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    Blackbird
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    Damien Vabre
    Damien Vabre

    162 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 juillet 2021
    La grande Susan Sarandon méritait mieux que Roger Michell et sa caméra endormie, difficile de s'attacher à cette famille vivant un drame dans cette grande baraque sans âme et buvant des verres de grand vin français... Une caricature de film américain pour les Oscars.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2020
    Je m'attendais un peu à mieux. On est dans un huit clos assez oppressant dû à cette bien triste intrigue. Un casting de rêve porte cette histoire bien triste mais il manque quelque chose, ce petit plus qu'a souvent le cinéma américain.
    PenSebGem92
    PenSebGem92

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2020
    Bonjour,
    Ce film est magnifiquement émouvant. Je l'ai adoré. Triste à souhait. Le sujet est intéressant, compliqué et complexe à la fois. De faire un long métrage sur la fin de vie : Chapeau.
    Je le recommande à toutes les personnes qui aiment Madame Susanne Sarandon car elle est divine. Bonne projection. Salut.
    Audace26
    Audace26

    7 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2020
    Avec pudeur et émotion, le film, servi par le jeu d'actrices talentueuses, retrace une épreuve familiale, la fin de vie d un être cher, qui amène son lot de non dits et de frustrations. Ce huis clos est bouleversant par sa sobriété même si certains éléments du récit semblent superflus. Un film intimiste qui en rebutera plus d'un.
    Fabienne R.
    Fabienne R.

    3 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Enfin un film sur ce sujet tellement tabou. Choisir sa mort c'est une liberté que nous devons obtenir.
    Une belle distribution et une sorte de suspens bien orchestré.
    Film de qualité pour moi et réflexion intéressante.
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2020
    Un sujet pas follement joyeux qui donne un très beau film : la réunion d'une famille dans une grande maison au bord de la mer afin d'accompagner les derniers moments de Lily, la mère, la grand-mère, la belle-mère, l'amie, l'épouse, qui sera euthanasiée le lendemain, car, atteinte de la maladie de Charcot, elle ne supporte pas l'idée de ne plus pouvoir maitriser le reste de sa vie et qui a préféré, en accord avec son mari, prendre cette décision difficile à un moment où cela était encore physiquement possible pour elle. "Blackbird" est un remake, réalisé par le sud-africain Roger Michell, de "Stille hjerte" du réalisateur danois Bille August, celui-là même dont nos chers critiques français n'ont toujours pas réussi à supporter le fait qu'il se voit vu attribuer 2 fois la Palme d'Or cannoise ! A noter que "Stille hjerte" n'a pas eu droit à une sortie en salles dans notre pays et que les scénarios de "Blackbird" et de "Stille hjerte" ont été écrits par une seule et même personne, Christian Thorpe. "Blackbird" traite ce sujet difficile avec beaucoup de pudeur, sans temps mort, certains secrets de famille remontant au cours des discussions ou des promenades dans la nature. Devra-t-on s'étonner que la génération des septuagénaires se montre beaucoup plus jeune d'esprit que celle des quadras ? Quant à la distribution, elle est fastueuse, avec Susan Sarandon absolument remarquable dans le rôle de Lily, Kate Winslet excellente dans le rôle de Jennifer, sa fille ainée, plutôt coincée, Mia Wasikowska, très bonne dans celui d'Anna, l'autre fille, psychologiquement fragile, Sam Neill, très bon interprète de Paul, le mari de Lily, Lindsay Duncan, jouant parfaitement Liz, la meilleure amie de Lily.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 septembre 2020
    Superbe film magistralement interprété. Une émotion rare s'en dégage qui ébranle le spectateur et fait réfléchir sur une question cruciale de notre temps...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2020
    Sujet au combien délicat abordé ici, à savoir celui de "l’euthanasie active", à ne pas confondre avec "l’euthanasie passive" (légale en France) ou encore le "suicide assisté" (lui aussi interdit en France). Si le premier consiste à aider un patient incurable à mourir, le second quant à lui consiste à cesser tout acharnement thérapeutique et à laisser mourir le patient de lui-même.

    Pour mettre en scène ce triste drame familial, on retrouve Roger Michell (Coup de foudre à Notting Hill - 1999), qui s’est attelé à l’adaptation du remake du film danois Stille hjerte (2014) de Bille August. L’intrigue est quasiment identique à l’œuvre originale. On y retrouve trois générations d’une même famille réunies le temps d’un week-end dans leur maison de campagne. Lily & Paul ont conviés leurs enfants et petits-enfants pour un dernier moment en famille, avant que Lily ne les quitte définitivement. Cette dernière, atteinte de la maladie de Charcot (une maladie dégénérative incurable), se refuse de se voir finir avilissante (totalement paralysée et nourrit par le biais d’une sonde), elle préfère mettre fin à sa vie pendant qu’elle en est encore capable.

    Blackbird (2020) nous dépeint une brillante (et au combien) émouvante chronique familiale. D’une rare justesse, on suit pas à pas ce dernier week-end en famille où l’on sent le poids du malaise, la gêne occasionnée par la raison qui les unit tous à cet instant précis. Au fil des heures, certains secrets et autres non-dits volent en éclat.

