Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Elle
par Héléna Villovitch
Il faut absolument voir Ma folle semaine avec Tess si l'on a 8 ans (ou plus).
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce gentil film d'été aux teintes pastel a la fraîcheur et la douceur des dunes hollandaises. Attachant, on valide !
Les Fiches du Cinéma
par Sarah Brunelière
Un film estival pour petits et grands qui évoque avec subtilité et poésie, les quêtes existentielles de l’enfance finissante. Une très belle réussite.
Télérama
par Nicolas Didier
Superbement filmés, les paysages côtiers inhabités disent à merveille l’entrée dans l’adolescence, âge de tous les possibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Peur de la mort, manque affectif : les sujets sont lourds mais traités avec légèreté dans ce film familial, tendre et solaire, dont le souvenir s’estompe aussi vite qu’une trace de pas sur le sable mouillé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Adapté du roman éponyme d’Anna Woltz, Ma folle semaine avec Tess élève, à la hauteur des adultes que nous sommes devenus, un monde de l’enfance où légèreté et gravité s’accordent sans heurt, emportées toutes deux dans l’énergie vitale de la jeunesse. C’est cette dualité harmonieuse et dynamique que met en scène, avec une intelligence émotionnelle rare, Steven Wouterlood dans son premier long métrage.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sam, haut comme trois pommes, s’entiche de la jolie Tess lors de ses vacances. Celle-ci, qui ne connaît pas son père, l’attire sur l’île où se déroule l’histoire par un stratagème… Élémentaire, mon cher Watson. Néanmoins, le film dispose d’un atout non négligeable : la nature envahissante et rassérénante de l’île. Dommage que ce décor vivant ne soit pas mieux intégré au récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
C’est mignon tout plein, porté par de charmants petits comédiens mais cousu de fil blanc et sans surprise. Les plus jeunes aussi méritent un peu d’audace.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Christophe Narbonne
La voix off explicative, le garçon maladroit, la fille intrépide, la présence faussement menaçante, les scènes de transition cocasses sont tous là, prêts à l’emploi. Vraiment pas folle, l’échappée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Il faut absolument voir Ma folle semaine avec Tess si l'on a 8 ans (ou plus).
Femme Actuelle
Ce gentil film d'été aux teintes pastel a la fraîcheur et la douceur des dunes hollandaises. Attachant, on valide !
Les Fiches du Cinéma
Un film estival pour petits et grands qui évoque avec subtilité et poésie, les quêtes existentielles de l’enfance finissante. Une très belle réussite.
Télérama
Superbement filmés, les paysages côtiers inhabités disent à merveille l’entrée dans l’adolescence, âge de tous les possibles.
L'Obs
Peur de la mort, manque affectif : les sujets sont lourds mais traités avec légèreté dans ce film familial, tendre et solaire, dont le souvenir s’estompe aussi vite qu’une trace de pas sur le sable mouillé.
Le Monde
Adapté du roman éponyme d’Anna Woltz, Ma folle semaine avec Tess élève, à la hauteur des adultes que nous sommes devenus, un monde de l’enfance où légèreté et gravité s’accordent sans heurt, emportées toutes deux dans l’énergie vitale de la jeunesse. C’est cette dualité harmonieuse et dynamique que met en scène, avec une intelligence émotionnelle rare, Steven Wouterlood dans son premier long métrage.
L'Humanité
Sam, haut comme trois pommes, s’entiche de la jolie Tess lors de ses vacances. Celle-ci, qui ne connaît pas son père, l’attire sur l’île où se déroule l’histoire par un stratagème… Élémentaire, mon cher Watson. Néanmoins, le film dispose d’un atout non négligeable : la nature envahissante et rassérénante de l’île. Dommage que ce décor vivant ne soit pas mieux intégré au récit.
Le Journal du Dimanche
C’est mignon tout plein, porté par de charmants petits comédiens mais cousu de fil blanc et sans surprise. Les plus jeunes aussi méritent un peu d’audace.
Première
La voix off explicative, le garçon maladroit, la fille intrépide, la présence faussement menaçante, les scènes de transition cocasses sont tous là, prêts à l’emploi. Vraiment pas folle, l’échappée.