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    What You Gonna Do When The World's On Fire?
    Note moyenne
    3,5
    12 titres de presse
    • Critikat.com
    • L'Obs
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Positif
    • Télérama
    • Voici
    • La Croix
    • Le Journal du Dimanche
    • Libération
    • Première
    • Cahiers du Cinéma

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    12 critiques presse

    Critikat.com

    par Thomas Choury

    La maîtrise du rythme fait de What You Gonna Do... une œuvre en perpétuelle stagnation où l’on sent une montée en puissance advenir, distillée dans la férocité des témoignages ou la lucidité des actions.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    De ces quatre portraits entremêlés, le documentariste Roberto Minervini tire un état des lieux édifiant. Meurtres racistes, violence domestique, drogue, gentrification : les menaces, qui régissent la vie de ces laissés-pour-compte, demeurent hors champ. A l'écran, ce n'est que chaleur humaine, saine colère et bon sens en action.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Les Fiches du Cinéma

    par Valentine Verhague

    Refusant toute démagogie, le documentariste donne la parole aux déshérités de la société américaine, qui prolonge une ségrégation – géographique notamment – pernicieuse.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Jacky Goldberg

    Roberto Minervini n’est pas Michael Moore, et ses personnages ne sont pas les porte-paroles d’une cause. En revanche, chaque plan de son film, taillé dans un noir et blanc incandescent, est un plan de cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Positif

    par Ariane Allard

    Doublement pertinent : d'une part il sublime ces antihéros comme rarement (il les anoblit en tout cas) ; d'autre part il les inscrit dans une temporalité incertaine.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Le film, sans doute un peu long, bénéficie d’une image superbe, au noir et blanc photographique. Mais il impressionne, avant tout, par la captation délicate des moments d’intimité familiale ou des conversations entre jeunes, la tendresse apparaissant comme l’unique rempart contre les dangers bien réels qui cernent tous les personnages.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    En donnant la parole à des Afro-Américains, le cinéaste nous plonge au coeur des discriminations raciales aux Etats-Unis.

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Roberto Minervini filme au plus près des scènes saisissantes, en suivant plusieurs personnages : deux jeunes frères (l’aîné protecteur et le cadet naïf), leur mère qui cherche à les protéger, une tenancière de bar énergique étranglée par les dettes, la chef locale des Black Power, forte et rude femme qui galvanise ses troupes.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    L’esthétique, aussi belle que balisée, appuie le sentiment que de Mark Twain à Donald Trump, rien n’a bougé.

    Libération

    par Julien Gester

    Et, au milieu de ce riche tableau, mais hélas en déficit de liant, ces échanges de gosses et quelques belles scènes d’intimité [...] trouvent une résonance autrement plus troublante et vive que la rhapsodie des slogans, actions militantes et déplorations sociologiques recueillis à la pelle par le film comme une matière trop brûlante, trop dénuée d’ambivalence pour que sa caméra s’aventure à en troubler les surfaces et les postures bien identifiées pour les sublimer.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Première

    par Eric Vernay

    Si le documentaire, arrimé à son constat édifiant, peine parfois à articuler cette galerie de portraits de manière surprenante, il saisit néanmoins quelques visions lumineuses au passage, tels ces vélos de protestants anti-gentrification scintillant au crépuscule.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Cahiers du Cinéma

    par Paola Raiman

    Dès lors qu’on quitte le territoire des enfants, le film tombe dans un formalisme affecté caractéristique d’un manque de pensée.

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