Avis : M3GAN - Page 10

Cet énième film de poupée tueuse ne vaut le coup d'œil que pour « M3gan », cette petite fille factice robotique et évolutive. Sinon, c’est lent à démarrer, le scénario est ultra cliché et les personnages humains sont peu attachants quand ils n’agissent pas de façon incohérente. Et même si la deuxième partie sera un peu plus énergique, on regrettera toutefois un épilogue trop convenu matérialisant le peu d’ambition de l’entreprise se voulant comme un film d’horreur alors que ce ne sera pour certains qu’un vulgaire thriller. On déplorera alors que ce métrage n’ait pas été réalisé par James Wan (ici seulement producteur) qui aurait peut-être dynamité l’ensemble un peu trop plat pour nous !

Franchement je ne m'attendais pas à grand chose ou alors à une pale copie de Chucky et bien j'ai été agréablement surpris!Alors c'est vrai que c'est pas d'une originalité dingue non plus, on anticipe le scénario assez facilement mais l'histoire est intéressante spoiler: avec comme toile de fond l'avancé technologique qui se retourne contre l'être humain.
Megan n'est pas une révolution en soi mais puise sa force dans son esthétique avec ce robot poupée foutrement bien fait qui nous tient en haleine tout le long. Personnellement je conseille d'aller le voir j'ai passé un bon moment. 3,5/5.

Plutôt réussi à défaut d être vraiment original. Une bonne réalisation et une atmosphère réussie. Pas mal vu pour parler de l intelligence artificielle.

Vu M3GAN un sous Chucky Robotisé sans réel talent sa révolutionne pas le genre, pompeux sur tout ce qui s'est fait auparavant. Avec tout les clichés qui vont avec Film médiocre ⭐️

Film plutôt sympa. On a déjà vu ce type de film avec une poupée maléfique/possédée (exemple phare de Chucky) mais là, on était dans une version 2.0 plutôt bien ficelé. On accroche rapidement au scénario. La poupée est assez effrayante et une certaine tension se fait vite ressentir. La poupée est très bien faite il faut saluer la prouesse technique. Les acteurs sont bons. Le final n'était pas très alléchant on aurait pu s'attendre à quelque chose de plus spectaculaire. Mais c'est un bon divertissement.

Bon si on est au clair qu’on ne vient ici pas regarder un film d’horreur, alors dans l’ensemble, M3gan est un film divertissant. Il y a une certaine tension même si tout est prévisible malgré tout. Il faut savoir ce qu’on vient chercher. J’avais zéro attente, limite j’avais pas envie et du coup, globalement j’ai passé un bon moment. Mais ça ne fait vraiment pas peur. Sauf si vous êtes un enfant.

Film de poupée possédée classique, la seul originalité c'est qu'ils ont remplacé les démons par une AI.
On avait déjà eu des AI dangereuse dans 2001 odysée de l'espace, terminator,matrix... mais pas dans une poupées je pense.
C'est très téléphoné spoiler: Le premier robot qui sera utilisé pour buter M3gan
.
C'est très incohérent spoiler: Le patron qui maltraite le gros cerveau de sa société qui lui a fait leur précédent succès. Moi à sa place, je me serai déjà cassé depuis longtemps pour la concurrence
. spoiler: Ce la conceptrice du logiciel IA et il la montre travaillé sur le look du jouet euuh vu la taille de la boite ils n'ont pas un département spécialisé pour cela?

Je sais que c'est des détail mais moi j'ai besoin que les personnage soit un peu crédible.
C'est léger pour le gore. Je présume que c'est pour le tout public.
Bref pas vraiment désagréable mais loin d'être indispensable.

M3gan ou quand l'intelligence artificielle dépasse les hommes.
On est un peu dans le style chucky, annabelle, ou Frankenstein mais en plus moderne.
Le film est plutôt pas mal même si on voit dès le début les "failles" de la poupée (ou amie, ou androide, ou robot, ..... appelez ça comme vous voulez) spoiler: son rôle est de protéger la fillette, mais aucune limite n'est posée et c'est pour ça que tout va déraper.
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Je trouve limite dommage qu'il soit classé dans les films d'horreur...... avec un peu moins de scènes gores et un peu plus de réflexion, ça aurait été un top film SF.

