, cette fable onirique et politique à la réalisation brillante explore les mystères en miroir de l’altérité et de l’identité, sur un scénario souvent sibyllin mais résolument, et jusqu’au bout, envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Un film fascinant sur l’étranger, l’étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Ce premier long-métrage prometteur, qui avance à pas lents dans une ambiance onirique, donne cependant parfois le sentiment de s’en tenir un peu trop à une atmosphère vaporeuse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Métaphore sur l’accueil et sur l’identité d’un peuple privé de voix, le film recèle une beauté formelle et une poésie qui imposent au spectateur son charme tenace.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
A la façon d'une rêverie fantomatique, son récit avance ainsi au fil de belles images mystérieuses tour à tour oniriques et réalistes.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La bromance liant ici les deux jeunes hommes est traitée avec une élégance et une retenue assez sublimes. [...] "Manta Ray" marque l'éclosion d'un nouvel espoir du cinéma thaïlandais.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Hubert Niogret
Même si le scénario a manqué d'éléments pour construire vraiment une narration, le film fascine par sa beauté visuelle attachée aux éléments naturels, des mystères non élucidés qui mettent toujours le spectateur dans l'attente.
Première
par Thierry Chèze
Son côté abscons constitue sa limite et on éprouve régulièrement le sentiment qu’Aroonpheng se regarde un peu trop filmer. Mais le geste cinématographique reste fort pour un premier long.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
L’expérience sensorielle en reste au niveau d’une certaine joliesse sans réellement créer d’échos formels entre chronique d’une d’amitié, métaphore politique et timide allégorie sur la possession.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film se perd ensuite dans des volutes fantasmatiques : puisque chacun des personnages se révèle n’être que le rêve de l’autre, ils se diluent tous deux dans l’imaginaire et nous font perdre le contact avec eux.
Libération
par Didier Péron
La joliesse photographique de "Manta Ray" finit par taper un peu sur les nerfs, car elle transforme en performance arty des destins lestés a priori de trop de douleurs et d’abandons généralisés pour ne devoir supporter qu’une guirlande d’ampoules en guise de soutien moral.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Premier long métrage du Thaïlandais Phuttiphong Aroonpheng, lauréat de nombreuses récompenses et notamment du Grand Prix de la section Orizzonti de la dernière Mostra de Venise, Manta Ray est un objet cinématographique intrigant, mais quelque peu nébuleux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
La sérénité méditative de ce film n'est qu'apparente, laissant sourdre une inconsolable peine qui le rend bouleversant.
L'Obs
Un récit profondément humaniste.
La Septième Obsession
"Manta Ray" est une œuvre ambitieuse, au rythme lent, qui laisse présager le meilleur pour la carrière de son réalisateur.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant, au sens propre comme au figuré, lumière et obscurité, cette fable onirique et politique à la réalisation brillante explore les mystères en miroir de l’altérité et de l’identité, sur un scénario souvent sibyllin mais résolument, et jusqu’au bout, envoûtant.
Télérama
Un film fascinant sur l’étranger, l’étrangeté.
Critikat.com
Ce premier long-métrage prometteur, qui avance à pas lents dans une ambiance onirique, donne cependant parfois le sentiment de s’en tenir un peu trop à une atmosphère vaporeuse.
La Croix
Métaphore sur l’accueil et sur l’identité d’un peuple privé de voix, le film recèle une beauté formelle et une poésie qui imposent au spectateur son charme tenace.
Le Journal du Dimanche
A la façon d'une rêverie fantomatique, son récit avance ainsi au fil de belles images mystérieuses tour à tour oniriques et réalistes.
Les Inrockuptibles
La bromance liant ici les deux jeunes hommes est traitée avec une élégance et une retenue assez sublimes. [...] "Manta Ray" marque l'éclosion d'un nouvel espoir du cinéma thaïlandais.
Positif
Même si le scénario a manqué d'éléments pour construire vraiment une narration, le film fascine par sa beauté visuelle attachée aux éléments naturels, des mystères non élucidés qui mettent toujours le spectateur dans l'attente.
Première
Son côté abscons constitue sa limite et on éprouve régulièrement le sentiment qu’Aroonpheng se regarde un peu trop filmer. Mais le geste cinématographique reste fort pour un premier long.
Cahiers du Cinéma
L’expérience sensorielle en reste au niveau d’une certaine joliesse sans réellement créer d’échos formels entre chronique d’une d’amitié, métaphore politique et timide allégorie sur la possession.
Le Monde
Le film se perd ensuite dans des volutes fantasmatiques : puisque chacun des personnages se révèle n’être que le rêve de l’autre, ils se diluent tous deux dans l’imaginaire et nous font perdre le contact avec eux.
Libération
La joliesse photographique de "Manta Ray" finit par taper un peu sur les nerfs, car elle transforme en performance arty des destins lestés a priori de trop de douleurs et d’abandons généralisés pour ne devoir supporter qu’une guirlande d’ampoules en guise de soutien moral.
aVoir-aLire.com
Premier long métrage du Thaïlandais Phuttiphong Aroonpheng, lauréat de nombreuses récompenses et notamment du Grand Prix de la section Orizzonti de la dernière Mostra de Venise, Manta Ray est un objet cinématographique intrigant, mais quelque peu nébuleux.