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    La Vie scolaire
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    Helene R.
    Helene R.

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Un film vivant, des personnages attachants pour interroger notre école laïque, un miroir qui questionne le mot "egalité" de notre république, le dernier plan surtout. Émouvant, réjouissant de nous amener à penser cela avec ces personnages
    Léane
    Léane

    4 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Un très bon film, qui nous plonge dans la vie de banlieue, sa beauté et sa dureté. J'ai passé un très bon moment, entre rire et larmes. Je conseille ce film qui fait du bien et nous montre une banlieue différente de celle des médias ! 😍
    Stephenballade
    Stephenballade

    405 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Grand Corps Malade et Mehdi Idir acte 2. Après le formidable "Patients", il semblait logique d’avoir de grandes espérances vis-à-vis de "La vie scolaire", même en sachant qu'on allait complètement changer de sujet. Ma note traduira une légère déception, car une question m’est restée en tête : "et alors ?". Eh bien je pense justement que c’est ce vers quoi la paire de réalisateurs voulait nous diriger : et alors ? on ne fait rien ? car voilà où nous en sommes. Et si j’ai cette réflexion, c’est aussi parce que j’ai lu le commentaire avisé de l’allocinéen ATHMOS.ONER. Et si en plus on intègre le fait que Mehdi Idir a grandi dans le collège des Francs-Moisins (lieu où se déroule le film), et que ce long métrage part d’anecdotes vécues ou observées, force est de constater que rien n’a changé. C’est toujours le même boxon, laissant ces établissements difficiles patauger dans une mélasse imprégnée jusqu’à la moelle, au cœur d’une impasse a priori toute tracée s’il n’y avait pas l’envie, la passion et l’engagement de quelques enseignants et encadrants. Ceci a le mérite de souligner tout le mérite et la beauté du sacerdoce qu’ont ces gens-là à essayer souvent en vain de sortir des ornières sans fond des jeunes promis à un avenir aussi compliqué qu’incertain. Pourtant on ne trouve dans ce film aucune accusation. Ni envers l’éducation nationale, ni envers son ministère. Pas même envers ces jeunes qui s'évertuent à scier la branche sur laquelle ils sont assis. "La vie scolaire" est tout simplement un constat. Rien de plus rien de moins. Le constat qui dit que tout ne fonctionne pas toujours très bien. Ce n'est pas parce qu'on est à proximité du Stade de France que tout est parfait, hein (super plan qui précède le générique de fin). D’accord, on peut s’accorder à dire que le film est bourré de clichés. Du genre clichés liés aux « quartiers populaires à fort caractère », pour reprendre les mots de Mehdi Idir. Mais ces clichés en sont-ils vraiment ? N’est-ce pas plutôt la réalité ? Quoiqu’il en soit, le film s’est voulu très réaliste, et je crois que de ce point de vue-là, c’est très réussi même si dans le film rien n’est tout beau ni (à une exception près) tout dramatique : la plupart des situations balancent entre les deux. Et le film se fait fort de démontrer que le contexte est presque irrémédiablement plus fort que tout, même avec des profs, des encadrants et des parents d’élèves pleins de bonne volonté : au final le contexte est si compliqué qu’il a tendance à prendre le pas sur tout et à conduire les jeunes dans une impasse. Aussi le ton s’est mis à la hauteur de cette analyse : le film a été traité avec beaucoup de légèreté. Cela ne veut pas dire qu’il a été bâclé. Non, au contraire, on sent une vraie implication, que tout le monde a donné le meilleur de lui-même. Cette légèreté, on la doit à l’humour. Et ça commence très tôt avec un tableau sur lequel un élève y voit un homme politique. Ou entre les deux surveillants, qui m’ont fait énormément rire en concluant sur une histoire de fabrication de chaussures. Mon moment préféré reste cependant le coup de la gomme, soit le premier extrait révélé du film. A la limite, cette scène est carrément un sketch ! D’accord, certaines vannes tombent un peu à plat, mais comme chez toute personne qui fait beaucoup d’humour, il y a forcément du déchet. Ben tiens les humoristes : eux non plus, ils n’y échappent pas ! Alors tenir rigueur de ça serait plutôt sévère. Mais alors qu’est-ce qui me gêne ? Ce n’est pas le jeu d’acteur. Tous les comédiens, qu’ils soient affirmés (Alban Ivanov) ou débutants, sont parfaits : ils semblent tous s’exprimer (surtout les jeunes) avec une belle spontanéité, avec leurs mots à eux, avec leur propre identité. C’est plutôt le fait que je ne me suis attaché à aucun des personnages, qu’il soit jeune ou adulte. Pourtant la caméra s’attarde sur l’attachement qui se dessine entre la CPE (Zita Hanrot) et Yanis (Liam Pierron), mais c’est tout juste si je n’ai pas préféré la destinée du jeune qui trouve sa voie dans la musique. Son interprète dégage quelque chose de plus que tous les autres jeunes, et nous régale de se première création qui, en réalité n’en est pas une, mais celle-ci est si bien amenée qu’on consentirait à la lui attribuer. D’ailleurs, on n’a pas eu l’honneur de découvrir ses trois fameuses instrus… Bon d’accord, ce n’était pas là l’important et je comprends qu’on soit passé dessus mais j’aurai bien aimé les entendre, ne serait-ce que par petits bouts. Limite aussi si je ne préfère pas, en dépit de ses rares apparitions, Antoine Reinartz en prof au bout du rouleau : par lui, on sent bien le mal-être des enseignants en général, et malheureusement de plus en plus constaté et récurrent. Pour résumer, j’ai trouvé "La vie scolaire" bien, mais… Tout simplement parce qu’après "Patients" avec lequel on se sent un peu forcé de comparer, il paraît moins puissant, moins intense.
    Malika B
    Malika B

