Tout ce qu'il me reste de la révolution : Critique presse
Tout ce qu'il me reste de la révolution
Note moyenne
3,6
20 titres de presse
20 Minutes
Bande à part
CNews
L'Express
La Croix
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
Ouest France
Positif
Première
Sud Ouest
Télérama
Cahiers du Cinéma
Franceinfo Culture
L'Obs
Le Parisien
Transfuge
Le Figaro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec la coscénariste Cécile Vargaftig, Judith Davis offre un état des lieux de la France d’aujourd’hui, où l’obligation de rentabilité fait souffrir la population.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce premier film politique en forme de comédie légère nous apporte le bonheur, ici et maintenant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Adapté de sa pièce de théâtre créée avec sa troupe, Judith David reprend le personnage d’Angèle dans cette comédie politique pétillante et pleine d’amour.
L'Express
par Antoine Le Fur
Par moments, "Tout ce qu'il me reste de la révolution" peut fatiguer à force de vouloir faire adhérer à tout prix le spectateur à l'idéologie de la réalisatrice. Mais, au milieu de cette énergie, l'émotion affleure, donnant naissance à quelques belles séquences [...].
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le talent de Judith Davis, actrice, scénariste et réalisatrice, éclate dans cette comédie, pleine d’un charme impétueux, sur la perte des idéaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Si le film trahit parfois son origine théâtrale et cède par moments à certains typages sociologiques, il convainc néanmoins par sa façon d'ancrer la comédie dans de véritables enjeux d'espace.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Cette comédie explosive de la théâtrale Judith Davis transmet une énergie redoutablement bénéfique pour repenser le monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si le film s’émiette par moments dans la radiographie globale de son tout et ne parvient pas à réchauffer ces restes d’une fausse révolution, il pose la nécessité d’un changement avec une simplicité aussi éclatante que précieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Dans les limites où il se trouve enfermé par les circonstances, et qui sont celles de ce qu’on pourrait appeler, de façon un peu générale, le "cinéma français de scénario", "Tout ce qu’il me reste de la révolution" est une réussite : par sa manière de lutter contre ces mêmes limites, avec une certaine combativité qui passe par l’humour et finit par emporter le morceau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Drôle et juste.
Positif
par Yannick Lemarié
De sa conception à sa réalisation, "Tout ce qu'il me reste de la révolution" porte en lui une utopie. Il le fait avec modestie, intelligence, subtilité et humour.
Première
par Sophie Benamon
Valois du jury du dernier festival d’Angoulême, ce premier film est une belle découverte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un « feel good movie » assez fin pour décrypter le monde moderne sans culpabiliser, assez burlesque pour faire rire sans abêtir. Où la jeunesse reprend les choses en main, où l’intime et le politique s’interrogent, où les personnages sont à la fois allumés et justes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Une comédie qui redonne la foi en tout.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Quelque chose du pur esprit de 68 rejaillit là, de manière simple et directe : interroger le quotidien en l’interpelant, remodeler à la volée son cadre de vie, réclamer le droit à l’épanouissement.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film capte le désir d’un retour au "civisme" en en donnant l’exemple par l’humain pour toucher le politique. Un discours contemporain, naïf, utopique, mais concret.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Pour son premier long-métrage, l'actrice Judith Davis embarque son collectif théâtral, l'Avantage du doute, et signe une comédie enlevée, bien qu'un poil monocorde, sur notre époque cynique et peu épique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
On n’est pas loin du « Nom des gens », de Michel Leclerc, avec une Sara Forestier aussi explosive que Judith Davis qui fait ici merveille devant et derrière la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Antoine Du Jeu
Attachant car sincère dans le fond, ce premier film reste gentiment dans les clous dans la forme.
Le Figaro
par La Rédaction
Portrait d'une fille de gauchistes à l'heure des idéaux en berne. Une comédie Nuit debout plus foutraque que drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Avec la coscénariste Cécile Vargaftig, Judith Davis offre un état des lieux de la France d’aujourd’hui, où l’obligation de rentabilité fait souffrir la population.
Bande à part
Ce premier film politique en forme de comédie légère nous apporte le bonheur, ici et maintenant.
CNews
Adapté de sa pièce de théâtre créée avec sa troupe, Judith David reprend le personnage d’Angèle dans cette comédie politique pétillante et pleine d’amour.
L'Express
Par moments, "Tout ce qu'il me reste de la révolution" peut fatiguer à force de vouloir faire adhérer à tout prix le spectateur à l'idéologie de la réalisatrice. Mais, au milieu de cette énergie, l'émotion affleure, donnant naissance à quelques belles séquences [...].
La Croix
Le talent de Judith Davis, actrice, scénariste et réalisatrice, éclate dans cette comédie, pleine d’un charme impétueux, sur la perte des idéaux.
Le Monde
Si le film trahit parfois son origine théâtrale et cède par moments à certains typages sociologiques, il convainc néanmoins par sa façon d'ancrer la comédie dans de véritables enjeux d'espace.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie explosive de la théâtrale Judith Davis transmet une énergie redoutablement bénéfique pour repenser le monde.
Les Inrockuptibles
Si le film s’émiette par moments dans la radiographie globale de son tout et ne parvient pas à réchauffer ces restes d’une fausse révolution, il pose la nécessité d’un changement avec une simplicité aussi éclatante que précieuse.
Libération
Dans les limites où il se trouve enfermé par les circonstances, et qui sont celles de ce qu’on pourrait appeler, de façon un peu générale, le "cinéma français de scénario", "Tout ce qu’il me reste de la révolution" est une réussite : par sa manière de lutter contre ces mêmes limites, avec une certaine combativité qui passe par l’humour et finit par emporter le morceau.
Ouest France
Drôle et juste.
Positif
De sa conception à sa réalisation, "Tout ce qu'il me reste de la révolution" porte en lui une utopie. Il le fait avec modestie, intelligence, subtilité et humour.
Première
Valois du jury du dernier festival d’Angoulême, ce premier film est une belle découverte.
Sud Ouest
Un « feel good movie » assez fin pour décrypter le monde moderne sans culpabiliser, assez burlesque pour faire rire sans abêtir. Où la jeunesse reprend les choses en main, où l’intime et le politique s’interrogent, où les personnages sont à la fois allumés et justes.
Télérama
Une comédie qui redonne la foi en tout.
Cahiers du Cinéma
Quelque chose du pur esprit de 68 rejaillit là, de manière simple et directe : interroger le quotidien en l’interpelant, remodeler à la volée son cadre de vie, réclamer le droit à l’épanouissement.
Franceinfo Culture
Le film capte le désir d’un retour au "civisme" en en donnant l’exemple par l’humain pour toucher le politique. Un discours contemporain, naïf, utopique, mais concret.
L'Obs
Pour son premier long-métrage, l'actrice Judith Davis embarque son collectif théâtral, l'Avantage du doute, et signe une comédie enlevée, bien qu'un poil monocorde, sur notre époque cynique et peu épique.
Le Parisien
On n’est pas loin du « Nom des gens », de Michel Leclerc, avec une Sara Forestier aussi explosive que Judith Davis qui fait ici merveille devant et derrière la caméra.
Transfuge
Attachant car sincère dans le fond, ce premier film reste gentiment dans les clous dans la forme.
Le Figaro
Portrait d'une fille de gauchistes à l'heure des idéaux en berne. Une comédie Nuit debout plus foutraque que drôle.