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Fargo Boy
87 abonnés
164 critiques
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0,5
Publiée le 2 septembre 2019
Quel ennui !! On attend on attend...et à chaque fois le peu qu'on avait deviné se passe. Il n'y a pas grand chose et surtout pas grand chose à dire et à écrire.
Ce film interroge sur les intentions de la réalisatrice. Sur le plan formel, le film est plutôt réussi, mais il me semble que l'on ne peut faire l'économie du fond et des débats qu'ils engendrent…
Il s'agit d'un film totalement bling-bling et faire de Zahia une icône féministe peut questionner… La fascination pour le fric peut déranger, surtout qu'elle ne s'accompagne d'aucune autre aspiration. La tirade sur Marguerite Duras est grotesque et les références à Rohmer sont ridicules. Les filles chez Rohmer n'aspirent pas ou peu à des sacs Chanel et à des bijoux de luxe. Le désir passe par autre chose. La promotion de la femme objet comme modèle féministe me paraît très étrange. Enfin, le côté social est totalement improbable avec une mère femme de ménage visiblement mère célibataire qui habite dans un appartement à Cannes avec vue sur mer et balcon traversant et en étage élevé s'il vous plaît… La réalisatrice ne sait pas de quoi elle parle...
Heureusement que l'histoire se déroule sous le soleil de la côte d'azur, ça nous rappelle les vacances !. A part ça, ce film n'a aucun intérêt. On s'ennuie et les acteurs jouent mal. La pauvre Zahia, défigurée par la chirurgie esthétique, ressemble à la petite soeur des Bogdanoff. Elle récite son texte comme une poésie à l'école . Bref, elle croit nous faire rêver alors qu'elle nous fait pitié. Désolant !
J'ai beaucoup aimé ce film et son ambiance. En plus, ayant vécu à Cannes quand j'étais enfant et adolescente, ce fut un plaisir pour moi de revoir cette ville dans ce film. Pour moi le rôle le plus important dans cette histoire c'est la jeune fille de 16 ans (et non pas sa cousine de 22 ans). C'est à travers le regard de cette jeune fille qu'on ressent toute l'histoire et tout ce qui s'y trame. Elle est lycéenne et on nous raconte ses vacances d'été, une année quand sa cousine a débarqué. J"ai aimé suivre ces vacances là.
mauvais film à la morale douteuse!une héroine fascinée par sa cousine refaite et dont la vie frole la prostitution,on pe ut u réver mieux!mal joué ff ilmé à la va vite quelle idée de l avoir présenté au festival!A part la présence de Clotilde Courau qui reléve un peu le niveau !rien à signaler sinon un magnifique air de Vivaldi !achetez le cd!
Jamais une actrice novice ou actrice tout court ne m a donné tant d émotions dans un jeu si cupide et si profond. Zahia mène le film. Quel casting et subtilité des rapports de force entre ces hommes qu on qualifierait de simplement humains .
Magnifique, ce film est magnifique. J'y allais pour la promesse que représentaient les interviews de Rebecca Zlotowski et Zahia Dehar lors du festival de Cannes, et l'audace de renverser l'image de cette dernière. J'en reviens avec le souvenir d'une mise en scène magistrale, accompagnée de superbes choix musicaux et de plusieurs dialogues admirables. Quelques minutes suffisent pour saisir que, bien au-delà de ses seules comédiennes, la cinéaste a pour projet de faire un grand film de cinéma aux plans et montage sophistiqués. En la matière, on est frappé par la fluidité des enchaînements, la variété des plans et leurs effets de cadrage. La musique participe de cette ambiance solaire et colorée. L'histoire, elle, est au fond très simple : une adolescente de 16 ans vivant à Cannes reçoit la visite d'une cousine de 22 ans pour l'été et s'avère fascinée par sa liberté de mœurs. Sofia aime séduire, si possible des gens riches, et elle l'exprime ouvertement. Les deux jeunes femmes rencontrent alors deux riches jetsetteurs vivant sur un yoat. Ce récit, au-delà de sa beauté formelle, est une réflexion sur les indécentes inégalités qui caractérisent le monde contemporain. Quantité de plans disent l'écart irrationnel entre les dominants richissimes et les sans-grade tenus de se taire, de s'excuser, de mater sans toucher. Sofia et sa cousine sont des go-between soumises à un jeu des apparences où l'on teste leur culture, leurs goûts, leur conversation. Mais l'autre passeur est assurément Philippe, joué par l'impérial Bruno Magimel. Ses échanges avec l'adolescente, qui semblent longtemps ambigus, illustrent très bien le rôle de tuteur que jouent certains adultes extérieurs pour une jeunesse en quête de repères. Tout cela est servi par des dialogues souvent très bien écrits. Ceux qui iront pour la plastique de Zahia Dehar ne seront sans doute pas déçus, tant Rebecca Zlotowski dévoile constamment le corps de sa comédienne. Un appât charnel qui mène vers des plaisirs plus intellectuels, poétiques et cinéphiliques...
Très beau nouveau film de Rebecca Zlotowski, bizarrement Zahia n’est à aucun moment que désir de fantasmes à mes yeux de spectateurs. Loin de cela, comme le sentiment quel n’est jamais véritablement présente à l’écran. On la regarde, on l’admire mais elle n’est déjà plus là, comme l’été elle nous quitte sans même nous prévenir. Elle représente une certaine incertitude face au futur et en même tant aussi un fantasme. Très drôle séquence par ailleurs, que Zahia parle de « La Douleur » de Duras sur le balcon de la propriété de Clotilde Courau. Avec la présence à table de Benoit Magimel qui joue dans « La Douleur » d’Emmanuel Finkiel sortie l’année dernière. J’adore ce moment comme toutes les scènes avec Magimel et la talentueuse Mina Farid.
Quand on veut se moquer des spectateurs, des gens on fait ce genre de film qui non seulement n'apporte rien, est mal joué mais en plus véhicule des idées machistes et patriarcales. Magimel là-dedans. C'est le grand déclin ! 0,3/5
Une réalisation trop facile pour cette fille du buzz footballeur call-girl yatch brésilien à mettre en scène, nulle coquetterie, ennuyeuses femmes actrices, les yeux rincés, ne bavez pas, Cannes, Provence Côte d’Azur, Méditerranée, les vacances un de ces jours comme idée futile.
Il s'agit bien d'un film pornographique ? Si tel est le cas alors le film est réussi , dans le cas contre , c'est un des plus navet que j'ai pu m'infliger . Les dialogues sont d'une pauvreté affligeante. Il n y aucun scénario , aucune histoire a raconter bref c'est le néant . Même B.Magimel est y a perdu son charisme c'est dire a quel point c'est mauvais , je me demande ce qu'il est allé faire dans ce navet.
Film d'été qui aurait pu être sympa si bien joué. J'ai rarement vu une actrice aussi nulle que cette Zaya... Elle ne joue pas, elle récite comme une petite fille. Tout est misé sur son physique : joli corps mais visage boursouflé difficile à apprécier...
Franchement soporifique. Quant au jeu de Zahia, triplement bof. La mise en scène est plutôt pas mal par contre, mais le choix des actrices est douteux, voire limite. Je veux bien voir Zahia à l'écran, mais dans un Marc Dorcel... Là, par contre, le succès serait assuré.
Superbe prolongement de l'été. Cette comédienne Mina Farid est géniale. Toute en spontanéité on la croirait sortie d'un des meilleurs Kechiche. L'histoire est bien plus maligne que ce que le pitch laisse penser. Un film sur la lutte des classes.