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    J'ai beaucoup aimé, j'ai ri, j'ai presque pleuré. Plutôt bien pour un film français. Assez réaliste malgré quelques petites exagérations et stéréotypes. À voir, surtout si vous travaillez dans l'éducation. 😁
    shoatan
    shoatan

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 février 2022
    Ce film est une vraie daube.
    Il ne reflète en rien la vie scolaire, on voit que le milieu décrit est pas connu. Le film hésite entre la satyre sociale et le burlesque .
    C'est mal cadré. Les dialogues sonnent faux.
    La jeune femme jouant la CPE tire son épingle du jeu...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 366 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Alors c’est sûr – et je n’entends pas discuter ce point là – ils ont vraiment l’air tous les deux pétris de bonnes intentions ces deux compères que sont Grand corps malade et Medhi Idir. Ça se ressentait déjà dans leur précédent « Patients » : malgré sa forme assez rudimentaire, ce premier film transpirait d’une belle humilité. Il y avait là-dedans l’envie de transmettre des vécus. Des ressentis. Des réalités… Pas de héros. Pas de jugement. Il y avait juste des fardeaux à porter, des mal-êtres difficiles à exprimer et surtout pas mal d’incompréhension. Au fond personne n’était à blâmer, il y avait juste des situations à comprendre. Un regard à exercer. Et pour moi, à partir du moment où des auteurs ont pour démarche centrale celle d’offrir un regard, alors forcément, je ne peux m’empêcher de les respecter, de les apprécier, et surtout de considérer ce qu’ils ont à m’offrir. Et pourtant… Et pourtant ça m’attriste de le dire mais, me concernant, « La vie scolaire » est ce film qui montre toutes les limites du duo en tant que cinéastes. D’accord il y a toujours la sincérité de la démarche et toutes les qualités que j’ai citées ci-dessus. « La vie scolaire » est un film qui veut montrer chacun avec bienveillance et tendresse. Chaque débordement s’explique toujours par des réalités qui se percutent mais qui ne se comprennent pas. Tout le monde est plus ou moins prisonnier d’une situation qu’il subit mais qu’il apprend à accepter ; avec résignation certes, mais aussi avec une certaine forme de sagesse. Seulement ce film a beau être pétri de bonnes intentions, il n’en reste pas moins que, selon moi, la force du cinéma réside avant tout dans sa capacité à dire sans les mots ; à jouer de la suggestion de l’image, du montage et du son – bref à faire ressentir les choses plutôt que de nous les montrer – or, sur ce point, cette « Vie scolaire » enchaîne vraiment les maladresses au point que je ne suis jamais vraiment parvenu à me plonger dans son intrigue.