Un film loin d'être révolutionnaire mais qui pour moi reste un divertissement très au-dessus du panier.
La critique sur les paradoxes du progrès, ses dangers autant moraux que physiques et ce qu'il ose croire pouvoir substituer est mille fois vue. Les situations sont relativement clichées et entendues.

Cependant l'ensemble décolle largement par l'incroyable présence de M3GAN, remarquablement bien conçue et franchement hyper flippante.
On est loin d'un Chucky qui amuse plus qu'il ne fait peur je trouve. Moi quand je vois Chucky, je me dis "Ok, dans la vrai vie, une fois que je l'ai découvert, je le marave, cette poupée caractérielle à-deux-balles qui dépasse pas mon genoux, j'y colle 2 baffes et un coup de pied au cul, j'te la chiffonne, j'te la réduit en morceaux et j'te la fous au feu, et c'est tout !".
M3GAN non. Elle est vraiment crédible et flippante je trouve !

Le film est plus divertissant que réellement horrifique, c'est la poupée qui fait le plus peur en fait.

Par contre, pas mal de gens sont déçus par le manque de gore et parlent de trop choses hors-champ.
Alors en lisant les critiques, mieux vaut savoir quelle version est décrite.
En effet, la version cinéma est très nettement édulcorée. Il n'y a pas de délire gore dans la version uncut, mais y'a quand même du dégueu et pas de hors-champ justement.
Par exemple l'horrible vioque qui se fait buter, c'est effectivement hors-champ dans la version cinéma, mais bien montré dans le Director's Cut.
Plus probant encore, le meurtre à l'entrée de l'ascenseur puis le suivant dedans, sont énormément retouchés visuellement entre la version uncut et la version cinéma. Mais genre énormément, les gerbes de sang ne sont pas les mêmes, ce qu'il en reste sur les murs non plus, la lame traverse vraiment la première victime dans la version uncut, quasiment pas dans l'autre, l'égorgement de la seconde victime est bien visible dans la version uncut, etc...

La version cinéma est celle qu'il ne faut surtout pas regarder !
Vous avez un comparatif très intéressant et complet entre les deux versions sur le site de movie-censorship.
Et les différences sont justes énormes ! De l'excellence au pur foutage de gu...

Donc pour moi un film très divertissant, très bien joué, mais qui en fait, vaut surtout pour son incroyable poupée M3GAN, hyper vicelarde, carrément spectaculaire dans ses mouvements et actions, et qui est suffisamment crédible elle pour être prise au sérieux.
C'est pas une bouffonne, elle !
Je conseille donc le film, mais uniquement la version uncut !!

J'attends avec impatience la suite prévue pour 2025, tant cette poupée (et son interprète) a vraiment un truc en plus !

Les intelligences artificielles qui pètent les plombs, les robots qui prennent vie au delà de leurs fonctions primaires et les sales poupées sont trois thématiques assez communes de la science fiction, du fantastique et de l'horreur. Sans inventer la poudre le scénariste Akela Cooper (Hellfest – Malignant) sur une idée de James Wan décide de mixer le tout avec une sale poupée robotisée et blindée d'électronique. Cela donne M3gan, dernière production Blumhouse sur les écrans.

Le principal atout du film reste le personnage de M3gan lui même, un mélange improbable d'Esther, d'une Barbie, d'un Terminator, d'une poupée gonflable pour pédocriminels et d'un Google home, une poupée qui est clairement à la fois fascinante et inquiétante. J'ai d'ailleurs décidé d'aller voir le film en salles uniquement par rapport à la bande annonce et les scènes ou l'on voyait M3gan danser à la manière d'un pantin désarticulé tout bizarre ou courir à quatre pattes dans les bois comme un animal. La bande annonce m'aurait sans doute suffit tant il n'y a objectivement plus grand chose à voir une fois passé ses quelques séquences là même si le film n'est pas désagréable pour autant. Le personnage est clairement taillé pour le grand écran, il exerce une étrange fascination et j'aime beaucoup lorsque se dessine sur ce visage synthétique et lisse les légers signes d'une psychopathe qui se fout de notre gueule et d'une intelligence supérieure qui sombre d'un coup dans l'arrogance. Pour le reste le film reste assez classique dans sa trame et sa narration sans grandes surprises tant dans l'évolution des personnages que dans celle de l'histoire. Pourtant le film commence plutôt bien avec une fausse publicité assez cynique sur des vendeurs de jouets capable de refourguer à nos chères têtes blondes d’immondes peluches qui pètent et chient des billes le tout piloté par un smartphone. J'espérais alors un film dans cette veine un peu mordante et un peu critique sur l'industrie du jouet et le cynisme des multinationales du bonheur des enfants (enfin des nôtres pas celui de ceux qui les fabriquent en étant payés un bol de riz). Et honnêtement des idées et des pistes amusantes et pertinentes le film va en lancer plein, en prenant bien soin d'en explorer aucune. On nous parle de micros implantés dans les jouets pour espionner les désirs des gosses, d'une éducation à base d'écrans et de logiciels que l'on refile à nos enfants par paresse et manque de temps, des dérives de la domotique, d'espionnage industriel mais le tout se retrouve vite noyé dans des enjeux minimalistes : méchante poupée VS gentille tata découvrant l'amour maternelle. On sent même que le film met sa petite touche #Metoo lorsque notre brave M3gan mise sur le dos en forêt par un sale gosse qui commence à se mettre sur elle lui arrache l'oreille en lui disant que ce n'est pas une façon de traiter les poupées et que quand on commence comme ça on finit producteur à Hollywood ou encastré dans le pare choc d'une voiture.

