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Ce film raconte l’histoire de Naïma qui vit à Cannes. À 16 ans elle se donne l’été pour choisir ce qu’elle veut faire dans la vie, sa cousine Sofia, au mode de vie attirant, vient passer les vacances avec elle. Ensemble, elles vont vivre un magnifique été.
Ce film ne m'a pas vraiment séduit. J’ai trouvé l’histoire assez complexe et chiant, les acteurs ne sont pas époustouflants mais j’ai adoré la technique du film avec de supers plans. Cela reste film correct que beaucoup de gens peuvent aimer.
Bref c’est un film qui ne va pas me marquer mais je vous le conseille tout de même car il peut vous plaire.
Ce film ne m'a pas vraiment séduit. J’ai trouvé l’histoire assez complexe et chiant, les acteurs ne sont pas époustouflants mais j’ai adoré la technique du film avec de supers plans. Cela reste film correct que beaucoup de gens peuvent aimer.
Bref c’est un film qui ne va pas me marquer mais je vous le conseille tout de même car il peut vous plaire.
A part qques images de jolies plages Azur, et qques jolies chansons samba do brazil, que sauver de ce navet de l'année ? Le film est creux, mais creux...encore plus creux qu un épisode des Marseillais à Ibiza. Interminable d'ennui, de clichés, et de philosophie de comptoir mal déclamée. Malgré les efforts de la réalisatrice pour tenter de nous faire passer l'actrice principale pour une Bardot des temps modernes, ça ne prend jamais et on a plutôt l'impression d'assister à des rushes d'une soeur Bogdanov, trop mauvais pour être montés dans 'les anges de la telerealite' (si si, c'est possible). Une étoile pour Mina Farid et qq jeunes seconds rôles, qui malgré la fatuité des dialoguistes, parviennent à être crédibles. Comment les médias ont ils pu relayer à ce point là promo de ce vide intersidéral , et faire croire à la révélation ?! Je m'etouffe quand je lis des supposés parallèles avec Rohmer. J'ai aimé les précédents films de la réalisatrice, mais ça n'empêche pas de garder un sens critique, et de juger ce film ci pour qu'il est: Consternant et ennuyeux !
Un pur navet. Zahia complètement refaite joue horriblement mal. Si c’est ça la liberté des femmes, montrer son derrière dans une robe transparente, c’est bien triste.
Entre souvenirs de vacances sous le soleil et découverte d'une jeunesse torride, Une Fille Facile se place comme un film français d'été où Zahia est bien trop mise en avant pour son corps plutôt que pour son jeu d'actrice.
Un film léger de fille légère ? Ce serait trop simple... Si le film se laisse regarder facilement au rythme des vagues et de la bossa ensoleillée, il fait réfléchir sur les relations humaines : histoire de deux amies l'une belle et libre, déjà femme, l'autre moins à l'aise et fascinée (mais non envieuse) par cette cousine qui lui ouvre la porte d'un autre monde ( celui des riches). Relation entre la belle et le riche, rapport de séduction et d'argent, relation faussée d'entrée de jeu, où l'amorce d'un attachement ressenti est immédiatement rejeté car l'autre ne peut qu'être intéressé (l'homme par le physique, la femme par l'argent). Relation entre cette jeune femme et le monde qui la juge hâtivement pour son physique et ce qu'elle en fait ( elle l'assume et le montre sans pudeur) comme si elle ne pouvait être que cela, ce dont elle ne s'offusque pas. Relation entre un homme mûr et bienveillant et une jeune femme en devenir qui peut basculer et perdre ses valeurs. Relation entre deux hommes dont l'amitié est mise à mal par la différence de revenus. Relation entre les domestiques irrespectueux voire haineux et les jeunes femmes qu'ils jugent hâtivement faciles. A la fin, pour celle qui a su rester fidèle à ses valeurs ( amis, travail qu'elle aime et par lequel elle se réalise), il ne reste que des objets matériels sans réel intérêt et le souvenir d'un été particulier.
PORTRAIT D'UNE JEUNE FILLE EN FEU. J'espère que la routourne va vite tourner. Rebecca Zlotowski emploie Zahia pour surfer sur la vague de la polémique. De plus, elle est comparé à Bardot, je m'étrangle. Les poupées gonflables c'est fantastique mais ça se perse. Créature gâchée, tes ailes sont froissées. Zahia qui lit du Marguerite Duras pour un plan cul. L'été est vraiment meurtrier.
