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    Blackbird
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    Iman Calista
    Iman Calista

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2020
    Blackbird est un film tres touchant bien que les personnages manquent de profondeur et soient assez stéréotypés.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Voilà un film qui prend au tripe traitant d'un sujet toujours d'actualité. Ici rien de morbide mais une femme qui décide de mettre fin à ses jours d'une manière peu conventionnelle puisque sa famille le sait. Un weekend , le dernier pour elle, pour eux. Des mises à nues des personnages émergeant au fur et à mesure que la fin programmée arrive.
    Un jeu d'acteurs exceptionnel qui nous permet de garder la distance pour ne pas nous laisser envahir par nos émotions, nos propres deuils et de comprendre ainsi le choix de mettre fin à la vie !
    Exceptionnel. Bravo
    Mario Aldrovandi
    Mario Aldrovandi

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Un des meilleurs films! La Story, les acteurs, la caméra, la lumière - parfait. J’espère qu’il va gagner plus s’un oscar.
    Marie C
    Marie C

    12 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Joli film traitant d'un sujet peu abordé encore.
    Très touchant. J'ai beaucoup aimé et pleuré. Kate winslet et Susan sarandon parfaites comme d'habitude
    Le D.
    Le D.

    204 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 octobre 2020
    "Blackbird" est un film dramatique plutôt pas mal avec une histoire intéressante. Les personnages sont sympa, j'ai trouvé que le film été un peu long à certain moment et qui manqué un peu de rythme et de rebondissement. C'est dommage qui n'est pas énormément de décors et que les personnages reste dans un est même décors.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 octobre 2020
    Susan Sarandon sublime dans ce rôle, les autres acteurs excellents aussi
    Un film plein d'émotions variées et bien sûr une réflexion sur l'euthanasie ne laissant personne indifférent ... A chacun sa vérité
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Il était évident qu’avec un casting comme celui-là je ne pouvais que me déplacer pour aller voir ce « Blackbird ».
    Et ça tombe bien puisque ce film donne clairement la part belle à ses comédiens.
    Pensé comme une sorte de huis-clos familial, « Blackbird » fait clairement partie de ces longs-métrage qui entend faire reposer son intérêt et son charme sur l’exploration de personnages et de relations problématiques ; un procédé qui – l’air de rien – appelle à beaucoup de savoir-faire et de délicatesse pour être efficace.
    Or, quand on a Susan Sarandon, Kate Winslet, Sam Neill et Rainn Wilson à son service pour donner corps à tout ça, forcément ça facilite l’affaire…

    Alors certes, oui, en un sens, « Blackbird » est loin d’être inefficace dans sa manière de faire.
    S’appuyant sur une écriture solide de son intrigue, le film parvient à enchainer les moments de découverte, de questionnement et de retournement avec une certaine malice et un véritable sens de l’équilibre.
    Chaque scène est d’autant plus efficace qu’elle prend la peine d’explorer sans cesse un personnage plus en profondeur, soit dans sa manière d’interagir avec tout le groupe, soit à l’occasion d’un échange plus particulier entretenu avec l’un des membres de ce cercle restreint.
    Et l’ensemble fonctionne d’autant plus que tout ce jeu de découverte s’organise autour d’un moment fort particulièrement bien choisi pour susciter dès le départ des sensations contrastées et antagonistes :
    le choix affiché et assumé d’un des personnages de passer un dernier week-end en famille avant de mettre fin à ses jours.

    Seulement voilà, dans ce genre d’exercice, l’art de bien mener son affaire est fort délicat.
    D’un côté il faut savoir rendre sensible les situations, mais d’un autre côté il ne faut pas trop en faire, au risque de crisper.
    Et si, globalement, Roger Michell s’en sort plutôt bien la plupart du temps, se contentant d’une mise en scène assez sobre, agrémentée d’une musique suffisamment épurée et discrète pour faire convenablement son office, il n’empêche que l’artifice fut parfois palpable me concernant ; un peu trop souvent pour ce film parvienne à me prendre.

