Six portraits XL : 2 Jacquotte et Daniel : Critique presse
Six portraits XL : 2 Jacquotte et Daniel
Note moyenne
4,0
15 titres de presse
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Culturopoing.com
L'Humanité
L'Obs
La Croix
Le Figaro
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Positif
Première
Transfuge
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La tendresse du cinéaste affleure constamment dans sa façon de filmer.
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
L’aversion non dissimulée du cinéaste pour ceux qui jouent la comédie devant la caméra est comme contrecarrée. Son caractère amène, présent partout dans les portraits et qui lui permet de filmer la mort et la vie avec la même simplicité, transmet un plaisir communicatif à vivre, à regarder et à écouter.
Critikat.com
par Anthony Moreira
C’est peut-être dans ce dévoilement du temps qui passe, de la mélancolie, que le film est le plus précieux et, in fine, le plus émouvant.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
L’attention à la matérialité des corps et à la façon dont le son, la lumière, la matière se transforment, voilà ce qui condense tout le prosaïsme et la poésie des ces 6 Portraits XL, modestes, savoureux et attachants. Soient six portraits en mode mineur selon que l’on est une célébrité, en mode majeur selon que l’on est un inconnu. Ces petites pépites célèbrent la vie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Vibrant et humain.
L'Obs
par François Forestier
Guillaume Delcourt, jeune pâtissier, déroule sa nuit à faire des gâteaux qui feront le bonheur des clients dans la journée. Gestes quotidiens, paroles éphémères, éloge du travail d’artisan ("On ne sait pas le bonheur qu’on a, de travailler", dit Léon)… Autrefois, Cavalier signait des films de fiction en 35 mm. Maintenant, il capte en vidéo une réalité simple et magnifique. Du cinéma pur.
La Croix
par Céline Rouden
Extraits d’un journal filmé entrepris en 1993, cette série documentaire confirme le talent de portraitiste du réalisateur de Thérèse.
Le Figaro
par La Rédaction
De cinéaste, Alain Cavalier est devenu «filmeur»: son bonheur est d'attraper la vie comme elle vient. Sensuel, attentif, fraternel, transgressif, il voudrait pouvoir tout filmer, surtout ce qu'on ne montre jamais.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Par moments, c’est Alain Cavalier en personne qui, au détour d’un miroir, surgit dans le champ, sa caméra vissée au visage, comme Van Eyck se peignant en miniature dans ses Epoux Arnolfini. Et l’on comprend alors que l’art du portrait ne saurait se suffire à lui-même, s’il ne contenait dans ses angles morts quelque chose d’un autoportrait.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Les échanges complices, l’imprévisibilité du réel, ses cocasseries, la dévotion du cinéaste pour ses acteurs éphémères, filmés chez eux ou au travail… la touche Cavalier est intacte. Elle est toujours aussi émouvante, bienveillante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Cavalier observe en complice bienveillant, parfois jusqu’à s’émerveiller d’un détail, d’un mot, d’un instant qu’il qualifie alors de «somptueux». [...] C’est la quotidienneté même de ces gestes qui l’intéresse, leur répétition parfois inconsciente, ou fruit d’un savoir d’artisan, ou pathologique (les TOC de Daniel). Le filmeur étant alors celui qui sait rendre par son seul regard une valeur singulière à tout ce qui constitue la vie ordinaire de chacun.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
L'abandon de la fiction ne vaut pas renvoi du cinéma. Le réel permet les pas de côté qui permettent de saisir l'essence de cet art.
Première
par Thomas Baurez
Le filmeur Alain Cavalier dresse le portrait intime d’hommes et de femmes dans la force de leur quotidien. Des moments de grâce à l’état pur.
Transfuge
par Damien Aubel
Au fil de six films, Alain Cavalier dessine une galerie attachante et sensible de personnages. Ou l’art du docu au plus simple et au plus réussi.
Télérama
par François Ekchajzer
Des portraits simples et touchants signés par un grand cinéaste épris du quotidien
20 Minutes
La tendresse du cinéaste affleure constamment dans sa façon de filmer.
Cahiers du Cinéma
L’aversion non dissimulée du cinéaste pour ceux qui jouent la comédie devant la caméra est comme contrecarrée. Son caractère amène, présent partout dans les portraits et qui lui permet de filmer la mort et la vie avec la même simplicité, transmet un plaisir communicatif à vivre, à regarder et à écouter.
Critikat.com
C’est peut-être dans ce dévoilement du temps qui passe, de la mélancolie, que le film est le plus précieux et, in fine, le plus émouvant.
Culturopoing.com
L’attention à la matérialité des corps et à la façon dont le son, la lumière, la matière se transforment, voilà ce qui condense tout le prosaïsme et la poésie des ces 6 Portraits XL, modestes, savoureux et attachants. Soient six portraits en mode mineur selon que l’on est une célébrité, en mode majeur selon que l’on est un inconnu. Ces petites pépites célèbrent la vie.
L'Humanité
Vibrant et humain.
L'Obs
Guillaume Delcourt, jeune pâtissier, déroule sa nuit à faire des gâteaux qui feront le bonheur des clients dans la journée. Gestes quotidiens, paroles éphémères, éloge du travail d’artisan ("On ne sait pas le bonheur qu’on a, de travailler", dit Léon)… Autrefois, Cavalier signait des films de fiction en 35 mm. Maintenant, il capte en vidéo une réalité simple et magnifique. Du cinéma pur.
La Croix
Extraits d’un journal filmé entrepris en 1993, cette série documentaire confirme le talent de portraitiste du réalisateur de Thérèse.
Le Figaro
De cinéaste, Alain Cavalier est devenu «filmeur»: son bonheur est d'attraper la vie comme elle vient. Sensuel, attentif, fraternel, transgressif, il voudrait pouvoir tout filmer, surtout ce qu'on ne montre jamais.
Le Monde
Par moments, c’est Alain Cavalier en personne qui, au détour d’un miroir, surgit dans le champ, sa caméra vissée au visage, comme Van Eyck se peignant en miniature dans ses Epoux Arnolfini. Et l’on comprend alors que l’art du portrait ne saurait se suffire à lui-même, s’il ne contenait dans ses angles morts quelque chose d’un autoportrait.
Les Inrockuptibles
Les échanges complices, l’imprévisibilité du réel, ses cocasseries, la dévotion du cinéaste pour ses acteurs éphémères, filmés chez eux ou au travail… la touche Cavalier est intacte. Elle est toujours aussi émouvante, bienveillante.
Libération
Cavalier observe en complice bienveillant, parfois jusqu’à s’émerveiller d’un détail, d’un mot, d’un instant qu’il qualifie alors de «somptueux». [...] C’est la quotidienneté même de ces gestes qui l’intéresse, leur répétition parfois inconsciente, ou fruit d’un savoir d’artisan, ou pathologique (les TOC de Daniel). Le filmeur étant alors celui qui sait rendre par son seul regard une valeur singulière à tout ce qui constitue la vie ordinaire de chacun.
Positif
L'abandon de la fiction ne vaut pas renvoi du cinéma. Le réel permet les pas de côté qui permettent de saisir l'essence de cet art.
Première
Le filmeur Alain Cavalier dresse le portrait intime d’hommes et de femmes dans la force de leur quotidien. Des moments de grâce à l’état pur.
Transfuge
Au fil de six films, Alain Cavalier dessine une galerie attachante et sensible de personnages. Ou l’art du docu au plus simple et au plus réussi.
Télérama
Des portraits simples et touchants signés par un grand cinéaste épris du quotidien