    « Maladresses » est d’ailleurs pour moi le maître-mot qui caractérise la réalisation de ce long-métrage. Maladresse de l’écriture d’abord. Tout est expliqué. Surligné. Si bien que chaque personnage sera forcément amené à disserter sur son ressenti du moment, sur la réalité de la situation, et parfois même plusieurs fois durant l’intrigue. Certes, on noie tout ça de « wesh », de « frère » et de « gros » pour que ça fasse plus naturel. Plus vrai. Mais cela n’empêche pas pour autant cette lourdeur didactique de transformer chaque scène en un moment purement artificiel. Les intentions apparaissent toujours à l’écran comme de grosses ficelles qu’on ne parvient pas à cacher. Et même si le casting est plutôt convaincant dans l’ensemble (bien que d’apparence trop âgée en ce qui concerne les rôles de collégien), ce n’est malgré tout pas suffisant pour nous sortir de cette impression de théâtre de marionnettes factices à qui on fait dire ce qu’on a envie de leur faire dire. L’autre souci, c’est la mise-en-scène. Beaucoup d’effets et de tentatives certes, mais un manque réel de maîtrise dans leur utilisation. On sent que le duo Grand Corps / Idir a sollicité pas mal d’œuvres de référence, allant de « Boys N The Hood » à « La Haine » en passant par « Polisse et « Mr. Robot ». Mais tout ce qu’ils en prélèvent est en permanence utilisé à contre-emploi. Exemple criant par exemple avec ces champs-contrechamps où le sujet est systématiquement placé du mauvais côté du cadre. Dans « Mr. Robot » ce choix formel se révélait pertinent car cela nous permettait de percevoir ce monde à travers les yeux de son héros : fragmenté, dépourvu de sens et de sensation, déconnecté d’une certaine forme de réel. Faire ressentir l’artifice dans cette série allait clairement dans le sens de ses intentions. Par contre, dans « La Vie scolaire », ce procédé formel est utilisé pendant des moments d’échanges sincères ; au moment où – enfin – une connexion est en train de s’opérer entre les protagonistes. Et alors que les acteurs s’acharnent à rendre ces moments intenses – à traduire toute leur sensibilité de l’instant au travers de leur faciès et leurs intonations – la réalisation nous détourne de cela en utilisant un procédé formel qui brutalise notre perception et fait ressortir tout le caractère artificiel de la situation. Pour le coup, ça n’a tout simplement aucun sens. Et s’il n’y avait que ça. Si ce n’était qu’un détail. Mais ce genre d’utilisation hors-de-propos est assez récurrent dans cette « Vie scolaire ». C’est le cas notamment des ralentis qui sont sollicités de manière très hasardeuse, en rupture la plupart du temps avec le rythme induit par le montage de la scène où ils s’inscrivent. C’est aussi le cas avec cette mise en parallèle entre les deux fêtes : celles des élèves et celles de profs. Le parallélisme ne dit pas grand-chose à part peut-être un besoin commun d’évasion face à la rudesse du quotidien. Pire encore, la scène insiste sur une mise en miroir des personnages de Samia et de Yanis ; mise en miroir dont finalement le film ne fait rien. A aucun moment cette confusion fugace de l’espace ne cherche à établir de connexion ou ne questionne la nature du moment. C’est un effet de mise en scène purement gratuit et vide de sens. Un cache-misère. Le problème, c’est qu’à bien tout prendre, ce méli-mélo d’intentions – toutes bonnes au demeurant – aboutit en définitive à une œuvre bancale qui ne cesse d’envoyer des signaux contradictoires. On opte d’un côté pour une photographie et une mouvance du cadre proches au genre réaliste à la française, mais d’un autre côté on la contredit par une écriture très artificialisée et des effets de style superficiels. De même, la dimension testimoniale que cette œuvre essaye de mettre en avant se heurte clairement au désir qu’on ses auteurs d’être dans une démarche de discours à outrances. A trop vouloir en dire et en faire, finalement ce film dégage peu de choses. Beaucoup d’évidences. Beaucoup de ressorts d’intrigues éculés et téléphonés ( spoiler: La mort à venir du pote de Yanis est aussi visible que l’est une piste de Rissy en approche de nuit
    ). Et parfois même, ce film se perd dans des moments particulièrement illisibles. ( spoiler: Pourquoi Yanis finit en SEGPA à la fin ? Est-ce qu’on essaye de nous faire comprendre que c’est une forme de punition ? Est-ce qu’on essaye de nous faire comprendre qu’il y a des gamins en SEGPA qui n’ont rien à y foutre mais qu’on stocke là pour fuir la réalité de leurs problèmes ? Woh ! Eh les gars ! La SEGPA ça marche pas du tout comme ça ! Si vous voulez tacler le système scolaire, au moins taclez-le en connaissance de cause !
    ) Alors après, c’est vrai que malgré tous ses défauts, je n’ai aucune antipathie pour ce film. Pour moi il ne marche pas. Il pue le fake du début jusqu’à la fin. Et, pire que tout, il n’arrive même pas à me séduire en tant qu’objet artistique. Mais bon, à croire que je ne sais pas résister aux démarches bienveillantes et manifestement sincères. A croire qu’il suffit parfois qu’on me foute deux minutes de Shuriken pour obtenir ma sympathie… Au fond « La vie scolaire » n’est pas un film non-film ou un film mauvais. Il est juste un film terriblement maladroit. Et le pire c’est que, à l’image de ses personnages, c’est aussi cela qui peut, à certains égards, le rendre touchant… Mais bon… Ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    tifdel13
    tifdel13

