Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Il émane de cette mélopée sociétale caniculaire, à la raideur certaine mais à la charge politique électrisante, un parfum de chef-d’œuvre présentiste, qui tend un miroir enflammé à une société depuis trop longtemps ignifugée et confite entre ses murs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Ses films [Virgil Vernier] sont toujours un inextricable écheveau de fantasmes, de mythologies, de réalités plus ou moins construites et d’accidents de tournage, qui perforent les catégories toutes faites de fiction et de documentaire. Et ce caractère indécidable, cette capacité à troubler l’évidence, marque de fabrique de Virgil Vernier, touchent ici un point culminant dans son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Vernier observe à distance mais jamais de haut, jamais contre ceux qu’il filme, et sans se départir de la part de fascination que peut aussi provoquer l’étrangeté de l’environnement qu’il observe. Façonné avec un exceptionnel sens du cadre et de la lumière, chaque plan est comme la pièce d’un puzzle incomplet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Deuxième long métrage de Virgil Vernier, Sophia Antipolis est le pendant à la fois solaire et triste de son magnifique Mercuriales et confirme, s’il en était besoin, le talent de son auteur.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Cette capacité à altérer une approche quasi documentaire du réel par l’émergence de motifs et de formes étranges confère au nouveau film de Virgil Vernier un mystère qui fait toute sa force.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
À croire que la réalité est devenue si étrange qu’elle s’est muée en fiction.
Positif
par William Le Personnic
"Sophia Antipolis" ondoie toutefois remarquablement bien entre la forme documentaire et l’onirisme angoissant. Les décors stériles se troublent sous le regard atypique de Vernier, l’ordinaire est perverti, comme chez Lynch.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fiction anthropologique sur fond de lutte des classes dans la région Paca qui parvient à mélanger, avec une indéniable synergie, le polar social, la réflexion politique et une étrangeté à la lisière du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Virgil Vernier est parti de son expérience personnelle pour réunir ces fragments d'existence autour d'un fait divers macabre. Sa mise en scène manie avec un certain raffinement l'énigme, la vacance et la distance. Au risque d'une cérébralité un peu ennuyeuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le règne du faux, le songe monstrueux d’une ville complètement lisse, les bouffées violentes d’un inévitable refoulé social ont poussé l’humanité dans ses ultimes retranchements, que circonscrit avec une panique froide, unique en son genre, la caméra de Virgil Vernier.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Mystérieux et glaçant comme un film catastrophe déguisé en requiem.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un discours sur notre époque, nihiliste et alarmiste, toujours plus glaçant, qui relève de l’expérience alternative où le rythme balbutie et la réalité du documentaire questionne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
On saisit le propos sociétal, mais les liens entre épisodes restent ténus et artificiels. La sauce ne prend pas vraiment. Le couplet sur l’autodéfense est maladroit, trop appuyé. En revanche, le portrait en creux de l’ado est saisissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
Il émane de cette mélopée sociétale caniculaire, à la raideur certaine mais à la charge politique électrisante, un parfum de chef-d’œuvre présentiste, qui tend un miroir enflammé à une société depuis trop longtemps ignifugée et confite entre ses murs.
Les Inrockuptibles
Ses films [Virgil Vernier] sont toujours un inextricable écheveau de fantasmes, de mythologies, de réalités plus ou moins construites et d’accidents de tournage, qui perforent les catégories toutes faites de fiction et de documentaire. Et ce caractère indécidable, cette capacité à troubler l’évidence, marque de fabrique de Virgil Vernier, touchent ici un point culminant dans son œuvre.
Libération
Vernier observe à distance mais jamais de haut, jamais contre ceux qu’il filme, et sans se départir de la part de fascination que peut aussi provoquer l’étrangeté de l’environnement qu’il observe. Façonné avec un exceptionnel sens du cadre et de la lumière, chaque plan est comme la pièce d’un puzzle incomplet.
Cahiers du Cinéma
Deuxième long métrage de Virgil Vernier, Sophia Antipolis est le pendant à la fois solaire et triste de son magnifique Mercuriales et confirme, s’il en était besoin, le talent de son auteur.
Critikat.com
Cette capacité à altérer une approche quasi documentaire du réel par l’émergence de motifs et de formes étranges confère au nouveau film de Virgil Vernier un mystère qui fait toute sa force.
Le Journal du Dimanche
À croire que la réalité est devenue si étrange qu’elle s’est muée en fiction.
Positif
"Sophia Antipolis" ondoie toutefois remarquablement bien entre la forme documentaire et l’onirisme angoissant. Les décors stériles se troublent sous le regard atypique de Vernier, l’ordinaire est perverti, comme chez Lynch.
L'Obs
Une fiction anthropologique sur fond de lutte des classes dans la région Paca qui parvient à mélanger, avec une indéniable synergie, le polar social, la réflexion politique et une étrangeté à la lisière du fantastique.
Le Figaro
Virgil Vernier est parti de son expérience personnelle pour réunir ces fragments d'existence autour d'un fait divers macabre. Sa mise en scène manie avec un certain raffinement l'énigme, la vacance et la distance. Au risque d'une cérébralité un peu ennuyeuse.
Le Monde
Le règne du faux, le songe monstrueux d’une ville complètement lisse, les bouffées violentes d’un inévitable refoulé social ont poussé l’humanité dans ses ultimes retranchements, que circonscrit avec une panique froide, unique en son genre, la caméra de Virgil Vernier.
Paris Match
Mystérieux et glaçant comme un film catastrophe déguisé en requiem.
aVoir-aLire.com
Un discours sur notre époque, nihiliste et alarmiste, toujours plus glaçant, qui relève de l’expérience alternative où le rythme balbutie et la réalité du documentaire questionne.
L'Humanité
On saisit le propos sociétal, mais les liens entre épisodes restent ténus et artificiels. La sauce ne prend pas vraiment. Le couplet sur l’autodéfense est maladroit, trop appuyé. En revanche, le portrait en creux de l’ado est saisissant.