AlloCiné
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Votre avis sur Ava ?
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J’ai l’impression que les films Netflix se ressemblent tous. Réalisation plate, scénario bateau, musique comme tirée d’une bibliothèque gratuite. Bref un film formaté, fait pour plaire ou plutôt ne pas déplaire au plus grand nombre, aguicheur principalement par son casting dont on se demande ce qui peut les attirer dans un tel projet. Le cachet sans doute. Au final ça se regarde comme on mange une purée mousseline / knacki. C’est pas mauvais, ça plait à tous le monde bien qu’on sache que c’est de la cochonnerie et qu’il y a bien mieux.
Aucun intérêt, quel déception j'adore Jessica Chastain et au final clairement c'est nul, elle rattrape même pas le film. Vraiment dommage ça aurai pu être bien ! Un film d'espionnage oui mais pas qui a aucun sens comme celui si ! Même les scènes d'actions sont au final décevante !
L'oscillation scénaristique entre deux fils rouges souligne le manque de matériau pour l'intrigue supposément principale et se ressent douloureusement dans l'alternance d'idées potentiellement intéressantes non exploitées et de stéréotypes lassants. Heureusement le casting sympathique, le rythme dynamique et la clarté (pour ne pas dire le simplisme) du récit divertissent. Un film pour passer le temps...
Des routes de campagne boisée en sortant du Bourget vers le palais des congrès ? Aucune chance ! Une plaque d'immatriculation du 97, à Paris ?! Jamais de la vie ! Dès le départ on se dit que les Américains ont encore fait un film sans se renseigner a minima sur le pays où ils situent l'action. Et puis on se laisse embarquer, Jessica Chastain étant assez crédible en tueuse à gages, sauf quand elle court. Le scénario aurait mérité d'être plus étoffé. La conclusion n'en est pas vraiment une, comme pour ouvrir sur un deuxième opus, sans qu'on soit impatient de le voir.
Un sous produit du cultissime Nikita..... Ce film ne tient que par la beauté féline de J Chastain, les scènes de combat sont comme souvent dans ce genre de film totalement irréaliste............
Encore un film sur une femme fatale, après Zoe Saldana ou Charlize Theron, c'est cette fois-ci Jessica Chastain qui s'y colle. Formée à devenir une tueuse à gages au risque de fuir sa famille pour la protéger, elle se retrouve traquée par sa propre organisation malgré le soutien de John Malkovich dans l'histoire. Pour sortir du lot qu'aurait-il fallu ? Que l'histoire brodée autour du personnage principal soit intéressante ? Raté, les rebondissements autour de la sœur et du copain qu'elles se partagent sont vraiment clichés. Que l'antagoniste soit charismatique ? Colin Farrell s'en sort bien mais ça aurait été pas mal qu'il se montre avant la dernière demi-heure. Peut-être que la fin sauve le tout ? Non plus, elle est banale et mal amenée. "Ava" est un film dispensable qui ne révolutionnera pas grand chose, on dirait qu'il est juste venu cocher la case "Femme fatale" dans le CV de Jessica Chastain.
Film d'action très lambda avec des bonnes scènes d'action, qui sert de petit divertissement sans prétention quelque conque.
Puis porté par une Jessica Chastain en femme badasse qui fait le job.
Puis porté par une Jessica Chastain en femme badasse qui fait le job.
Yves G.
Ava Faulkner (Jessica Chastain) est tueuse à gages. Ancienne militaire, alcoolique en sursis, protégée par son mentor (John Malkovich), elle exécute avec sang-froid les contrats qu'une mystérieuse organisation lui assigne de Paris à Riyad. De retour à Boston auprès de sa mère malade (Geena Davis), elle est confrontée à ses vieux démons tandis que ses commanditaires ont décidé de l'éliminer.
Produit et interprété par une des actrices les plus "bankables" de Hollywood, "Ava" a le mérite de féminiser une figure ultra-virile du cinéma : le tueur à gages façon Jason Bourne ou John Wick. Jessica Chastain est de chaque plan du film - sauf peut-être de ceux trop sportifs où elle est doublée par une cascadeuse en perruque rousse. Mais cette énième resucée de "Nikita" - l'histoire d'une gamine mal dans sa peau transformée en machine à tuer - accumule les tares. Son scénario est d'une platitude désespérante ; ses scènes d'action réussissent à être ennuyeuses ; et pire que tout, des acteurs normalement excellents tels que John Malkovich et Colin Farrell ne réussissent pas à nous faire oublier qu'eux aussi ont des impôts à payer.