    Ça ne tient pas à grand-chose, c’est vrai, mais assez régulièrement il y a ces moments un brun trop grossier et démonstratif pour qu’on n’y voit pas là une astuce de scénariste.
    Par exemple, au début du film, le personnage de Michael annonce son arrivée en klaxonnant au loin. Sa femme, Jennifer, assise sur le siège passager, le rabroue dans l’instant. « Ce n’est pas comme si on arrivait à une fête » dit-elle. Une réflexion qui permet au spectateur de comprendre toute l’ambigüité de la situation sans qu’on la connaisse vraiment encore. Une réflexion qui aurait pu d’ailleurs se suffire à elle-même.
    Mais voilà que la mère de Jennifer – Lily – apparait sur le perron. Le malaise s’exacerbe alors chez Jennifer qui décide – pour feindre l’aisance, de klaxonner nerveusement et d’afficher ostensiblement un sourire crispé.
    La scène invitait clairement à sourire et pourtant, moi, ça m’a fait tiquer.
    C’était trop forcé. Trop gros. Et au fond ça n’a rien ajouté de ce qu’on savait déjà : la situation est ambiguë et Jennifer est mal à l’aise avec ça.
    Michell a voulu trop en faire, trop clarifier, trop signifier.
    Et malheureusement se problème ressurgit souvent dans pas mal de dialogues.
    Quand bien même ceux-ci expriment-ils assez fortement les traits de caractère de chacun, au point de frôler parfois la caricature, il faut malgré tout qu’en plus de ça Roger Michell et son co-scénariste Christian Torpe se sentent l’obligation de verbaliser leurs intentions en les faisant dire par d’autres personnages qui se plaindront régulièrement de telle ou telle attitude.
    Et c’est bête parce que non seulement ce n’était pas nécessaire mais en plus ça participe à rendre quelques échanges un brin factices.

    Malgré tout, cela n’empêche pas ce film de parvenir à quelques beaux moments justes et c’est vraiment tout à son honneur.
    spoiler: La scène du repas de Noël est par exemple particulièrement réussie. On passe de la crispation, à la détente. Puis de la détente à la légèreté. Survient alors le moment de faire les cadeaux et alors survient l’émotion. De la joie de se remémorer les bons souvenirs on bascule rapidement à la tristesse que suscitent de tels legs ; qui fonctionnent comme autant de rappels de ce qui surviendra à la fin du week-end. Et alors qu’on pense que la scène va contempler cet instant d’au-revoir paisible bien que fort en émotion, l’intervention d’Anna fait tout voler en éclat. La décision de Lily qui paraissait jusqu’alors comme sage et admirable apparait soudainement comme égoïste et lâche. Les bascules sont particulièrement bien menées et toutes les ambigüités du week-end se retrouvent finalement synthétisées en ce seul instant. C’est habile. Franchement, pour moi, cette scène c’est clairement le meilleur moment du film.

    Mais ce qui est dommage avec ce film, c’est que cette justesse n’est que ponctuelle, et elle fait malheureusement cruellement défaut à un moment-clef : le climax final.

    Lors de ce « face-à-face » final, chez moi, rien n’a fonctionné.
    spoiler: La tension monte artificiellement. Kate Winslet passe son temps à faire des aller-retours en n’arrêtant pas de faire lever la mayonnaise sans accoucher de ce qu’elle a à dire. Dès lors la caméra de Roger Michell ne sait plus où se poser et, dans le doute, se cache derrière un plan d’ensemble tout plat où tout le monde est figé sauf Kate Winslett qui va d’un bout à l’autre de la pièce. Puis chacun réagit à tour de rôle, déroulant le récit qui est attendu de lui, avant d’arriver à une révélation assez prévisible et qui – pour ma part – ne me choque en rien. Vient alors ce plan où, par un traveling assez lourdaud, chacun opine du chef pour accepter la décision de mamie Lily. Ah ça ! J’avoue ça m’a tué.


    Du coup, à bien tout prendre, j’avoue que mon impression finale de ce film est quand même assez terne.
    J’aurais pu la percevoir comme une œuvre touchante parce qu’universelle et « relativiste » à la Suzanne Bier, mais au lieu de ça je n’ai pu m’empêcher de la ressentir comme une énième complainte bobo qui passe son temps à s’accabler sur ses petits problèmes existentiels de riches.
    Et c’est dommage parce que ce n’est clairement pas ce que voulait en faire Roger Michell.
    Comme quoi, sur ces questions là, l’équilibre d’une œuvre est délicat.
    …Et quand la délicatesse vous manque, c’est tout un instant – crucial soit-il – qui peut être gâché…
    bfredd9
    bfredd9

    25 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2020
    Film qui résume bien tous les enjeux du choix d'une mort digne , traité avec délicatesse et sans mélo.
    Surement un des film à ne pas rater cette année dans le contexte sanitaire qui nous amène à réfléchir sur l'euthanasie et le sort des personnes soignées sans espoir de guérison.
    Catherine V.
    Catherine V.

    56 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Blackbird est le remake américain du film danois Silent Heart, réalisé en 2014 par Bille August.

    Histoire : Lily, condamnée à court terme par une sclérose latérale amyotrophique refuse de connaître ce qui l’attend de manière inexorable et organise une réunion familiale lors d’un week-end pour faire ses adieux à ceux qu’elle aime car elle a décidé de mourir (suicide assisté).

