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    Tout ce qu'il me reste de la révolution
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    Christophe C
    Christophe C

    4 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2019
    Un film unique, drôle, joyeux �, émouvant. Il est monté de façon nerveuse. Les lieux communs sont évités. Une belle histoire d’amour.
    Vous n’allez pas voir le temps passé.
    dejihem
    dejihem

    137 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2019
    Ouais bof.
    Quelques personnages sont un peu attachants, quelques situations sont cocasses mais franchement : il n’y a pas de ligne directrice, tout est vraiment prêt à s’effondrer et au final qu’est-ce que l’on retient ?
    Que l’on n’a pas compris mais 68 ? Que c’est la fin des idéaux ? Et comment est-ce que l’on se débrouille avec tout ça ??
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 février 2019
    Courez voir ce film intelligent, drôle, touchant de vérité, de sincérité et d'humanité !
    Un très beau film réalisé par une jeune "actrice et auteure" : Judith Davis.
    Notez bien son nom parce qu'elle est vraiment brillante. Et quand on pense qu'il s'agit de son premier long métrage et cela semble tellement facile pour elle… J'espère qu'elle va pouvoir faire d'autres films.
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2019
    Angèle, jeune urbaniste parisienne vient d’être licenciée. De plus elle retourne vivre chez son père, ancien communiste qui n’a jamais renoncé à ses idéaux. Sa mère a quitté la famille (Angèle sa soeur et son père) 15 ans auparavant, abandonnant sa vie de militante.

    Angèle, en révolte contre la société contemporaine, crée avec une amie, un collectif d’une dizaine personnes qui cherchent à comprendre le monde. Ils organisent leurs réunions dans une école où elle rencontre un professeur, Saïd.

    Parallèlement à ses activités « philosophiques », Angèle essaie de comprendre en questionnant sa soeur et son père, ce qui a pu faire partir sa mère.

    Judith Davis filme les rues parisiennes, au hasard des habitants et des graffitis, ça m’a bien plu. Les images de campagne sont elles aussi réussies.

    J’ai bien aimé tous les moments relationnels (père/fille, entre amis, entre soeur, entre amants, mère/fille) touchants et les dialogues travaillés avec finesse.

    Je trouve les aspects politiques et sociologiques moins réussis.

    A moins de regarder la tranche de vie d’Angèle comme le constat singulier des résultats d’une certaine éducation, avec la difficulté de s’y retrouver dans le monde actuel.

    J’ai passé un moment agréable, grâce à la fraîcheur des acteurs principaux.

    Mon blog : larroseurarrose.com
    colombe P.
    colombe P.