    Roger Michell parvient à nous offrir de très beaux moments, de rires et de larmes, des personnages forts en caractère (quelle magnifique composition d’acteurs !). Le trio d’actrice est tout bonnement magique et on ne peut rester insensible à leurs tourments. Susan Sarandon, Kate Winslet & Mia Wasikowska magnifient ce huis-clos familial aux côtés d’un Sam Neill plus en retrait. Si la distribution joue un très grand rôle, il faut aussi souligner l’excellent travail au niveau des décors (la résidence principale est un personnage à elle-seule), tout comme la photographie, dont bon nombre de plans ont été tournés en lumière naturelle.

    Une œuvre puissante, aussi bien émotionnelle que lacrymale. Un sujet hautement d’actualité, là où la France n’a toujours pas réussie ou eu le courage de se positionner concernant l’euthanasie, préférant favoriser les soins palliatifs au détriment d’une solution certes radicale mais qui aurait le mérite d’être en accord avec les dernières volontés des malades.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    L’avantage ou l’inconvénient (c’est selon) des films portés par la critique c’est que le spectateur sait dès le départ de quoi il va retourner dans le scénario. Dès les premières images, il sait ainsi pourquoi les personnages sont rassemblés dans cette maison (qu’on ne quittera pas). Sinon, cela n’est révélé au travers d’un échange à part entre le mari, futur veuf, et son petit fils jeune ado qu’alors que tous les personnages sont déjà entrés en scène. Maintenant que tout le monde est non pas dans la confidence, puisqu’il n’y a jamais eu de secret, mais sur le même pied d’égalité en matière d'informations (spectateur compris s’il n’était pas au courant du sujet), commencent les interactions. Elles ne porteront pas tellement directement sur l’euthanasie (plus exactement et de manière plus édulcorée choisir sa mort et son moment avant que la maladie ne prive de tout contrôle de… sa vie) mais sur le degré d’acceptation ou de soumission, en un mot la réflexion, des membres de la famille. Du drame, on pensera même à un certain moment basculer dans le thriller en se demandant si on n’est pas en présence d’un stratagème. Ce sera là le seul rebond narratif avant de revenir au... sujet et, non pas de le voir s'accomplir, mais le deviner par quelques images de fin.
    Claudine G
    Claudine G

    203 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2020
    Sujet délicat à traiter, l'euthanasie étant pour chacun d'entre nous un problème à venir ou non. Dans certains pays cela ne pose aucune question à la famille, en France c'est encore un sujet tabou. Dans ce film Susan Sarandon est égale à elle-même, brillante, avec un humour un peu caustique, au milieu d'une famille très divisée et avec des avis différents (comme dans toute famille lambda). Quelques longueurs mais qui n'altèrent pas la situation. Pas mal...
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    178 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Le film traite d'une thématique forte et d'actualité. Il m'a d'ailleurs fait immédiatement pensé au témoignage de cette militante française, Jacqueline Jencquel, qui a choisi de mourir (suicide assisté) pour ses 76 ans, afin d'éviter que son entourage pâtisse de sa vieillesse ou éventuelle maladie. Elle aussi souhaitait organiser "un dernier repas de fête familial" la veille de son départ, un dernier adieu. C'est terrible à imaginer, mais c'est une vraie approche philosophique très intéressante... Même si là, dans le film, la mère est déjà atteinte par la maladie, et que c'est plus dans une démarche de "limiter" les souffrances à venir pour elle et son entourage qu'elle souhaite partir avant que tout cela ne devienne un trop grand fardeau mental et physique à supporter.
    Filmé en huis clos et sur la base d'une temporalité courte (2 jours), on est littéralement au côté de la famille, dans leur intimité, entre déchirement et joie. Kate Winslet est difficilement reconnaissable physiquement (!!), il m'a fallu un peu de temps pour l'identifier ! Il faut savoir que 18 mois avant le tournage de Blackbird, Kate Winslet a perdu sa mère, emportée par un cancer. Donc jouer ce rôle a dû avoir une résonance personnelle bien particulière. Mais elle et tout le casting est vraiment convainquant, on y croit et c'est touchant. C'est plutôt bien filmé, et on ressent pas tellement de scènes volontairement appuyées pour être larmoyantes. Ça passe disons. Je retiendrai 2 scènes fortes, spoiler: le dernier repas de Noël improvisé avant l'heure, et la scène finale de l'ultime accompagnement avant sa mort.
    J'ai essayé de me mettre à la place des personnages, et je dois reconnaître que le deuil serait quand même bien plus facile à gérer lorsqu'une personne malade se savant condamnée quelques mois/années plus tard, prend d'elle-même (mais avec l'accord des siens), et surtout lucidement, la décision de partir prématurément... Un film qui est loin de sortir de l'originalité dans sa mise en scène, mais qui fait réfléchir sur son propos. On regarde et on vit le moment avec eux. On sort de la salle et on s'interroge. Le débat n'est toujours pas tranché, mais le film apporte un aspect humain et familial à qui souhaite approfondir les raisons profondes d'un tel acte et d'une telle décision.
    Catherine V.
    Catherine V.

