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Note moyenne
1,6
10 titres de presse
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Filmsactu
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Le Parisien
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Les Fiches du Cinéma
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Télérama
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Le Figaro
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Le Journal du Geek
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Le Monde
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Libération
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Nice-Matin
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Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Filmsactu
Même si le film sera considéré comme un autre crachat en pleine figure des fans de comics, il reste un blockbuster plus acceptable que tous les autres "Venom", "Morbius" et "Madame Web". Ça reste un film régressif et pas à la hauteur certes, mais parmi les bêtises que Sony Pictures nous a pondu, il reste le moins atroce, le plus acceptable.
Le Parisien
Efficace et sanglant, à défaut d’être innovant.
Les Fiches du Cinéma
"Kraven the Hunter" est à l'image des précédentes superproductions Sony-Marvel : une œuvre désincarnée, ringarde et insipide.
Télérama
Blockbuster bête, bâclé et allègrement anachronique (tendance Daredevil 2003 ou The Punisher 2004) sans jamais s’excuser de l’être, Kraven the Hunter reste, paradoxalement, le meilleur élément d’une franchise moribonde.
Le Figaro
Comment le réalisateur de "Margin Call" ou de "All is lost" a-t-il pu s’égarer à ce point en réalisant ce navet ?
Le Journal du Geek
Kraven est-il un bon ou un mauvais chasseur ? On y croyait pas, on espérait se tromper mais "Kraven : le Chasseur" va exactement là où on l’attendait… dans le fond du panier des films de super-méchants.
Le Monde
Rien ne tient dans ce récit bancal et rapiécé : acteurs en flagrant délit de surjeu, enchaînements narratifs saugrenus, effets spéciaux bâclés, le tout grevé par une fable œdipienne d’une lourdeur totale.
Libération
Pas grand-chose à retenir de ce petit caprice à 130 millions de dollars, qui ne remplit même pas sa mission première – nous expliquer pourquoi son héros est devenu si méchant.
Nice-Matin
En dépit d’un casting solide : Russell Crowe en papa dur à cuire et Alessandro Nivola en homme rhinocéros bourrin à souhait, entourent le charismatique Aaron Taylor Johnson, et de la présence de J.C Chandor à la réalisation, la proposition est on ne peut plus générique.
Première
Malgré tout ces efforts, Kraven ne va pas assez loin pour basculer dans le camp ou le nanard pur, et nous offrir la possibilité de le savourer au second degré comme Venom. On est simplement face à une production au rabais, avec son scénario ultra basique, ses effets spéciaux low cost et une mise en scène totalement désincarné.