    130 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2019
    La bande annonce montre uniquement les quelques scènes intéressantes du film.
    Une fois qu'on regarde le film, c'est une immense déception.
    C'est très mal construit, mal argumenté, cela survole le sujet sans rentrer en profondeur.
    Un film mal foutu, ennuyant, terne, dont on peut largement se passer.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    Adapté d’un spectacle du collectif L’Avantage du Doute, ce film revigorant, drôle et rageur mêle assez habilement ce qui est de l’ordre du politique et ce qui est de l’ordre du privé. La réalisatrice s’y met elle-même en scène dans le rôle d’Angèle, une jeune militante qui se demande s’il est encore possible de vouloir « changer le monde ». Ayant été licenciée par un de ces patrons « de gauche » qui ont pris soin de mettre beaucoup d’eau dans le vin de leurs convictions, elle est contrainte de retourner vivre, au moins pour quelque temps, chez son père, lui-même ancien militant maoïste. C’est, pour elle, l’occasion de renouer avec sa sœur Noutka (Mélanie Bestel), une femme plutôt conformiste avec qui les dialogues virent parfois à l’orage.
    Dans le même temps, Angèle, qui rêve de faire se rejoindre par une rue Paris et Montreuil en dépit de l’obstacle du périphérique, met en place, avec son amie Léonor (Claire Dumas), un groupe de discussion citoyen. Or, même si celui-ci n’est composé que de sept membres, les débats s’avèrent pour le moins compliqués et cocasses. Pas si facile d’échanger, même quand on est si peu nombreux. « À quoi chacun croit-il encore ? » : cette simple question, posée par Angèle, ne suscite qu’un gros embarras. Ces scènes de discussion de groupe, qui certes en rappellent l’origine théâtrale, n’en sont pas moins parmi les plus amusantes, mais aussi les plus révélatrices, du film. Révélatrices, parce qu’elles mettent en évidence des réalités de notre temps.
    Malgré son dynamisme, Angèle se heurte constamment à l’inertie des uns et aux hypocrisies des autres. Que reste-t-il des idéaux les plus nobles quand on se cogne à la dureté du monde tel qu’il est et aux petites (ou grandes) compromissions (et trahisons) des uns et des autres ? Heureusement, il reste l’ouverture à de belles rencontres, voire aussi à des retrouvailles. Pour Angèle, cela se concrétise par la naissance d’une relation amoureuse avec Said (Malik Sidi), ce qui nous vaut une scène de séduction hilarante sur la « Danse des Sauvages » des « Indes Galantes » de Jean-Philippe Rameau.
    Mais ce qui reste de plus émouvant, au bout du compte, c’est la complicité retrouvée avec un père qu’Angèle a certes du mal à comprendre mais qui reste attachant, et surtout ce sont les retrouvailles avec une mère dont elle pensait qu’elle l’avait abandonnée à jamais. Diane (Mireille Perrier), la mère depuis longtemps disparue, qu’est-elle devenue ? A-t-elle, elle aussi, trahi ses vieux idéaux ?
    Le film touche juste en donnant autant de place aux quêtes individuelles qu’aux combats collectifs. Et le personnage d’Angèle, tout à sa recherche d’un équilibre toujours précaire entre l’héritage éducatif, les aspirations de l’être et les convictions politiques, n’a rien de schématique. On notera, à la fin du film, la belle place réservée à un poème de Victor Hugo mis en musique et chanté, à l’origine, par Colette Magny. Après « Mélocoton » entendu dernièrement dans « L’Ordre des Médecins », c’est la deuxième fois en peu de temps que cette artiste est mise à l’honneur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2019
    Excellent film, dynamique, joyeux et plein de fraîcheur !
    En plus, nous avons eu la chance de rencontrer la réalisatrice-actrice et le producteur, deux personnalités sympathiques et attachantes, ce qui a rendu la séance encore plus intéressante !
    A voir, revoir (certains l'ont fait plusieurs fois), et partager pour le bonheur de tous !
    Pierre L.
    Pierre L.

    32 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    c est un bienfait que ce film où tout est si justement joué, si finement interprété. Judith Davis récompensée à Angoulème , c est bien le minimum.Je recommande !j
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 février 2019
    je ne ^peux pas me dire déçue car je ne m'attendais pas à grand chose, mais quand même... les grands enjeux politiques du titre et du début du film se noient dans une amourette et une histoire bancale, mal ficelée de retrouvailles familiales, sujets classiques du bon cinoche de chez nous... elle est où la révolution ? la grosse crise d'Angèle se termine sur le fait qu'elle cherchait en fait sa maman et un amoureux... bon... cherchez l'erreur... un peu réductrice pour une femme engagée, dis donc... si on ajoute que c'est plutôt moyennement joué (à part Zidi, charmant, qui sauve le film) et très moche niveau image (si on peut appeler ça "image", ça fait genre on allume la caméra et on filme) je comprends mieux les gens qui ont quitté la salle à moitié du film.
    Salutations aux nouveaux arrivés sur le site, qui ont rempli de 5 étoiles leur première critique (sur ce film) et qui vont mettre une note négative à ma critique...
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2019
    Angèle (Judith Davis) est une militante en colère. Tout l'afflige et lui nuit dans le monde d'aujourd'hui : la ville embouteillée, les distributeurs automatiques qui ont remplacé les bistros, les discours vides de sens.
    Cette militante née est née dans une famille de militants. Mais après les déceptions du mitterrandisme et la chute du Mur, ses membres ont renoncé à l'engagement. Sa mère (Mireille Perrier) a disparu à la campagne. Sa sœur aînée (Mélanie Bestel) a épousé un jeune loup de la steppe managériale dont elle a eu tôt fait d'embrasser le mode de vie. Son père (Simon Bakhouche), chez qui Angèle se réinstalle après avoir perdu son travail, vit dans la nostalgie d'un temps perdu. Seule Angèle et sa fidèle amie Léonor (Claire Dumas) ont encore la foi du charbonnier.

