Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
POMPÉI brille de sombres éclats et dessine un territoire aussi bien géographique qu’imaginaire, où les personnages se heurtent à leur propre mystère.
Positif
par Jean-Loup Bourget
[...] en définitive on est conquis par ce laconisme associé à la beauté constante de l’image.
Rolling Stone
par S.R.
On pense à Blade Runner, Sa majesté des mouches, mais avec un romantisme insufflé par la passion partagée par Bille et Hector.
Critikat.com
par Sophie-Catherine Gallet
Si l'on peut regretter que le film manque d’une dernière strate qui le creuserait plus avant, il dégage cependant le charme de ces fins d’été qui s’éternisent et s'achèvent brusquement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Certes, le scénario joue un peu trop la carte de l’abstraction, mais c’est pour mieux mettre en scène ce drame inéluctable, première réalisation d’un duo fort prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Marine Quinchon
« Pompei » a les défauts de ses qualités. Cette ambition visuelle, sensuelle, se réalise au détriment du réalisme et de l'intrigue, à la fois un peu simpliste (les dialogues, peu nombreux mais parfois ridicules, le drame attendu), déconnectée du présent (pas d'ordinateur, pas de téléphone, pas de GPS…) et assez invraisemblable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Comme pétrifié par son titre trop vaste et mémoriel, monumentalisant, le film rougeoie encore, mais d’un feu éteint. « Tu crois vraiment qu’il.y a quelque chose à sortir, ici? » s’enquiert le cadet de Victor. Question que le film lui-même se pose, creusant sans rien promettre, comme fasciné par sa propre stase.
Le Monde
par Murielle Joudet
"Pompéi" fait du surplace et s’il revendique son erratisme, c’est au risque de paraître hors sol et de ne convoquer qu’un travail plastique et maniériste sécrétant des images trop lisses et qui peinent à vibrer.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce drame romanesque est aussi fort de son parti pris esthétique qu’il est faible d’un scénario dont on ne ressent jamais la sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
A la réalisation, le Belgo-Américain John Shank et la Française Anna Falguères transfèrent à la mise en scène et ses ravissants effets d’irréel la charge de faire advenir des significations dont on sent qu’elle ont été hyper cogitées, mais que l’on est bien en peine de déterrer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Malgré une belle attention aux visages, aux paysages et à la lumière, le duo de réalisateurs donne le sentiment qu’il tourne en rond, comme les motos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Christophe Narbonne
De cette rencontre entre le spleen antonionien et "Mad Max" (on exagère la comparaison un chouia), les deux réalisateurs ne tirent rien de probant en dépit du charisme ambigu d’Aliocha Schneider et de Garance Marilier.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Septième Obsession
POMPÉI brille de sombres éclats et dessine un territoire aussi bien géographique qu’imaginaire, où les personnages se heurtent à leur propre mystère.
Positif
[...] en définitive on est conquis par ce laconisme associé à la beauté constante de l’image.
Rolling Stone
On pense à Blade Runner, Sa majesté des mouches, mais avec un romantisme insufflé par la passion partagée par Bille et Hector.
Critikat.com
Si l'on peut regretter que le film manque d’une dernière strate qui le creuserait plus avant, il dégage cependant le charme de ces fins d’été qui s’éternisent et s'achèvent brusquement.
L'Obs
Certes, le scénario joue un peu trop la carte de l’abstraction, mais c’est pour mieux mettre en scène ce drame inéluctable, première réalisation d’un duo fort prometteur.
Le Parisien
« Pompei » a les défauts de ses qualités. Cette ambition visuelle, sensuelle, se réalise au détriment du réalisme et de l'intrigue, à la fois un peu simpliste (les dialogues, peu nombreux mais parfois ridicules, le drame attendu), déconnectée du présent (pas d'ordinateur, pas de téléphone, pas de GPS…) et assez invraisemblable.
Cahiers du Cinéma
Comme pétrifié par son titre trop vaste et mémoriel, monumentalisant, le film rougeoie encore, mais d’un feu éteint. « Tu crois vraiment qu’il.y a quelque chose à sortir, ici? » s’enquiert le cadet de Victor. Question que le film lui-même se pose, creusant sans rien promettre, comme fasciné par sa propre stase.
Le Monde
"Pompéi" fait du surplace et s’il revendique son erratisme, c’est au risque de paraître hors sol et de ne convoquer qu’un travail plastique et maniériste sécrétant des images trop lisses et qui peinent à vibrer.
Les Fiches du Cinéma
Ce drame romanesque est aussi fort de son parti pris esthétique qu’il est faible d’un scénario dont on ne ressent jamais la sincérité.
Libération
A la réalisation, le Belgo-Américain John Shank et la Française Anna Falguères transfèrent à la mise en scène et ses ravissants effets d’irréel la charge de faire advenir des significations dont on sent qu’elle ont été hyper cogitées, mais que l’on est bien en peine de déterrer.
Télérama
Malgré une belle attention aux visages, aux paysages et à la lumière, le duo de réalisateurs donne le sentiment qu’il tourne en rond, comme les motos.
Première
De cette rencontre entre le spleen antonionien et "Mad Max" (on exagère la comparaison un chouia), les deux réalisateurs ne tirent rien de probant en dépit du charisme ambigu d’Aliocha Schneider et de Garance Marilier.