    Cette version US a un casting de choix mais à part écrire que Susan Sarandon ne déçoit bien entendu pas (elle ne m’a jamais déçue), Kate Winsley non plus (méconnaissable) je ne peux rien ”dire” de plus... Qu’on le veuille ou non, le thème a été rebattu des dizaines de fois et il n’y a rien non seulement de bien nouveau qui soit développé dans ce film mais rien d’intéressant, ce qui est pire. Il est évident que ce ressenti m’appartient et que je respecte ceux qui ont trouvé la réalisation superbe, mais ce ne fut pas mon cas.

    Susan Sarandon n’a pas caché qu’elle avait accepté ce rôle car le droit à l’euthanasie, pour cette comédienne très militante, est l’un de ses combats depuis des années.

    J'ai eu droit finalement à une réunion familiale ”typiquement” américaine, pleine de lourdeurs et de situations improbables (une femme qui va se suicider le lendemain mais qui est d’une gaité folle). Des dialogues souvent snob qui seront certainement pas qualifiés de la même manière par tous les spectateurs ”c’est ultrachic d’avoir une lesbienne dans la famille” ou assez singuliers lorsqu’elle appelle ses enfants qui sont à l’étage : ”Et alors, je vais bientôt mourir, vous vous joignez à nous ?”

    Plutôt qu’avoir de l’empathie pour leur mère qu’elles voient pour la dernière fois, les deux filles de la maison, l’une mère de famille, l’autre dépressive et suicidaire (qui ne partagent pas le même avis sur la décision de leur mère) ne vont qu’exprimer leurs ressentiments, leurs rancœurs et régler (plus ou moins en se querellant) leurs comptes.

    Dans ce film, toutes les cases de la famille vue par la lorgnette américaine peuvent être cochées, tout est ”ultra convenu” : la superbe maison en bois à la tenue irréprochable (il n’y a rien qui traine), remplie de souvenirs, un paysage magnifique en bord de mer (sans aucun voisin), les problèmes avec les enfants, les petits enfants, la meilleure amie, les non-dits enfin exprimés par les uns et les autres....

    J’ai bien aimé l’expression d’un critique: ”le caddie est vraiment trop plein”. Pour moi, il a même carrément débordé..

    Il n’y a rien qui manque, absolument rien, à part un bon vieux labrador peut être....

    J’ai cent fois été plus émue par le filmTV ”Right to Die” en 1987 de Paul Wendkos avec une Raquel Welch déchirante (même époustouflante) dans le rôle d'une superbe femme à qui tout semble avoir réussi dans l'existence, vie qui va être irrévocablement changée lorsqu'elle va apprendre qu’elle souffre de SLA . Elle va trouver finalement sa situation de vie impossible à supporter et va demander à mourir.

    Bref, si ”Blackbird” ne mérite pas bien entendu d’être jugé comme une médiocrité absolue, il est loin d’être un très grand film.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Peu importe la direction incertaine que prend le film, le casting porte vers le haut ce sujet fort et fait exister au delà de la pellicule des personnages du quotidien en questionnant avec justesse leur affects et émotions enfouies. Peu importe que Roger Michell cherche à voir trop haut, Blackbird reste en tête grâce aux regards de ses personnages, eux bien terre à terre, porte-drapeaux d’une cause éminemment importante qui trouve entre leurs mains une résonance toute particulière.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Vu le film aujourd’hui :très belles interprétations , très émouvant. J’ai beaucoup aimé le sujet. Je recommande le film sans réserve.
    iasdiess
    iasdiess

    4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    C'est bien et il a des moments d'inspiration - mais je ne peut m'empêcher de comparer avec dolan et "juste la fin du monde"... donc j'ai quand même l'impression d'avoir commandé un coca light...
    fclement
    fclement

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Excellent film. Même si je ne suis pas du tout d'accord avec l'euthanasie, le jeu des acteurs, la justesse des sentiments, l'absence de mélo, ... j'ai passé un TB moment
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    Dommage qu'il n'existe pas un Oscar de la lourdeur, ce film serait grand favori. C'est un mauvais mélo où tout est prévisible, lourd, étiré en longueur pour remplir ce qui est un scénario bien indigent. Quel soulagement quand l'héroïne meurt enfin.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2020
    Traiter de la fin de vie n'est jamais chose simple. Dans Blackbird, tout est abordé : la décision du malade, le partage avec la famille, comment obtenir le médicament, les doutes, les peurs... tout. Et c'est abordé avec justesse. L'excellent casting aide à la réussite du film, c'est évident. Tout comme la réalisation de Roger Michell, qui s'éloigne de la comédie sentimentale. Il faut préparer ses mouchoirs à l'avance, c'est un conseil.
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