    La génération X, née après le baby boom, n'a pas eu de chance. Post soixante-huitarde, elle a connu le déclin des idéologies qui avaient bercé ses parents : communisme, maoïsme, tiers-mondisme, féminisme... Les luttes se sont diffractées, l'espoir d'un Grand Soir a régressé, l'engagement militant s'est fracassé sur le mur des égoïsmes et de l'ironie cynique. La génération X a hérité d'un second legs dont elle se serait bien passé : la crise du marché du travail, la montée du chômage, la difficulté à trouver sa place dans un monde qui ne l'a pas attendue.

    Judith Davis porte à l'écran la pièce qu'elle avait montée avec le collectif "L'Avantage du doute". Les mêmes acteurs l'entourent (notamment l'étonnante Claire Dumas à qui on aimerait promettre une belle carrière), auxquels se rajoutent des visages plus connus : Malik Zidi et Mireille Perrier. "Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes" évoquait déjà la trace laissée par l'engagement militant de ses parents : mais le film, sorti en 1993, racontait l'année 1958. Sorti l'an dernier, assassiné par la critique et boudé par les spectateurs, "Les Affamés", mettait lui en scène des jeunes pleins d'imagination pour trouver coûte que coûte leur place dans la société.

    "Tout ce qu'il me reste..." a sa façon bien à lui de traiter de sujets importants : le militantisme, la - saine - révolte face aux inégalités du monde, les difficultés de la mobilisation collective. Il le fait avec une ironie qui n'est pas sans rappeler "Au nom des gens" : Angèle (Judith Davis) est une cousine de Bahia (Sara Forestier) dont elle partage l'énergie et la capacité de mobilisation.

    Le film semblait bien lancé dans sa première moitié. Il s'affadit dans sa seconde quand les questionnements politiques de l'héroïne se replient sur des névroses personnelles. On se serait bien passé du coup de foudre, aussi charmant soit-il, qu'elle vit avec un séduisant instituteur et de ses retrouvailles sans paroles avec sa mère. Un peu Rosa Luxembourg, un peu Bridget Jones, c'est dans le premier de ces deux rôles qu'on préfère Judith Davis.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2019
    Comment garder son sens de l’engagement quand ses propres parents semblent l’avoir renié?
    Comment se construire sur une histoire qui n’a pas dit toute sa vérité?
    Angèle est à vif, comme hargneuse vis à vis de la société et du retournement de veste de ses parents. Elle doit faire face au manque de conviction des autres et à ses propres contradictions.
    Il ne s’agit pas que d’une comédie. Il y a du dramatique dans cette histoire qui tombe à point nommé en plein gilets jaunes.
    A voir, pour rire mais pas seulement. Pour réfléchir à nos origines soixante-huitardes et soutenir ce film qui mérite d’être porté bien plus haut, bien plus grand, que quelques salles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2019
    La difficulté d'allier sa conception d'un monde à améliorer et la réalité du contexte de la vie est bien vue.
    Cela amène à revisiter les aspirations de sa jeunesse et réfléchir à ce qu'on en a fait.
    Bravo, c'est agréable et aussi porteur d'espoir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 février 2019
    Surtout ne le rater ce film. Excellent, drôle... Tout a été très bien dit par les critiques excellentes de libé à Paris Match en passant par le canard et l'alternative économique ! Donner lui sa chance de rencontrer un large public.
    Les comédien-n-es sont super drôles et attachant-e-s. Merci à Judith Davis pour ce petit bijoux d'humour et de tendresse !
    C'est une caresse dans la brutalité de l'actualité. Mu d'Ardèche
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 10 février 2019
    Sur ce genre de thématique politique, il vaut mieux prendre un peu de recul, et donner un zeste de légèreté à ses personnages. Las, Angèle, personnage principal interprété par la réalisatrice, est totalement dénuée d’humour, ne sourit jamais, et devient tout au long du film de plus en plus antipathique.
    axelle J.
    axelle J.

    118 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 février 2019
    spoiler: Je pensais voir un comédie sociale originale, fraîche, attachante, drôle, réussie et puis non c'est tout le contraire. Ce n'est pas amusant, c'est plombant, aucun personnage n'est attachant. En plus on sent bien le manque de moyens financiers, le film est bas de gamme. Je mets quand même une étoile pour le sujet intéressant au départ.

    spoiler: En outre, je constate que 90 % des excellentes critiques proviennent d'internautes fraîchement inscrits, n'ayant jamais émis de commentaires auparavant (copinage ?!).
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