Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
En ne cherchant pas à réduire l’autre culturel à un même rassurant ou à un barbare menaçant, Denis Gheerbrant propose un travail esthétique et politique bien plus beau, bien plus profond.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Au terme du film, Mallé a vieilli, changé. Le cinéaste aussi. Le temps du film s’est fait nôtre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par François Ekchajzer
Porté par le respect de l’autre comme par celui de soi, ce portrait modeste et rigoureux est un modèle de cinéma direct.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un document rare sur le quotidien d'un immigré.
Positif
par Éric Derobert
Confronté à la réalité, l'universalisme naïf se casse un peu la figure, au point que cela devient, en fin de compte, le sujet du film.
Libération
par Didier Péron
L’ambiguïté du rapport Gheerbrant-Doucara tient quand même à un exercice de franchise qui finit par desservir celui qui s’y prête en toute innocence face caméra alors même que son interlocuteur se donne un peu hâtivement le beau rôle de l’humaniste de gauche qui précise qu’il aime son épouse sans avoir besoin de la soumettre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
En ne cherchant pas à réduire l’autre culturel à un même rassurant ou à un barbare menaçant, Denis Gheerbrant propose un travail esthétique et politique bien plus beau, bien plus profond.
L'Humanité
Au terme du film, Mallé a vieilli, changé. Le cinéaste aussi. Le temps du film s’est fait nôtre.
Télérama
Porté par le respect de l’autre comme par celui de soi, ce portrait modeste et rigoureux est un modèle de cinéma direct.
Le Monde
Un document rare sur le quotidien d'un immigré.
Positif
Confronté à la réalité, l'universalisme naïf se casse un peu la figure, au point que cela devient, en fin de compte, le sujet du film.
Libération
L’ambiguïté du rapport Gheerbrant-Doucara tient quand même à un exercice de franchise qui finit par desservir celui qui s’y prête en toute innocence face caméra alors même que son interlocuteur se donne un peu hâtivement le beau rôle de l’humaniste de gauche qui précise qu’il aime son épouse sans avoir besoin de la soumettre.