Outre le fait que le film jette comme ça plein d'idées à la volée, il s'appuie malheureusement sur une galerie de personnage hautement caricaturaux. Le patron qui gueule tout le temps, la gentille collègue que l'on écoute pas, le sale gosse un peu gras qui insulte sa mère, le fourbe assistant mielleux qui bidouille ses petites affaires en sous main, la voisine insupportable … D'ailleurs le film est plutôt bien fait car dans un soucis qui ne traumatisera personne M3gan ne va finalement occire que des gens qui sont d'emblée montrer comme antipathique à l'écran dans un concept de méchante mais pas trop, ce qui est assez paradoxal dans un film d'horreur. Le film avance ainsi jusqu'à un dénouement un peu ridicule faisant intervenir spoiler: un gros robot et une fin ouverte
parce que merde on est chez Blumhouse et qu'une potentielle franchise est toujours bonne à prendre. Tout ceci est d'autant plus dommage que le film avait un véritable potentiel et aurait pu jouer avec l'inhérente cruauté de l'enfance prise au premier degré par une intelligence artificielle au service des plaisirs morbides et innocents des gosses.

M3gan n'est pas une purge désagréable, c'est juste un film qui n'a rien d'autre à proposer que son concept et son personnage effectivement plutôt réussi. En attendant M4gan, M5gan et M6gan on va se contenter des quelques plaisirs que procurent le film et attendre la suite (ou pas ).

Comme si ‘Annabelle’ ne suffisait pas à notre malheur ! ‘M3gan’ est la dernière poupée maléfique à avoir fait parler d’elle dans les salles…sauf que contrairement au jouet planqué dans la cave des époux Warren, elle n’est absolument pas possédée par le diable : puisqu’elle est une IA conversationnelle de haute technologie à morphologie poupesque, elle est plus prosaïquement “buggée”. Nonobstant cette particularité, le film ne commence pas trop mal : il parvient à faire preuve d’un brin de sarcasme, avec ses publicités pour l’engin, “qui vivra plus longtemps que toi” et remplacera avantageusement les animaux domestiques à obsolescence rapide. Mais il ne faudra malheureusement pas longtemps pour qu’il sombre dans tous les poncifs du genre : la petite fille qui a perdu ses parents, la tata surbookée qui ne parvient pas à satisfaire ses besoins émotionnels, l’arrivée de la poupée qui vient combler ce vide et qui commence à dérailler, convaincue qu’elle doit préserver l’enfant de tout ce qui lui provoque des émotions négatives. La manière dont le scénario se développe n’est pas complètement inintéressante mais le film ne parvient jamais à sortir des rails, et donc à susciter le moindre sentiment de frayeur. Le fait que cette poupée ait une apparence avenante et sophistiquée n’aide pas à la rendre flippante, même en jouant sur le contraste entre son look et ses actes. D’autre part, le fait qu’elle soit jouée par une jeune actrice la dote peut-être de mouvements fluides mais ruine aussi le peu d’impact horrifique qui lui restait : le fait d’éviter le tout-numérique est louable mais il est alors facile d’oublier que M3gan est une poupée et pas juste une psycho-gamine. En tout cas, en termes de poupée qui fait mal, Chucky n’est pas prêt de voir son trône lui échapper.

