Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le récit, émaillé de quelques visions surnaturelles mais historiquement fondé – inspiré d’une communauté créée par le peintre Karl Diefenbach –, fait la part belle à la nature sauvage. Superbe jeu de contrastes qui préfigure des voies divergentes que la société allait explorer au XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Grégory Valens
Ambitieuse et solaire (le soleil de Capri) opposition de points de vue entre deux façons de vivre au début du XXème siècle, le film de Martone, un rien grandiloquent, a le mérite de faire revivre un temps oublié de l'histoire de l'île du golfe de Naples.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
D’abord intriguant et envoûtant, le récit peine à tenir les promesses entrevues dans sa première partie et finit par lasser. L’ensemble, un brin fourre-tout, paraît même vain et superficiel.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Mario Martone tente de raconter comment une jeune chevrière s'émancipe peu à peu à Capri, au début du XXème siècle. Il brasse trop d'éléments historiques, trop de pistes, et de façon superficielle. Ce qui finit par asphyxier récit et personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Mathieu Macheret
La mise en scène illustrative et lustrée échoue à dépeindre cette expérience artistique communautaire.
L'Humanité
Le récit, émaillé de quelques visions surnaturelles mais historiquement fondé – inspiré d’une communauté créée par le peintre Karl Diefenbach –, fait la part belle à la nature sauvage. Superbe jeu de contrastes qui préfigure des voies divergentes que la société allait explorer au XXe siècle.
Positif
Ambitieuse et solaire (le soleil de Capri) opposition de points de vue entre deux façons de vivre au début du XXème siècle, le film de Martone, un rien grandiloquent, a le mérite de faire revivre un temps oublié de l'histoire de l'île du golfe de Naples.
Le Journal du Dimanche
D’abord intriguant et envoûtant, le récit peine à tenir les promesses entrevues dans sa première partie et finit par lasser. L’ensemble, un brin fourre-tout, paraît même vain et superficiel.
Les Fiches du Cinéma
Mario Martone tente de raconter comment une jeune chevrière s'émancipe peu à peu à Capri, au début du XXème siècle. Il brasse trop d'éléments historiques, trop de pistes, et de façon superficielle. Ce qui finit par asphyxier récit et personnages.
Le Monde
La mise en scène illustrative et lustrée échoue à dépeindre cette expérience artistique communautaire.