Produit et interprété par une des actrices les plus "bankables" de Hollywood, "Ava" a le mérite de féminiser une figure ultra-virile du cinéma : le tueur à gages façon Jason Bourne ou John Wick. Jessica Chastain est de chaque plan du film - sauf peut-être de ceux trop sportifs où elle est doublée par une cascadeuse en perruque rousse. Mais cette énième resucée de "Nikita" - l'histoire d'une gamine mal dans sa peau transformée en machine à tuer - accumule les tares. Son scénario est d'une platitude désespérante ; ses scènes d'action réussissent à être ennuyeuses ; et pire que tout, des acteurs normalement excellents tels que John Malkovich et Colin Farrell ne réussissent pas à nous faire oublier qu'eux aussi ont des impôts à payer.
Ava est un divertissement bas de gamme, qui s'inscrit dans la lignée du déplaisant Anna de Luc Besson. Un thriller d'espionnage ultra classique qui propose des scènes d'action tournées avec le cul. Et toute la volonté de Jessica Chastain de sauve pas le film du naufrage
elriad
Maintes fois reproduit, le thème de la femme programmée pour tuer a été abordé au cinéma, mais jamais sans égaler l'original " Nikita", film devenu culte à juste titre. Cette fois, c'est Jessica Chastain qui s'y met, mais malgré une distribution plutôt solide, ( John Malkovitch, Colin Farrel ), le film reste un ersazt sans saveur qui ne dépasse pas le petit film de série B.
Surement un manque d'approfondissement psychologique, d'un passé survolé...
Surement un manque d'approfondissement psychologique, d'un passé survolé...
Cinememories
Si la série B possède ses mentions honorables, cette dernière œuvre de Tate Taylor n’en fera pas partie. Difficile d’ailleurs de comprendre comme ce projet a pu naître ainsi. Les intentions sont vaines, mais les échecs sont bien concrets dans ce festival, qui ne prend même plus la peine de feinter le grotesque puisqu’il est présent pour le définir. Personne ne peut empêcher le naufrage de cette entité, qui n’a pas l’audace de s’affirmer comme un simple objet cinématographique. Miser sur le casting ou Matthew Newton comme scénariste de fortune ne sera ni l’argument que l’on retiendra, si seulement il nous est permis de se remémorer quelque chose de signifiant ou d’intéressant.
Dans un univers lambda à scénario lambda, il faut bien se satisfaire du peu que l’on nous propose, même si ça a le goût du prémâché. Jessica Chastain est Ava, tueuse et soucieuse de la crédibilité de ses victimes. Pas besoin de chercher plus loin l’embrouille du traumatisme de l’enfance, mais on nous le servira volontiers sur un plateau, aussi ennuyeux que peu savoureux, que l’on nomme générique par souci de fainéantise. Et c’est un constat qui s’empare presque de tous les fragments de ce projet, qui a du mal à détourner le cinéma d’action au féminin. Des banalités aux clichés, les raccourcis sont nombreux comme en témoigne le montage, charcuté de toute part. Le cœur même de l’action ne peut séduire, malgré les prouesses de son interprète, égarée à l’image de son personnage qui ne trouvera grâce aux yeux de sa famille ou aux nôtres.
Peut-être que ce challenge était un peu trop ambitieux pour une équipe qui ne savait pas comment appréhender l’adrénaline de ce genre. Ce qui est compréhensible en un sens, mais l’énergie manquante révèle bien plus de cicatrices dans la mise en œuvre. On ne fait que constituer un kit de première nécessité, en laissant l’héroïne « badass » reprendre sa vie en main, que ce soit sur le plan professionnel ou privé. Mais l’architecture du récit n’innove pas et emprunte maladroitement à leur modèle masculin, comme le bruquement cité « Jason Bourne » et encore bien d’autres. Et ce film avance ainsi, offrant la sabre paternité à John Malkovich et en piétinant Colin Farrell dans la peau d’un antagoniste boiteux. En essayant de se forger une propre identité face à un miroir, le film sombre inévitablement dans la surenchère.
Il n’est donc question que d’une « Ava » et de tout ce qui gravite autour de Chastain, également productrice. Mais espérer n’est pas une tactique pour convaincre une audience qui en a vu d’autre et qui mérite un peu plus d’inspirations. Troquer la coiffe ou la teinte de l’Atomic Blonde n’en est pas une. Si le film pouvait promettre ne serait-ce qu’un semblant d’âme et de personnalité, il y aurait eu quelque chose à croquer ou quelque chose à discuter. Malheureusement, ni le portrait de femmes fortes et actuelles, ni l’univers de tueurs à gages n'apporteront de la lumière à notre visionnage.