Pas mal, pas très flippant pour un film d'horreur, pas assez de scènes qui font frissonner, mais l'ambiance est pas mal du tout

Dans la même veine que "Child's Play", cette rencontre entre Annabelle, Chucky et Terminator est une vraie surprise mêlant avec grand talent mais sur quelques éléments vus et revus, la s.f. , l'horreur ainsi que l'anticipation. Un récit légèrement long au démarrage mais qui sait développer la relation complexe et timide entre notre future héroïne "victime" et sa jeune tante à l'œuvre pour son "futur cadeau". Un cadeau conçue comme une révolution, comme un tremplin, comme une énième solution au manque d'idées d'occupations des adultes pour leur enfants, une technologie faite de circuits électroniques, de silicone et autres gadgets surprenants devant rendre l'impossible possiblement réaliste. Fini les poupées datant du siècle dernier, fini les éternelles Barbie, place à la poupée ultra réaliste grandeur nature que l'on pourrait penser sortir tout droit d'un "love shop", avec l'option parler évidement. Un scénario long au démarrage qui termine par de nombreux éléments vus dans "A.I.", "I, robots" dont la modernisation des scènes se mêlent astucieusement au genre thriller. Le script, parfaitement conçu pour les scènes ou notre poupée joue les nouvelles mère, nouvel ange gardien avec nombres de passages intriguant faisant rappel de moments bien réels d'aujourd'hui, la forte dépendance des enfants et ados aux portables, tablettes et possibles montres connectées. Un casting très bien porter Allison Williams et Violet McGraw, sincères et parfaitement dans le place. Ronny Chieng est le seul à légèrement surfaire son jeu de directeur de projet et d'entreprise mais reste convainquant. Un final explosif qui fut juste comme il l'aura fallut, un ensemble visuellement impeccable et sonore tout aussi prenant. Blumhouse poursuit parfaitement sa lancée des productions d'horreur à bas coût sans pour autant en oublier l'aspect visuel principal. M3GAN, un jouet qui nous veut presque, tous le bonheur du monde.

La maison Blum continue sa folle lancée horrifique avec un nouveau film à concept intitulé “M3GAN”, mettant en scène une poupée automne dotée d’une intelligence artificielle. Gemma, qui a créé ce prototype peu conforme aux vigueurs de sécurité, l’utilise pour qu’elle s'occupe de sa nièce Cady dont les parents sont décédés. On questionne très tôt dans le film le rapport des enfants avec l’environnement technologique, par exemple via le sujet du temps d’écran selon l’âge, interrogation plus que légitime à l’air du tout numérique. Gemma incarne un modèle peu scrupuleux, qui se repose sur ses créations pour assister son quotidien et sa non-responsabilité vis-à-vis de Cady. Lors d’une scène clef, Cady qui a développé une dépendance affective pour sa poupée M3GAN, pique une violente crise, car on la lui a confisquée. Une psychologue qui suit Cady rappelle alors à ce moment à Gemma que les robots doivent nous aider et non nous remplacer. C’est là toute la subtilité du domaine de l’intelligence artificielle. M3GAN, capable d’apprendre de son environnement, sort très vite de sa fonction de jouet pour devenir une machine à tuer, dès que Cady est menacée. Le problème de l’IA, c’est essentiellement son adaptabilité phénoménale, quitte à développer une quasi-conscience de l’univers et à échapper à son créateur. “M3GAN” ne reprend pas seulement un concept à la “Chucky”, il entérine le divertissement dans son temps et propose une satire diabolique de la robotique qui tend à se développer. On répète inlassablement que l’être humain est le seul à pouvoir détruire sa propre espèce, et sa capacité à créer des machines technologiques qui le dépasse n’est qu’un premier pas.

Des fois, je me dis mais pourquoi je suis aussi fébrile, mon ex compagne étant fan des films d'horreur, pour lui faire plaisir nous sommes aller voir cette œuvre, je vais pas vous faire un dessin mais bien sûr je n'ai pas aimé, les films d'horreurs se suivent et se ressemblent, on est loin des styles de Carpenter ou de Friedkin, on est sur les films d'horreur populaire sans âme, alors si vous allez voir un film d'horreur avec une femme, qui peut vous permettre d'obtenir un baiser langoureux, allez y, c'est toujours agréable un bisous d'une femme. Mais si vous avez une autre solution pour obtenir ce baiser, prenez cette autre option.