Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
BIBA
par La rédaction
Le film touche au coeur en abordant d'un point de vue féminin la question de la double culture, française et algérienne.
Elle
par Marguerite Baux
Une tragi-comédie subtile et échevelée.
Femme Actuelle
par La Rédaction
D'excellents seconds rôles assoient le réalisme de l'ensemble.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
S’appuyant sur une écriture tout en finesse et un subtil mélange entre traumatisme familial et actualité, grandes joies et deuil impossible, la réalisatrice réussit à dresser un tableau captivant, car plein de vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Les actrices, épaulées par Hafzia Herzi, sont l’atout majeur du film de Yamina Benguigui (...). Ces femmes, déchirées entre deux pays, peuvent toucher.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Les actrices s'en sortent plutôt bien.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si Sœurs rappelle ADN de Maïwenn par son questionnement autour de l’algérianité de femmes françaises, il se révèle davantage structuré, avec des scènes de théâtre qui tiennent lieu de flash-backs et une intrigue qui prend corps peu à peu, jusqu’à atteindre son acmé en Algérie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Comédiennes d'une justesse rare, sincérité évidente et maladresse touchante signalent un tempérament. Une dispute dans un ascenseur d'hôpital restera dans les anthologies.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
L’interprétation troublante et tout en résonances du trio Adjani-Brakni-Maïwenn sauve un récit un peu compliqué.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Sophie Grassin
Yamina Benguigui signe un film autobiographique maladroit qui brasse des questions passionnantes : séquelles du combat du FLN, enlèvement d’enfant, espoir levé par le mouvement du Hirak. C’est trop pour cette mise en abyme fauchée où surnagent le casting et une scène très juste sur la double-culture avec Faïza Guène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Alors, oui, on est ému par ces sœurs et leur mère qui se battent -y compris l’une contre l’autre et sauvagement- contre le machisme, le déni et l’infamie. Mais oui hélas, on est profondément déçu par ce magma qui ne devient jamais un vrai moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Fabien Baumann
Trois sœurs, pour trois films qui n’en font, hélas, jamais un.
Première
par Thierry Chèze
On a le sentiment ici que la cinéaste, tout au message sur ces familles écartelées entre deux continents qu’elle veut faire passer, sacrifie moins la manière de le transmettre et cadre trop les choses pour que son récit se déploie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Yamina Benguigui tend vers un cinéma vérité à la Maïwenn (ici comédienne) sans, hélas, en atteindre la force et la justesse. Reste un trio d’actrices exceptionnel, porté par Adjani.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La démarche est louable mais le récit, dans sa réalisation comme dans son interprétation, se révèle trop démonstratif, alternant entre pathos et hystérie, malgré quelques notes d’humour bienvenues.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Quête identitaire, double culture, sororité, enjeux et dangers de l'autobiographie, le deuxième film de fiction de Yamina Benguigui aborde ces thèmes à travers une succession d'épisodes dont la logique échappe et sans mise en scène.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Hélas, « Soeurs », avec son scénario alambiqué, ses surenchères esthétisantes et ses trois comédiennes en roue libre ( Isabelle Adjani , Maïwenn et Rachida Brakni), ne parvient ni à émouvoir ni à captiver.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) le récit alterne mise en abyme maladroite, scènes démonstratives et rares moments de fantaisie en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
Le film touche au coeur en abordant d'un point de vue féminin la question de la double culture, française et algérienne.
Elle
Une tragi-comédie subtile et échevelée.
Femme Actuelle
D'excellents seconds rôles assoient le réalisme de l'ensemble.
aVoir-aLire.com
S’appuyant sur une écriture tout en finesse et un subtil mélange entre traumatisme familial et actualité, grandes joies et deuil impossible, la réalisatrice réussit à dresser un tableau captivant, car plein de vie.
20 Minutes
Les actrices, épaulées par Hafzia Herzi, sont l’atout majeur du film de Yamina Benguigui (...). Ces femmes, déchirées entre deux pays, peuvent toucher.
Closer
Les actrices s'en sortent plutôt bien.
La Croix
Si Sœurs rappelle ADN de Maïwenn par son questionnement autour de l’algérianité de femmes françaises, il se révèle davantage structuré, avec des scènes de théâtre qui tiennent lieu de flash-backs et une intrigue qui prend corps peu à peu, jusqu’à atteindre son acmé en Algérie.
Le Figaro
Comédiennes d'une justesse rare, sincérité évidente et maladresse touchante signalent un tempérament. Une dispute dans un ascenseur d'hôpital restera dans les anthologies.
Les Fiches du Cinéma
L’interprétation troublante et tout en résonances du trio Adjani-Brakni-Maïwenn sauve un récit un peu compliqué.
L'Obs
Yamina Benguigui signe un film autobiographique maladroit qui brasse des questions passionnantes : séquelles du combat du FLN, enlèvement d’enfant, espoir levé par le mouvement du Hirak. C’est trop pour cette mise en abyme fauchée où surnagent le casting et une scène très juste sur la double-culture avec Faïza Guène.
Le Parisien
Alors, oui, on est ému par ces sœurs et leur mère qui se battent -y compris l’une contre l’autre et sauvagement- contre le machisme, le déni et l’infamie. Mais oui hélas, on est profondément déçu par ce magma qui ne devient jamais un vrai moment de cinéma.
Positif
Trois sœurs, pour trois films qui n’en font, hélas, jamais un.
Première
On a le sentiment ici que la cinéaste, tout au message sur ces familles écartelées entre deux continents qu’elle veut faire passer, sacrifie moins la manière de le transmettre et cadre trop les choses pour que son récit se déploie.
Télé 7 Jours
Yamina Benguigui tend vers un cinéma vérité à la Maïwenn (ici comédienne) sans, hélas, en atteindre la force et la justesse. Reste un trio d’actrices exceptionnel, porté par Adjani.
Le Journal du Dimanche
La démarche est louable mais le récit, dans sa réalisation comme dans son interprétation, se révèle trop démonstratif, alternant entre pathos et hystérie, malgré quelques notes d’humour bienvenues.
Le Monde
Quête identitaire, double culture, sororité, enjeux et dangers de l'autobiographie, le deuxième film de fiction de Yamina Benguigui aborde ces thèmes à travers une succession d'épisodes dont la logique échappe et sans mise en scène.
Les Echos
Hélas, « Soeurs », avec son scénario alambiqué, ses surenchères esthétisantes et ses trois comédiennes en roue libre ( Isabelle Adjani , Maïwenn et Rachida Brakni), ne parvient ni à émouvoir ni à captiver.
Télérama
(...) le récit alterne mise en abyme maladroite, scènes démonstratives et rares moments de fantaisie en roue libre.