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L’aversion non dissimulée du cinéaste pour ceux qui jouent la comédie devant la caméra est comme contrecarrée. Son caractère amène, présent partout dans les portraits et qui lui permet de filmer la mort et la vie avec la même simplicité, transmet un plaisir communicatif à vivre, à regarder et à écouter.
L’attention à la matérialité des corps et à la façon dont le son, la lumière, la matière se transforment, voilà ce qui condense tout le prosaïsme et la poésie des ces 6 Portraits XL, modestes, savoureux et attachants. Soient six portraits en mode mineur selon que l’on est une célébrité, en mode majeur selon que l’on est un inconnu. Ces petites pépites célèbrent la vie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Guillaume Delcourt, jeune pâtissier, déroule sa nuit à faire des gâteaux qui feront le bonheur des clients dans la journée. Gestes quotidiens, paroles éphémères, éloge du travail d’artisan ("On ne sait pas le bonheur qu’on a, de travailler", dit Léon)… Autrefois, Cavalier signait des films de fiction en 35 mm. Maintenant, il capte en vidéo une réalité simple et magnifique. Du cinéma pur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De cinéaste, Alain Cavalier est devenu «filmeur»: son bonheur est d'attraper la vie comme elle vient. Sensuel, attentif, fraternel, transgressif, il voudrait pouvoir tout filmer, surtout ce qu'on ne montre jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Par moments, c’est Alain Cavalier en personne qui, au détour d’un miroir, surgit dans le champ, sa caméra vissée au visage, comme Van Eyck se peignant en miniature dans ses Epoux Arnolfini. Et l’on comprend alors que l’art du portrait ne saurait se suffire à lui-même, s’il ne contenait dans ses angles morts quelque chose d’un autoportrait.
Chacun à l’aube d’un bouleversement professionnel, Léon le cordonnier et Guillaume le boulanger se soumettent tour à tour au regard bienveillant et malicieux d’Alain Cavalier, dans deux portraits successifs pleins de délicatesse, quoique inégaux en intensité.
Les échanges complices, l’imprévisibilité du réel, ses cocasseries, la dévotion du cinéaste pour ses acteurs éphémères, filmés chez eux ou au travail… la touche Cavalier est intacte. Elle est toujours aussi émouvante, bienveillante.
Cavalier observe en complice bienveillant, parfois jusqu’à s’émerveiller d’un détail, d’un mot, d’un instant qu’il qualifie alors de «somptueux». [...] C’est la quotidienneté même de ces gestes qui l’intéresse, leur répétition parfois inconsciente, ou fruit d’un savoir d’artisan, ou pathologique (les TOC de Daniel). Le filmeur étant alors celui qui sait rendre par son seul regard une valeur singulière à tout ce qui constitue la vie ordinaire de chacun.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
La tendresse du cinéaste affleure constamment dans sa façon de filmer.
Cahiers du Cinéma
L’aversion non dissimulée du cinéaste pour ceux qui jouent la comédie devant la caméra est comme contrecarrée. Son caractère amène, présent partout dans les portraits et qui lui permet de filmer la mort et la vie avec la même simplicité, transmet un plaisir communicatif à vivre, à regarder et à écouter.
Critikat.com
C’est peut-être dans ce dévoilement du temps qui passe, de la mélancolie, que le film est le plus précieux et, in fine, le plus émouvant.
Culturopoing.com
L’attention à la matérialité des corps et à la façon dont le son, la lumière, la matière se transforment, voilà ce qui condense tout le prosaïsme et la poésie des ces 6 Portraits XL, modestes, savoureux et attachants. Soient six portraits en mode mineur selon que l’on est une célébrité, en mode majeur selon que l’on est un inconnu. Ces petites pépites célèbrent la vie.
L'Humanité
Vibrant et humain.
L'Obs
Guillaume Delcourt, jeune pâtissier, déroule sa nuit à faire des gâteaux qui feront le bonheur des clients dans la journée. Gestes quotidiens, paroles éphémères, éloge du travail d’artisan ("On ne sait pas le bonheur qu’on a, de travailler", dit Léon)… Autrefois, Cavalier signait des films de fiction en 35 mm. Maintenant, il capte en vidéo une réalité simple et magnifique. Du cinéma pur.
La Croix
Extraits d’un journal filmé entrepris en 1993, cette série documentaire confirme le talent de portraitiste du réalisateur de Thérèse.
Le Figaro
De cinéaste, Alain Cavalier est devenu «filmeur»: son bonheur est d'attraper la vie comme elle vient. Sensuel, attentif, fraternel, transgressif, il voudrait pouvoir tout filmer, surtout ce qu'on ne montre jamais.
Le Monde
Par moments, c’est Alain Cavalier en personne qui, au détour d’un miroir, surgit dans le champ, sa caméra vissée au visage, comme Van Eyck se peignant en miniature dans ses Epoux Arnolfini. Et l’on comprend alors que l’art du portrait ne saurait se suffire à lui-même, s’il ne contenait dans ses angles morts quelque chose d’un autoportrait.
Les Fiches du Cinéma
Chacun à l’aube d’un bouleversement professionnel, Léon le cordonnier et Guillaume le boulanger se soumettent tour à tour au regard bienveillant et malicieux d’Alain Cavalier, dans deux portraits successifs pleins de délicatesse, quoique inégaux en intensité.
Les Inrockuptibles
Les échanges complices, l’imprévisibilité du réel, ses cocasseries, la dévotion du cinéaste pour ses acteurs éphémères, filmés chez eux ou au travail… la touche Cavalier est intacte. Elle est toujours aussi émouvante, bienveillante.
Libération
Cavalier observe en complice bienveillant, parfois jusqu’à s’émerveiller d’un détail, d’un mot, d’un instant qu’il qualifie alors de «somptueux». [...] C’est la quotidienneté même de ces gestes qui l’intéresse, leur répétition parfois inconsciente, ou fruit d’un savoir d’artisan, ou pathologique (les TOC de Daniel). Le filmeur étant alors celui qui sait rendre par son seul regard une valeur singulière à tout ce qui constitue la vie ordinaire de chacun.
Positif
L'abandon de la fiction ne vaut pas renvoi du cinéma. Le réel permet les pas de côté qui permettent de saisir l'essence de cet art.
Première
Le filmeur Alain Cavalier dresse le portrait intime d’hommes et de femmes dans la force de leur quotidien. Des moments de grâce à l’état pur.
Transfuge
Au fil de six films, Alain Cavalier dessine une galerie attachante et sensible de personnages. Ou l’art du docu au plus simple et au plus réussi.
Télérama
Des portraits simples et touchants signés par un grand cinéaste épris du quotidien