Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
On n’est plus tellement habitué, au cinéma, à cette forme de réalisme, ou même de naturalisme, qui se passe de toute démonstration, qui semble ne rien avoir à prouver par ailleurs, et où l’écriture ne fonctionne pas comme un appareil permanent d’arrière-pensées sur ce qui est filmé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Réaliste autant que poétique, "Temporada" exhale une générosité qui n’a rien à voir avec la bienveillance corporate contemporaine
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
C’est tout un fil de tendresse qui parcourt le film, infusant une tonalité poétique au cœur d’un combat quotidien pour la survie et la dignité, et qui en fait un traité de la douceur comme arme politique.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce remarquable tableau urbain exhibe un univers populaire tel qu’on ne le voit plus beaucoup au cinéma ; là, il n’est pas question de traiter doctement de problèmes sociopolitiques, mais d’envisager une existence ordinaire dans toute sa complexité et ses changements de registre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Primé dans plusieurs festivals, souvent pour l’interprétation de la touchante Grace Passô, Temporada révèle un cinéma noir brésilien engagé qui émerge au défi de l’ère Bolsonaro.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
“Feel good movie” d’une élégance et d’une mélancolie folles, "Temporada" mérite d’être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film comme une balade bucolique, faussement léger et un peu répétitif, où la gravité se tapit derrière la tendresse. La mise en scène, qui manque souvent de mordant, peine à en révéler la mélancolie profonde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Dans le rôle de Juliana, Grace Passo emporte l’empathie avec son art d’habiter chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
En suivant le cheminement de Juliana (Grace Passô, passionnante), une jeune femme qui vient d’emménager et exerce un métier très complexe – agent de contrôle d’une endémie (la dengue) –, on parcourt une part du Brésil peu montrée au cinéma, tandis qu’elle se construit son propre espace.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est un film non pas contre le président Bolsonaro, mais qui est tout le contraire de ce que le nom Bolsonaro peut incarner, et c’est une consolation. Il n’y a donc pas de haine dans "Temporada", pas de violence extrême (ou alors intérieure), de damnations, d’injures, de menaces, de corruptions.(...) Ce n’est pas un feel good movie, mais un film malheureux qui réconcilie avec l'humanité tout entière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
La caméra d’André Novais Oliveira capte avec une simplicité désarmante les pulsations de ce road-movie pédestre, où l’espoir réussit à envahir tout le cadre. Un feel-good movie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Le réalisateur prend un peu trop son temps pour chroniquer la solidarité des gens de peu. Mais le réalisme doux de sa mise en scène et le regard bienveillant qu’il porte sur ses personnages très attachants (et remarquablement interprétés) méritent le voyage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
On n’est plus tellement habitué, au cinéma, à cette forme de réalisme, ou même de naturalisme, qui se passe de toute démonstration, qui semble ne rien avoir à prouver par ailleurs, et où l’écriture ne fonctionne pas comme un appareil permanent d’arrière-pensées sur ce qui est filmé.
Positif
Réaliste autant que poétique, "Temporada" exhale une générosité qui n’a rien à voir avec la bienveillance corporate contemporaine
Cahiers du Cinéma
C’est tout un fil de tendresse qui parcourt le film, infusant une tonalité poétique au cœur d’un combat quotidien pour la survie et la dignité, et qui en fait un traité de la douceur comme arme politique.
L'Humanité
Ce remarquable tableau urbain exhibe un univers populaire tel qu’on ne le voit plus beaucoup au cinéma ; là, il n’est pas question de traiter doctement de problèmes sociopolitiques, mais d’envisager une existence ordinaire dans toute sa complexité et ses changements de registre.
Le Journal du Dimanche
Primé dans plusieurs festivals, souvent pour l’interprétation de la touchante Grace Passô, Temporada révèle un cinéma noir brésilien engagé qui émerge au défi de l’ère Bolsonaro.
Les Fiches du Cinéma
“Feel good movie” d’une élégance et d’une mélancolie folles, "Temporada" mérite d’être découvert.
L'Obs
Un film comme une balade bucolique, faussement léger et un peu répétitif, où la gravité se tapit derrière la tendresse. La mise en scène, qui manque souvent de mordant, peine à en révéler la mélancolie profonde.
Le Figaro
Dans le rôle de Juliana, Grace Passo emporte l’empathie avec son art d’habiter chaque instant.
Le Monde
En suivant le cheminement de Juliana (Grace Passô, passionnante), une jeune femme qui vient d’emménager et exerce un métier très complexe – agent de contrôle d’une endémie (la dengue) –, on parcourt une part du Brésil peu montrée au cinéma, tandis qu’elle se construit son propre espace.
Les Inrockuptibles
C’est un film non pas contre le président Bolsonaro, mais qui est tout le contraire de ce que le nom Bolsonaro peut incarner, et c’est une consolation. Il n’y a donc pas de haine dans "Temporada", pas de violence extrême (ou alors intérieure), de damnations, d’injures, de menaces, de corruptions.(...) Ce n’est pas un feel good movie, mais un film malheureux qui réconcilie avec l'humanité tout entière.
Première
La caméra d’André Novais Oliveira capte avec une simplicité désarmante les pulsations de ce road-movie pédestre, où l’espoir réussit à envahir tout le cadre. Un feel-good movie.
Télérama
Le réalisateur prend un peu trop son temps pour chroniquer la solidarité des gens de peu. Mais le réalisme doux de sa mise en scène et le regard bienveillant qu’il porte sur ses personnages très attachants (et remarquablement interprétés) méritent le voyage.