Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
BIBA
par La Rédaction
Pudique mais sensuel, qui permet à Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos de briller.
Elle
par Françoise Delbecq
Cette fin ouverte écrite avec Philippe Lioret confirme le talent de la jeune réalisatrice.
L'Express
par Antoine Le Fur
La cinéaste filme avec passion le tandem fiévreux Adèle Exarchopoulos/Niels Schneider. Le talent et le charisme des deux comédiens font le reste.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un drame rugueux que la mise en scène, solaire et organique, accompagne avec une absolue justesse. Une révélation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos forment le couple très charmant de ce drame paysan de Jessica Palud, qui montre les efforts de chacun pour recomposer une famille éclatée. Un film lumineux, à la fois très simple et très juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
La force de ce premier long métrage est, pour électriser une histoire manquant d’originalité, de jouer sur les contrastes : une lumière solaire qui s’oppose à l’âpreté du propos, un ancrage social très réaliste (nourri par la crise du monde agricole) qui sert de terreau à un vrai lyrisme.
Télérama
par Guillemette Odicino
L’argument n’est certes pas neuf (reste-t-on prisonnier, à jamais, de sa terre natale ?), mais il est tendu par un thème sous-jacent, habilement traité : la charge, pour le cadet d’une famille, de prendre la place du mort…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film sensible et sincère, qui va droit au cœur, et pose avec acuité la question du sens des rapports familiaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Avec ce premier film minimaliste, adapté librement d’un roman de Serge Joncour, Jessica Palud convainc par l’atmosphère qu’elle insuffle à cette chronique familiale et par la présence magnétique de Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[Revenir] marque les premiers pas réussis d’une jeune réalisatrice à suivre. Il peut aussi compter sur les subtiles prestations d’Adèle Exarchopoulos et de Niels Schneider, impeccable comme à son habitude.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Entre ciel lumineux et terres ocres, peaux dorées et complicité muette, les personnages de « Revenir » se flairent avec une évidence que la fiction ordonne mais se garde de falsifier. En filigrane, le monde agricole et ses douleurs donne au récit un poids qui le leste sans le plomber. Niels Schneider, étincelant, fait des miracles, et Adèle Exarchopoulos, en jeune mère énergique, touche au cœur. Beau couple. Film ensoleillé.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Dans ce monde rural touché par la misère, baigné par la lumière dorée de l’été, la réalisatrice s’attache à saisir le moindre frémissement de ses personnages, le moindre tremblement qui puisse les éclairer.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le film a à peine le temps d'installer son atmosphère tendue qu'il se termine. Et on reste sur sa faim, sans avoir percé tous les mystères de cette famille en reconstruction…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Personnages stéréotypés, rebondissements sans surprise... Revenir n’apporte pas grand-chose de neuf, ni au film de famille ni dans le regard porté sur le monde paysan.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Revenir parle de tout et de rien (la famille, le malaise paysan, la mort) sans vraiment convaincre sur aucun des sujets qu’il aborde.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Revenir" plonge dans ses travers et aligne des motifs académiques qui nous informent sur ce que nous sommes précisément en train de voir. Le film souffre d’une écriture corsetée et peine à brouiller les lignes trop claires de son récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
BIBA
Pudique mais sensuel, qui permet à Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos de briller.
Elle
Cette fin ouverte écrite avec Philippe Lioret confirme le talent de la jeune réalisatrice.
L'Express
La cinéaste filme avec passion le tandem fiévreux Adèle Exarchopoulos/Niels Schneider. Le talent et le charisme des deux comédiens font le reste.
L'Obs
Un drame rugueux que la mise en scène, solaire et organique, accompagne avec une absolue justesse. Une révélation.
Les Fiches du Cinéma
Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos forment le couple très charmant de ce drame paysan de Jessica Palud, qui montre les efforts de chacun pour recomposer une famille éclatée. Un film lumineux, à la fois très simple et très juste.
Positif
La force de ce premier long métrage est, pour électriser une histoire manquant d’originalité, de jouer sur les contrastes : une lumière solaire qui s’oppose à l’âpreté du propos, un ancrage social très réaliste (nourri par la crise du monde agricole) qui sert de terreau à un vrai lyrisme.
Télérama
L’argument n’est certes pas neuf (reste-t-on prisonnier, à jamais, de sa terre natale ?), mais il est tendu par un thème sous-jacent, habilement traité : la charge, pour le cadet d’une famille, de prendre la place du mort…
aVoir-aLire.com
Un film sensible et sincère, qui va droit au cœur, et pose avec acuité la question du sens des rapports familiaux.
La Croix
Avec ce premier film minimaliste, adapté librement d’un roman de Serge Joncour, Jessica Palud convainc par l’atmosphère qu’elle insuffle à cette chronique familiale et par la présence magnétique de Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos.
Le Journal du Dimanche
[Revenir] marque les premiers pas réussis d’une jeune réalisatrice à suivre. Il peut aussi compter sur les subtiles prestations d’Adèle Exarchopoulos et de Niels Schneider, impeccable comme à son habitude.
Sud Ouest
Entre ciel lumineux et terres ocres, peaux dorées et complicité muette, les personnages de « Revenir » se flairent avec une évidence que la fiction ordonne mais se garde de falsifier. En filigrane, le monde agricole et ses douleurs donne au récit un poids qui le leste sans le plomber. Niels Schneider, étincelant, fait des miracles, et Adèle Exarchopoulos, en jeune mère énergique, touche au cœur. Beau couple. Film ensoleillé.
Le Monde
Dans ce monde rural touché par la misère, baigné par la lumière dorée de l’été, la réalisatrice s’attache à saisir le moindre frémissement de ses personnages, le moindre tremblement qui puisse les éclairer.
Le Parisien
Le film a à peine le temps d'installer son atmosphère tendue qu'il se termine. Et on reste sur sa faim, sans avoir percé tous les mystères de cette famille en reconstruction…
Première
Personnages stéréotypés, rebondissements sans surprise... Revenir n’apporte pas grand-chose de neuf, ni au film de famille ni dans le regard porté sur le monde paysan.
Le Figaro
Revenir parle de tout et de rien (la famille, le malaise paysan, la mort) sans vraiment convaincre sur aucun des sujets qu’il aborde.
Les Inrockuptibles
"Revenir" plonge dans ses travers et aligne des motifs académiques qui nous informent sur ce que nous sommes précisément en train de voir. Le film souffre d’une écriture corsetée et peine à brouiller les lignes trop claires de son récit.