    56 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Blackbird est le remake américain du film danois Silent Heart, réalisé en 2014 par Bille August.

    Histoire : Lily, condamnée à court terme par une sclérose latérale amyotrophique refuse de connaître ce qui l’attend de manière inexorable et organise une réunion familiale lors d’un week-end pour faire ses adieux à ceux qu’elle aime car elle a décidé de mourir (suicide assisté).

    Cette version US a un casting de choix mais à part écrire que Susan Sarandon ne déçoit bien entendu pas (elle ne m’a jamais déçue), Kate Winsley non plus (méconnaissable) je ne peux rien ”dire” de plus... Qu’on le veuille ou non, le thème a été rebattu des dizaines de fois et il n’y a rien non seulement de bien nouveau qui soit développé dans ce film mais rien d’intéressant, ce qui est pire. Il est évident que ce ressenti m’appartient et que je respecte ceux qui ont trouvé la réalisation superbe, mais ce ne fut pas mon cas.

    Susan Sarandon n’a pas caché qu’elle avait accepté ce rôle car le droit à l’euthanasie, pour cette comédienne très militante, est l’un de ses combats depuis des années.

    J'ai eu droit finalement à une réunion familiale ”typiquement” américaine, pleine de lourdeurs et de situations improbables (une femme qui va se suicider le lendemain mais qui est d’une gaité folle). Des dialogues souvent snob qui seront certainement pas qualifiés de la même manière par tous les spectateurs ”c’est ultrachic d’avoir une lesbienne dans la famille” ou assez singuliers lorsqu’elle appelle ses enfants qui sont à l’étage : ”Et alors, je vais bientôt mourir, vous vous joignez à nous ?”

    Plutôt qu’avoir de l’empathie pour leur mère qu’elles voient pour la dernière fois, les deux filles de la maison, l’une mère de famille, l’autre dépressive et suicidaire (qui ne partagent pas le même avis sur la décision de leur mère) ne vont qu’exprimer leurs ressentiments, leurs rancœurs et régler (plus ou moins en se querellant) leurs comptes.

    Dans ce film, toutes les cases de la famille vue par la lorgnette américaine peuvent être cochées, tout est ”ultra convenu” : la superbe maison en bois à la tenue irréprochable (il n’y a rien qui traine), remplie de souvenirs, un paysage magnifique en bord de mer (sans aucun voisin), les problèmes avec les enfants, les petits enfants, la meilleure amie, les non-dits enfin exprimés par les uns et les autres....

    J’ai bien aimé l’expression d’un critique: ”le caddie est vraiment trop plein”. Pour moi, il a même carrément débordé..

    Il n’y a rien qui manque, absolument rien, à part un bon vieux labrador peut être....

    J’ai cent fois été plus émue par le filmTV ”Right to Die” en 1987 de Paul Wendkos avec une Raquel Welch déchirante (même époustouflante) dans le rôle d'une superbe femme à qui tout semble avoir réussi dans l'existence, vie qui va être irrévocablement changée lorsqu'elle va apprendre qu’elle souffre de SLA . Elle va trouver finalement sa situation de vie impossible à supporter et va demander à mourir.

    Bref, si ”Blackbird” ne mérite pas bien entendu d’être jugé comme une médiocrité absolue, il est loin d’être un très grand film.
    Muriel F.
    Muriel F.

    53 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2020
    Le film très bien interprété par Susan Sarandon et Kate Winslet nous revoie sur nos propres questionnements sur le droit à l'euthanasie. Le quasi huis clos de la famille dans une très belle demeure en bord de mer révèle les tempéraments de chaque protagoniste avec un lacher prise subtile qui, là encore, nous interroge sur nos propres rapports à la famille avec les dits et les non-dits avant la fin de vie. A voir !
    Evelyne M
    Evelyne M

    24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Assez lisse au début et polissé, on rentre dans le vif du sujet au fur et à mesure, on creuse, on approfondit les relations, on se lâche. Réjouissant. Libérateur.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 août 2021
    Il faut faire un réel effort pour avoir une histoire aussi larmoyante sur quelqu'un qui va mourir et autant d'acteurs bons et oscarisés et arriver à ce résultat médiocre. Car ce film n'a absolument rien d'intéressant. Oui Susan Sarandon est sur le point de mourir et quoi de plus pour en faire un film et bien il n'y a rien de plus. On jette quelques scénarios clichés qui n'ont absolument rien à voir avec le sujet comme quelqu'un est lesbienne, quelqu'un se drogue et quelqu'un veut être acteur etc. Et quand ils pensent avoir assez filmé et rempli le temps de l'histoire elle meurt et c'est tous. Où sont ses luttes émotionnelles et où sont ses pensées avant qu'elle ne meurt. Non Hollywood trouve plus intéressant de nous montrer un cliché sur les relations lgbt une fois de plus que les pensées d'une personne qui est sur le point de se suicider...
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