Dans un univers lambda à scénario lambda, il faut bien se satisfaire du peu que l’on nous propose, même si ça a le goût du prémâché. Jessica Chastain est Ava, tueuse et soucieuse de la crédibilité de ses victimes. Pas besoin de chercher plus loin l’embrouille du traumatisme de l’enfance, mais on nous le servira volontiers sur un plateau, aussi ennuyeux que peu savoureux, que l’on nomme générique par souci de fainéantise. Et c’est un constat qui s’empare presque de tous les fragments de ce projet, qui a du mal à détourner le cinéma d’action au féminin. Des banalités aux clichés, les raccourcis sont nombreux comme en témoigne le montage, charcuté de toute part. Le cœur même de l’action ne peut séduire, malgré les prouesses de son interprète, égarée à l’image de son personnage qui ne trouvera grâce aux yeux de sa famille ou aux nôtres.
Peut-être que ce challenge était un peu trop ambitieux pour une équipe qui ne savait pas comment appréhender l’adrénaline de ce genre. Ce qui est compréhensible en un sens, mais l’énergie manquante révèle bien plus de cicatrices dans la mise en œuvre. On ne fait que constituer un kit de première nécessité, en laissant l’héroïne « badass » reprendre sa vie en main, que ce soit sur le plan professionnel ou privé. Mais l’architecture du récit n’innove pas et emprunte maladroitement à leur modèle masculin, comme le bruquement cité « Jason Bourne » et encore bien d’autres. Et ce film avance ainsi, offrant la sabre paternité à John Malkovich et en piétinant Colin Farrell dans la peau d’un antagoniste boiteux. En essayant de se forger une propre identité face à un miroir, le film sombre inévitablement dans la surenchère.
Il n’est donc question que d’une « Ava » et de tout ce qui gravite autour de Chastain, également productrice. Mais espérer n’est pas une tactique pour convaincre une audience qui en a vu d’autre et qui mérite un peu plus d’inspirations. Troquer la coiffe ou la teinte de l’Atomic Blonde n’en est pas une. Si le film pouvait promettre ne serait-ce qu’un semblant d’âme et de personnalité, il y aurait eu quelque chose à croquer ou quelque chose à discuter. Malheureusement, ni le portrait de femmes fortes et actuelles, ni l’univers de tueurs à gages n'apporteront de la lumière à notre visionnage.
Dik ap Prale
Ce n'est ni Atomic Bombe, ni Au revoir à Jamais, et cette Ava, qui n'est pas non plus la poupée Russe de Besson, laisse une impression de peu de réussite. Tate Taylor ne sait pas quoi faire de toute cette action et on pourrait presque s'ennuyer quand ça touche aux émotions. Pas une réussite ni un revers, mais une proposition différente pour un réalisateur qui aurait dû se voir attribuer d'autres belles propositions de la part de Netflix.
Le film avec une tueuse en vedette a le vent en poupe (enfin pareil chez les hommes mais les versions féminines sont plus récentes).
Mais pourquoi n'aurait-on pas besoin d'un scénario? Tout est décousu, sans rythme, peu crédible, on n'a aucune idée de l'intention narrative.
Mais pourquoi n'aurait-on pas besoin d'un scénario? Tout est décousu, sans rythme, peu crédible, on n'a aucune idée de l'intention narrative.
Une actrice assaillie par le doute doit lutter pour sa propre survie et celle de sa banque après l'échec d'un dangereux film..... Ava est un film qui n'apporte rien tellement l'histoire est vue et archi revue....scénario affligeant, jeu d'actrices-acteurs au minimum syndical, actions grotesques, dialogues insipides, moustache hideuse et la fin pourrait suggérer une probable suite si le succès est au rendez vous....
J'y suis allé pour le casting car la bande annonce n'annoncait rien de bon. C'est donc un Jason Bourne au féminin, encore, et cette fois, c'est Jessica Chastain qui s'y colle... et désolé, mais elle n'est absolument pas crédible. On dirait que le Tout Hollywood veut maintenant son film de baston, mais pour un John Wick, combien d'étrons ? L'histoire est vue et revue (pas loin d'être nulle), la réalisation est paresseuse, et tout le casting traverse le film sans conviction. Dans le genre, préférez le génial Au-revoir à jamais, ou Atomic Blonde ou même Colombiana.
NETFLIX a encore récupéré une daube.
NETFLIX a encore récupéré une daube.
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