    90 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    Après le très bon Patients, Grand Corps Malade et Mehdi Idir sont de retour derrière la caméra. Si leur premier film traitait de reconstruction, La vie scolaire parle de construction tout court. Tant avec le personnage de Samia, jeune CPE fraîchement débarquée de son Ardèche natal qu’avec Yanis, l’ado attachiant.
    On rit autant qu’on pleure devant ce bel hommage au corps enseignant jamais estimé à sa juste valeur mais aussi aux élèves, souvent plus perdus que méchants (ndlr : on note quand même...

    Venez lire la suite de ma critique sur mon site ScreenReview !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 septembre 2019
    De l'humour, de l'émotion, enfin un bon film sur la banlieue , allez le voir c'est au top!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    Scénario vu et revu , La scolarité dans la banlieue les histoires de drogue on connaît déjà .
    Et pourtant ce film donne un souffle nouveau de positivité , plein de moralité .
    Je viens de la banlieue du 91 et j'ai vraiment reconnu mes années collège à travers ce film je le recommande aux familles avec des ados il es top !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    Bon film, ce fut un bon moment, les acteurs sont bons, tout est juste cependant je met un bémol sur la fin...je pense qu'elle aurait pu être mieux travaillée
    Morgane L
    Morgane L

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    rigolo et triste à la fois.
    scènes réalistes

    Même si le vocabulaire est un peu classique et déjà vu
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 septembre 2019
    Quand je lis que ce film n'est pas "une caricature"… C'est encore plus effrayant! Je n'y ai point vu d'humour… SI j'ai ri, c'est que ces élèves hélas, sont naturellement caricaturaux.
    Paul
    Paul

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2020
    Film réaliste sur la réalité des jeunes de banlieue, extrêmement touchant et drôle également. La fin laisse un peu en suspend mais sinon le film est très abouti, certaines scènes laissent sans mot. Les musiques sont extraordinaires.
    choppinou
    choppinou

    4 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 septembre 2019
    Mais quel métier difficile ! Le film restitue toute la difficulté et la complexité de ce milieu de part et d'autre : c'est dur ! Violence et incompréhension ! Malgré qq lueurs d'espoir par moment ! Comment on parvient à fédérer les élèves autour d'un projet , une idée ... mais cela nécessite bcp d'énergie ! Un vrai sacerdoce ! Les profs devraient être mieux considérés,respectés et mieux payés ! Les jeunes représentent l'avenir !!! Ce qu'ils vont devenir repose bcp sur l'éducation !! CQFD !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    "La vie scolaire" parvient à nous faire méditer sur la situation des jeunes collégiens ainsi que sur la nature des relations qui se créent entre l'équipe d'encadrement scolaire et les adolescents en quête d'une meilleure vision du monde et d'un avenir plus décent. Malgré un léger manque de rythme et l'utilisation répétée de clichés liés aux collégiens dans les cités, le film tend à se faire entendre. Sur la forme, beaucoup d'humour, des acteurs très convaincants, tant chez les adultes que chez les adolescents. Sur le fond, un scénario très crédible car très ancré dans la réalité. Certaines situations font ressurgir de véritables souvenirs de collège. Beaucoup de psychologie également. Plutôt que de juger une génération, les réalisateurs se sont ici attachés à la comprendre.
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