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Hervé L
80 abonnés
639 critiques
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1,0
Publiée le 18 février 2020
Une succession de très gros plans sur de l eau qui coule et des glaçons qui flottent autour de la banquise et des esquimaux pas très malins ou fortement alcoolisés roulent en voiture au dégel coulent et se noient bêtement. Mettre une caméra sous la pomme de douche donne le même résultat mais ne fait pas un film dommage le sujet aurait pu être bien
Le spectacle de l'eau sous toutes ses formes qui nous saute aux yeux et nous rappelle que cet élément reste plus que jamais très précieux. A voir absolument.
Je dois dire que je partais avec une certaine appréhension mais qui c'est vite dissipée tant ce documentaire m'as mis une claque. Pour moi, c'est plus qu'un documentaire, c'est une experience à vivre en salle. Amateur de sensations, foncez le voir, vous ne le regretterez pas !
La décennie cinéma 2020 s'annonce bien ! Aquarela un film nécessaire, urgent, qui nous rappelle à quel point nous sommes petits face à la nature. D'une grande virtuosité, magnifiquement mis en scène, c'est un chef d’œuvre. Sans aucun doute, je peux déjà dire que Aquarela fera parti de mon top 10 de la décennie. Victor Kossakovsky est un réalisateur à suivre.
Film brouillon , sans fil conducteur avec une musique horrible . la sequence de sauvetage des voitures au debut du film traine en longueur , et sans le moindre interet. quel est le veritable sujet du film ??? l'eau est un danger pour l'humain ???
Le réalisateur russe Viktor Kossakovsky (Gunda - 2020) nous emmène dans un voyage spectaculaire à la découverte de l’eau dans tous ses états. Cet élément naturel (qui est aussi le plus précieux sur Terre) peut se montrer sous différents visages, calme ou meurtrier et sous différentes formes, solide, liquide ou gazeux.
Il est allé aux quatre coins du globe pour la filmer sous toutes ses coutures, des eaux glacées du lac Baïkal en Russie aux icebergs du Groenland, en passant par l’ouragan Irma dévastant Miami ou encore l’impériale chute du Salto Ángel au Venezuela (la plus haute du monde, culminant à plus de 970 mètres).
Filmée à 96 images par seconde, les images sont saisissantes et nous permettent de découvrir d’une toute autre façon cet élément pourtant si familier. Qu’elle soit glacée, tempétueuse, brumeuse ou submersive, Aquarela - L'Odyssée de l'eau (2019) met en lumière l’eau et lui offre le rôle principal d’une odyssée envoûtante (mais répétitive).
Après s’être intéressé à l’eau, Victor Kossakovsky s’intéressera quelques années plus tard au béton avec Architecton (2024), une exploration fantasmagorique et méditative de l’architecture, avec des images à couper le souffle.
J 'attendais beaucoup de ce documentaire et en particuliers de belles photos, des images magnifiques. les images se succèdent sans queue ni tête et il n'y a aucune beauté là dedans. Je n'ai pas vu l'intérêt de ce film. Je suis visiblement passé à côté de ce film mais plusieurs personnes sont parties avant la fin à ma séance. Dommage!
Formidable, voici une oeuvre de cinéma sans compromis qui place l'humain face à la grandeur de la nature, et ici tout est gigantesque. Les images, le son, les mouvements, chaque plan est d'une précision à nous bouleverser. Un immanquable qui restera pour longtemps.
Certes les images sont magnifiques, étonnantes... Mais où est l'acte cinématographique dans ce documentaire ? Pourquoi nous rendre témoins lors de la première scène d'une noyade à la fois cruelle et débile ? Quitte à fixer pendant des heures la mer et l'eau, autant le faire face à la "vraie" mer et pas dans une salle de cinéma.