Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Transfuge
par Antoine Du Jeu
La puissance du film est de filmer un quotidien désespérant, comme Abbas Fahdel l'a fait pour l'Irak avec "Homeland, Irak année zéro", sans chercher l'éclat, le sensationnel ou l'exhaustivité.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Enserrant Damas et Douma dans un même labyrinthe tremblant, Still Recording dresse ainsi, en creux, l’image sensible d’un pays qui cherche d’abord à se réconcilier avec lui-même.
L'Obs
par François Forestier
Le cinéma, c'est avant tout un point de vue. Ici, il n'est pas défini. C'est d'autant plus passionnant et surprenant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
"Still Recording", c’est la boîte noire du conflit syrien. Ou quand la caméra devient la mémoire de la mort et l’ultime lien avec la vie, quand le ciné-oeil vertovien survit à l’œil humain.
Le Figaro
par Michaël Naulin
Still Recording livre un document poignant sur le quotidien de la ville rebelle de Douma, assiégée par l’armée syrienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un documentaire brut, captivant, qui interroge la puissance et la fonction même de l’image.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est aussi parce qu’on le sait si près de la mort, si fragile […] et robuste à la fois, que "Still Recording" est si précieux, presque fou, comme l’est ce joggeur croisé au hasard des ruines de la ville, qui continue à courir sous les bombes et les tirs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Hala Kodmani
A côté des images tristement banalisées des immeubles en ruines, des morts trop nombreux qu’il faut enterrer dans des fosses communes, des enfants terrifiés qui font trembler la caméra, il y a des moments de fous rires, de chansons, de dessins sur les murs qui restent des maisons détruites. La guerre n’est pas faite que de violences et de drames et tout mérite d’être filmé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film qu’on découvre aujourd’hui n’en est pas moins édifiant, monté depuis Beyrouth, où ils sont aujourd’hui réfugiés, par Saeed Al Batal, jeune étudiant en ingénierie à l’époque, et Ghiath Ayoub, peintre et sculpteur.
Première
par Thierry Chèze
Cet hommage à ceux qui filment et photographient au péril de leur vie pour que nul ne puisse dire « on ne savait pas » laisse sans voix.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Alain Masson
Les auteurs ont préféré le pathétique à l'information ou à la propagande : ce n'est ni du bon cinéma ni même du journalisme utile.
Télérama
par Marie Cailletet
Des images fortes, dans un documentaire qui manque, hélas, de maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
La puissance du film est de filmer un quotidien désespérant, comme Abbas Fahdel l'a fait pour l'Irak avec "Homeland, Irak année zéro", sans chercher l'éclat, le sensationnel ou l'exhaustivité.
Cahiers du Cinéma
Enserrant Damas et Douma dans un même labyrinthe tremblant, Still Recording dresse ainsi, en creux, l’image sensible d’un pays qui cherche d’abord à se réconcilier avec lui-même.
L'Obs
Le cinéma, c'est avant tout un point de vue. Ici, il n'est pas défini. C'est d'autant plus passionnant et surprenant.
La Septième Obsession
"Still Recording", c’est la boîte noire du conflit syrien. Ou quand la caméra devient la mémoire de la mort et l’ultime lien avec la vie, quand le ciné-oeil vertovien survit à l’œil humain.
Le Figaro
Still Recording livre un document poignant sur le quotidien de la ville rebelle de Douma, assiégée par l’armée syrienne.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire brut, captivant, qui interroge la puissance et la fonction même de l’image.
Les Inrockuptibles
C’est aussi parce qu’on le sait si près de la mort, si fragile […] et robuste à la fois, que "Still Recording" est si précieux, presque fou, comme l’est ce joggeur croisé au hasard des ruines de la ville, qui continue à courir sous les bombes et les tirs.
Libération
A côté des images tristement banalisées des immeubles en ruines, des morts trop nombreux qu’il faut enterrer dans des fosses communes, des enfants terrifiés qui font trembler la caméra, il y a des moments de fous rires, de chansons, de dessins sur les murs qui restent des maisons détruites. La guerre n’est pas faite que de violences et de drames et tout mérite d’être filmé.
Le Monde
Le film qu’on découvre aujourd’hui n’en est pas moins édifiant, monté depuis Beyrouth, où ils sont aujourd’hui réfugiés, par Saeed Al Batal, jeune étudiant en ingénierie à l’époque, et Ghiath Ayoub, peintre et sculpteur.
Première
Cet hommage à ceux qui filment et photographient au péril de leur vie pour que nul ne puisse dire « on ne savait pas » laisse sans voix.
Positif
Les auteurs ont préféré le pathétique à l'information ou à la propagande : ce n'est ni du bon cinéma ni même du journalisme utile.
Télérama
Des images fortes, dans un documentaire qui manque, hélas, de maîtrise.