ferdinand75
Un bon film , encore un fois de Rebecca Zlotowski. Cette fois un sujet tout simple sur les vacances l'été sur la côte d'Azur, où vont se rencontrer les milliardaires en goguette, avec leurs yachts amarrés au port, et les habitants locaux ( surtout les jeunes filles ) qui peuvent être attirées comme des lucioles par toutes ces lumières et ces paillettes . C'est tout à fait vrai et peut être constaté chaque été à Cannes, St Tropez, ou Juan les Pins. Ici les deux jeunes filles , maghrébines locales sont cousines mais très différentes , l'une à 16 ans encore scolaire avec un principe et des règles de vie assez stricte et une moralité solide , mais elle est entrainée par sa cousine délurée , probablement escort- girl à Paris. Grâce à elle , elle va passer l'été sur un yacht de luxe accompagnant deux jet- setters, dans les fêtes et les journées en mer. . La complexité et le challenge du film est de faire jouer le rôle de cet Escort à Zahia , c’est à la fois tellement vrai ( c'est son propre rôle) et en même temps très déstabilisant , car on ne peut pas croire à cette" vérité" , comme un double miroir , est -ce du cinéma? de la vérité ? du vrai –faux ? Cela est très perturbant, mais Zahia s'en tire très bien , mutine ,espiègle , coquine , rien à redire , elle fait le taf très bien . L’autre jeune est aussi très bien dans son personnage de jeune fille , qui veut quand même profiter de l’été, mais sans y perdre son âme, ce qu’elle réussira. Bruno Magimel est excellent, très juste . Et la scène avec Clotilde Coureau est un régal, avec ce dialogue désopilant sur Marguerite Duras. Ce qui prouve la très grand intelligence de Rebecca Zlotowski; réalisatrice sur qui il faut vraiment compter , car on assiste à la scène classique de l’arroseur arrosé., mais avec un caractère social. Le final aussi est très fort , ne tombant pas dans aucun excès, juste normal, pas de dramatisation , ni de moralisation. .Un finish hyper pragmatique.
bsalvert
Difficile de savoir si ce film porte un message tant l'actrice principale surjoue Bardot, le film en est pénible.
Rebecca Zlotowski a du talent à n'en pas douter, elle sait capter une partie de l'esprit des étés méditerranéens mais c'est difficile de nous passionner pour ces personnages assoupis par le soleil et l'argent. Elle montre une jeunesse rétif à toute forme d'engagement, de sentiment, c'est un phénomène assez nouveau tant la jeunesse est souvent l'exaltation des sentiments. La qualité de son style, c'est qu'elle ne juge pas ses personnages, le défaut c'est un certain manque de psychologie dans ce portrait, d'etre rester à la surface des choses. Zahia Dehar est filmée avec tout ses attributs, son visage est étrange et en cela c'était un bon choix. Pourquoi une fille de moins de 30 ans a-t-elle recours à la chirurgie esthétique
Je connais de loin l'affaire Zahia comme de nombreuses personnes mais physiquement, croyez le ou non elle ne m'attire pas plus que cela. J'ai donc regardé ce film par pure curiosité de la voir passer d'escort girl à actrice dans ce rôle...
spoiler:
d'escort girl,
de fille facile. J'ai de suite senti en voyant les plans et en écoutant les dialogues que l'on a cherché à faire un film d'auteur, un peu à l'ancienne, Zahia alias Sofia dans le film veut se la jouer un peu trop Bardot mais cela sonne assez faux. Bel effort cependant mais je pense que pour se faire une véritable idée sur son supposé talent de comédienne elle devrait jouer un autre rôle que son propre rôle. Là, Zahia prenait toujours le dessus sur Sofia, en tout cas, pour ma part j'ai eu du mal à me détacher de Zahia. Sa seule scène réellement intéressante est dans l'échange avec Clotilde Courau et ça ne dure pas longtemps. J'ai de loin préféré Mina Farid alias Naïma que je trouve beaucoup plus belle que Zahia et dont le rôle et l'histoire ici sont bien plus travaillés. J'aurais aimé spoiler: qu'elle perce l'abcès avec sa cousine à propos de sa façon de vivre
mais ça ne vient jamais, Sofia reste cette femme peu loquace, frivole, fragile et fuyante et Naïma spoiler: ne se laisse pas emporter dans son mode de vie, ce que l'on craint tout le film
mais spoiler: gardera à tout jamais un souvenir de cette parenthèse, de Benoît Magimel alias Philippe et de sa cousine sur ce yacht avant de reprendre sa vie normale..
Certains personnages comme celui de Nuno Lopes alias Andres sont vraiment secondaires et peu approfondis. Bilan ça manque de profondeur, de tension, d'intrigues, de folie et de dialogues de qualité même si la photographie et certains plans sont plutôt beaux avec de superbes paysages. Un film féministe? Euh comment dire, oui à la liberté et à l'émancipation des femmes mais sur cette voie là même si c'est malheureusement dans l'ère du temps, est-ce un bon exemple à donner aux jeunes femmes? Beaucoup à dire sur ce sujet tout comme là propos du leitmotiv du film spoiler: "Qu'est-ce qu'être libre?"
