Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine du Jeu
Le film entre dans l’intimité de ses personnages, qui est aussi celle de son réalisateur, avec une grande délicatesse.
Critikat.com
par Clémence Arrivé
Pierre Creton ballade ainsi son regard entre tous et chacun, toujours porté par l’intime.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre fiction et vrai faux journal intime, Pierre Creton, ouvrier agricole et cinéaste, auteur du magistral « Va, Toto ! », compose un film sensuel et engagé, où bucolique rime avec mélancolique (superbe BO composée par The Limiñanas et interprétée par Etienne Daho), et aussi avec politique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Tout est assez flottant et dans le même temps très précis et pensé dans le cadrage, l'image magnifique, des nuages impressionnistes passent dans le ciel, les belles salles lumineuses du musée du Havre resplendissent... (...) "Le Bel Eté", sans gesticulations, est le film politique le plus doux et pénétrant qui soit sur l'hospitalité, la liberté, la culture, l'immigration.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
C’est bien cet écart, entre la vie et le cinéma (ou la littérature, ces livres que tous lisent ou déchiffrent, au cours de lectures et de leçons) aussi bien qu’entre les personnages - entre les autres comme soi et soi comme les autres - qu’il nous propose d’habiter un moment entre les vagues.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Niel
"Le Bel Été" n’a rien d’un film militant, il nous emporte plutôt dans l’univers du conte, avec les séquences de lecture de poésie, de Paul Gadenne, puis de Virginia Woolf [...].
Transfuge
par Serge Kaganski
En montrant sans démontrer, en donnant une leçon (de cinéma) sans jamais faire la leçon (de vivre-ensemble), Pierre Creton fait assurément oeuvre de cinéaste.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film invente ainsi un territoire passionnant, à la croisée du village et du monde, du local et du lointain, de soi et des autres, où tout semble enfin redevenir possible.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Pour l’été, Simon et Robert accueillent dans leur maison normande trois jeunes réfugiés venus d’Afrique ainsi que Sophie, une amie écrivaine, Flora, une adolescente, et Nessim, lui aussi migrant. Une chronique poétique étonnante mais souvent trop cryptique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ponctué des remarques parfois éthérées de Sophie, écrivain dont les mots prennent la forme d’une voix off, Le bel été s’étire jusqu’à l’ennui pour un spectateur privé quant à lui des baignades, repas et relations qui font le sel de ces semaines paisible, écarté d’une intimité dont il demeure étranger.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thomas Baurez
Le film laisse toutefois une impression de sur-place où les sentiments semblent comme prisonniers d’euxmêmes.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une peinture lumineuse et languissante pour célébrer l’arrivée de trois jeunes mineurs qui, après avoir traversé la Méditerranée, sont accueillis au cœur d’une communauté. Une version originale, mais déroutante du « vivre ensemble ».
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Le film entre dans l’intimité de ses personnages, qui est aussi celle de son réalisateur, avec une grande délicatesse.
Critikat.com
Pierre Creton ballade ainsi son regard entre tous et chacun, toujours porté par l’intime.
L'Obs
Entre fiction et vrai faux journal intime, Pierre Creton, ouvrier agricole et cinéaste, auteur du magistral « Va, Toto ! », compose un film sensuel et engagé, où bucolique rime avec mélancolique (superbe BO composée par The Limiñanas et interprétée par Etienne Daho), et aussi avec politique.
Les Inrockuptibles
Tout est assez flottant et dans le même temps très précis et pensé dans le cadrage, l'image magnifique, des nuages impressionnistes passent dans le ciel, les belles salles lumineuses du musée du Havre resplendissent... (...) "Le Bel Eté", sans gesticulations, est le film politique le plus doux et pénétrant qui soit sur l'hospitalité, la liberté, la culture, l'immigration.
Libération
C’est bien cet écart, entre la vie et le cinéma (ou la littérature, ces livres que tous lisent ou déchiffrent, au cours de lectures et de leçons) aussi bien qu’entre les personnages - entre les autres comme soi et soi comme les autres - qu’il nous propose d’habiter un moment entre les vagues.
Positif
"Le Bel Été" n’a rien d’un film militant, il nous emporte plutôt dans l’univers du conte, avec les séquences de lecture de poésie, de Paul Gadenne, puis de Virginia Woolf [...].
Transfuge
En montrant sans démontrer, en donnant une leçon (de cinéma) sans jamais faire la leçon (de vivre-ensemble), Pierre Creton fait assurément oeuvre de cinéaste.
Le Monde
Le film invente ainsi un territoire passionnant, à la croisée du village et du monde, du local et du lointain, de soi et des autres, où tout semble enfin redevenir possible.
Les Fiches du Cinéma
Pour l’été, Simon et Robert accueillent dans leur maison normande trois jeunes réfugiés venus d’Afrique ainsi que Sophie, une amie écrivaine, Flora, une adolescente, et Nessim, lui aussi migrant. Une chronique poétique étonnante mais souvent trop cryptique.
La Croix
Ponctué des remarques parfois éthérées de Sophie, écrivain dont les mots prennent la forme d’une voix off, Le bel été s’étire jusqu’à l’ennui pour un spectateur privé quant à lui des baignades, repas et relations qui font le sel de ces semaines paisible, écarté d’une intimité dont il demeure étranger.
Première
Le film laisse toutefois une impression de sur-place où les sentiments semblent comme prisonniers d’euxmêmes.
aVoir-aLire.com
Une peinture lumineuse et languissante pour célébrer l’arrivée de trois jeunes mineurs qui, après avoir traversé la Méditerranée, sont accueillis au cœur d’une communauté. Une version originale, mais déroutante du « vivre ensemble ».