de fille facile. J'ai de suite senti en voyant les plans et en écoutant les dialogues que l'on a cherché à faire un film d'auteur, un peu à l'ancienne, Zahia alias Sofia dans le film veut se la jouer un peu trop Bardot mais cela sonne assez faux. Bel effort cependant mais je pense que pour se faire une véritable idée sur son supposé talent de comédienne elle devrait jouer un autre rôle que son propre rôle. Là, Zahia prenait toujours le dessus sur Sofia, en tout cas, pour ma part j'ai eu du mal à me détacher de Zahia. Sa seule scène réellement intéressante est dans l'échange avec Clotilde Courau et ça ne dure pas longtemps. J'ai de loin préféré Mina Farid alias Naïma que je trouve beaucoup plus belle que Zahia et dont le rôle et l'histoire ici sont bien plus travaillés. J'aurais aimé spoiler: qu'elle perce l'abcès avec sa cousine à propos de sa façon de vivre
mais ça ne vient jamais, Sofia reste cette femme peu loquace, frivole, fragile et fuyante et Naïma spoiler: ne se laisse pas emporter dans son mode de vie, ce que l'on craint tout le film
mais spoiler: gardera à tout jamais un souvenir de cette parenthèse, de Benoît Magimel alias Philippe et de sa cousine sur ce yacht avant de reprendre sa vie normale..
Certains personnages comme celui de Nuno Lopes alias Andres sont vraiment secondaires et peu approfondis. Bilan ça manque de profondeur, de tension, d'intrigues, de folie et de dialogues de qualité même si la photographie et certains plans sont plutôt beaux avec de superbes paysages. Un film féministe? Euh comment dire, oui à la liberté et à l'émancipation des femmes mais sur cette voie là même si c'est malheureusement dans l'ère du temps, est-ce un bon exemple à donner aux jeunes femmes? Beaucoup à dire sur ce sujet tout comme là propos du leitmotiv du film spoiler: "Qu'est-ce qu'être libre?"
RealPrime
Zahia, rendue célèbre par l'affaire judiciaire métant en scène sa personne d'escort girl à 2 stars du ballon rond français, se voit pour la quasi première fois sur le grand écran. Ici elle joue une "fille facile" comme le dit le titre, aussi bien pour son parler franc et sans grand tabou, montrer et étalé son corps à moitié ou totalement nu sur les plages ou dans la rue vêtue de robe tellement transparentes qu'elles ne lui servent finalement plus à rien. L'avantage du film est de montrer la différence nette entre les personnes de classes moyennes à celles bien plus riches comme ici, les propriétaires de yacht. Un pur film d'auteur sélectionné à la quinzaine de Cannes qui montre aussi les échanges virulents entre ados lorsque ceux-ci se rende compte que leur propres amis cotoyes ces riches inconnus. Moyen donc mais des scènes érotiques aussi osées que filmées comme s'ils ont étaient dans un film X, certes pour certains spectateurs ce n'est pas désagréables d'en voir mais cela reste pervers au niveau global du film. Enfin, Zahia est une jeune femme ayant bien changée visuellement car on voit la chirurgie esthétique à 2km, puis ces vêtements, choisis personnellement ou pas, ils ne la remette pas en valeur par rapport à son passé d'escort. Tout est dit.
Bonjour,
Pas d histoire pas de colle vertébrale sur ce film, le vide sidéral, plus rien à dire même pas, 100 caractères à vous donner sorry
Pas d histoire pas de colle vertébrale sur ce film, le vide sidéral, plus rien à dire même pas, 100 caractères à vous donner sorry
Alors bien entendu il y a la beauté impressionnante, envoûtante et presqu'irréelle de Zahia. Mais cette comédie romantique estivale est bien plus que cela. C'est un portrait en creux de ces personnages cachés derrière un masque. Celui des jet-setteurs que rien n'intéresse vraiment à part la facilité acquise grâce à leurs moyens démesurés. Et ce masque revêtu par des personnages un peu perdus dans des illusions futiles. L'humanité, les sentiments n'ont pas de place entre les deux et au final la déception n'en est que plus grande.
Une très belle surprise que ce très beau film qui n'est pas sans rappeler "Et Dieu Créa la Femme".
Une très belle surprise que ce très beau film qui n'est pas sans rappeler "Et Dieu Créa la Femme".
pas d'intrigue ou d'histoire, uniquement une narration sans interet
Ce film ne véhicule que des bons gros clichés sexistes:
- la femme est vénale,
- une femme en robe courte ne cherche forcément qu'à coucher
- une femme belle et sexy est forcément cruche
- une femme libre sexuellement a forcément très envie d'un mec qui pourrait être son père.
Et dire que ce film est tourné par une femme :-/
Si vous êtes romantique : passez votre chemin !
Si vous êtes un bon gros macho et/ou quelqu'un qui a envie de se rincer l œil sur Zahia : je vous le conseille !
- la femme est vénale,
- une femme en robe courte ne cherche forcément qu'à coucher
- une femme belle et sexy est forcément cruche
- une femme libre sexuellement a forcément très envie d'un mec qui pourrait être son père.
Et dire que ce film est tourné par une femme :-/
Si vous êtes romantique : passez votre chemin !
Si vous êtes un bon gros macho et/ou quelqu'un qui a envie de se rincer l œil sur Zahia : je vous le conseille !
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