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Quand on voit The Dead Don't Die, il est impossible d’imaginer Jim Jarmusch autrement que cool. Le réalisateur a réuni des comédiens complices autour de lui pour son premier film de zombies.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Pas de frontière entre survivants et zombies dans The Dead Don’t Die, et les plus belles scènes sont celles où l’économie de survival du genre se trouve liquidée au profit d’images d’une éclatante douceur, de suspensions poétiques ou de simples collages visuels renvoyant vieilles mascottes jarmuschiennes et gargouilles de latex vers un même horizon de malice et d’enfance retrouvée.
La présence de The Dead don’t die de Jim Jarmusch, non seulement en compétition, mais surtout en film d’ouverture, constitue donc un petit événement miraculeux en soi : qui rehausse la place du cinéma d’épouvante et d’horreur au niveau du cinéma d’auteur dont le festival de Cannes est la grande place (...).
Entre deux clins d’œil à ses illustres prédécesseurs (Romero, Carpenter) et à la culture pop (de Psychose à Star Wars) le réalisateur de Dead Man met en scène la fin du monde avec une misanthropie nonchalante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ce film est une fable, qu'il faut prendre au quatrième degré, sans bouder son plaisir. Pas un grand Jarmusch, mais un bon Jarmusch. Ce qui est déjà beaucoup…
La critique complète est disponible sur le site Marianne
A la vue de son film de déterrés certains s’empresseront d’ensevelir Jarmusch. Un peu vite.(...) Jarmush ne comprend plus son époque et ne souhaite pas la comprendre. Cet aveu rend le film bouleversant par intermittence derrière le vernis d'une pochade horrifique sans conséquence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Comme paralysé par un monde qu'il ne comprend plus, Jarmusch signe une fable paresseuse, régulièrement sauvée par ses excellents comédiens. Comme quoi, le mort-vivant n'est pas toujours celui qu'on croit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
The Dead Don't Die n’est pas un grand film. Il se voit comme on prendrait le train fantôme : pour rire à se faire peur. A se faire peur, moins avec les zombies qu’avec la crise climatique, l’épuisement de la planète, la consommation à outrance, les nationalismes… que le film dénonce en creux. Le message passe, grâce à la mise en scène et la pléiade d’acteurs prestigieux qui se prêtent au jeu.
Le réalisateur détourne le classique film de zombies pour livrer une vision à la fois drôle et désespérée de l’Amérique de Trump mais la nonchalance de sa mise en scène finit par ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bref, on est dans un film de genre, mais revu et réinterprété par un cinéaste qui cultive le côté dandy, pas dupe et un peu hautain, de son cinéma, tout en ne s’interdisant ni les citations, ni les références à d’autres univers filmiques, voire au sien propre.
Ce n’est pas un film mémorable, dans la filmographie de Jarmusch, mais une plaisante parenthèse fantastique. Avec un tel casting, on aurait pu espérer mieux.
Sans véritable enjeu, The Dead Don't Die se repose un peu trop sur son affiche, véritable who's who des fidèles de Jarmusch (...) Mais l'ambiance reste suffisamment amusante et enjouée, jusqu'à un final particulièrement nihiliste et délirant, pour éviter au divertissement de se faire dévorer par le néant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Bill Murray, Adam Driver et Chloë Sevigny, en flics d’une bourgade habituellement paisible, ainsi que Tilda Swinton en préposée aux pompes funèbres d’une espèce supérieure, sont au catalogue de ce requiem à la fois réjouissant et un zeste paresseux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Si on retrouve la patte Jarmusch sur ce film (le mélange de rock, de nonchalance, de second degré et d'absurde), on peine malgré tout à se laisser absorber par ce récit en roue libre, trop conscient de ce qu'il est [...] et qui ne mène nulle part.
Malgré quelques scènes amusantes, le film s’enlise inexorablement… Jarmusch a récemment joué dans une série télé intitulée « Bored to Death » (« Ennuyé à mourir »). C’est exactement ça.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Certains se régaleront des multiples références aux classiques du film de zombie (Romero en tête), de la nonchalance de la mise en scène et du caractère méta de la narration. Il est cependant permis de voir en cette désinvolture pseudo-cool un je-m'en-foutisme agaçant, et dans ces citations une posture apte à étaler sa culture du genre [...].
S’il était parvenu à renouveler tant bien que mal la mythologie et les codes du film de vampires dans "Only Lovers Left Alive", la recette ne fonctionne pas avec le film de zombies, que le cinéaste traite de façon trop déférente et référentielle.
À l'arrivée, que reste-t-il ? Une comédie poussive, un film d’horreur grossièrement intellectualisé, une tentative post-moderne sans grand intérêt d’un film lui-même zombie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
A la fois trop littérale pour être un hommage convaincant au genre et trop impersonnelle pour séduire les fans de Jarmusch, cette comédie souffre en outre de la comparaison avec un précédent film de zombies, très réussi, avec Bill Murray : Bienvenue à Zombieland, de Ruben Fleischer, qui avait su trouver, lui, la bonne distance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
[...] Jim Jarmusch excelle, une fois de plus, à développer un minimalisme laconique et décalé à l'humour ravageur.
20 Minutes
Quand on voit The Dead Don't Die, il est impossible d’imaginer Jim Jarmusch autrement que cool. Le réalisateur a réuni des comédiens complices autour de lui pour son premier film de zombies.
CNews
Un film de zombies revisité, flirtant avec la farce, et porté par un casting cinq étoiles.
Cahiers du Cinéma
Pas de frontière entre survivants et zombies dans The Dead Don’t Die, et les plus belles scènes sont celles où l’économie de survival du genre se trouve liquidée au profit d’images d’une éclatante douceur, de suspensions poétiques ou de simples collages visuels renvoyant vieilles mascottes jarmuschiennes et gargouilles de latex vers un même horizon de malice et d’enfance retrouvée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La présence de The Dead don’t die de Jim Jarmusch, non seulement en compétition, mais surtout en film d’ouverture, constitue donc un petit événement miraculeux en soi : qui rehausse la place du cinéma d’épouvante et d’horreur au niveau du cinéma d’auteur dont le festival de Cannes est la grande place (...).
L'Express
Imparable. Et drôle.
La Voix du Nord
Le discours n’est pas forcément nouveau (revoyez Zombie, le classique de Romero) mais c’est délicieusement gore et mais c’est vraiment très drôle.
Le Figaro
Entre deux clins d’œil à ses illustres prédécesseurs (Romero, Carpenter) et à la culture pop (de Psychose à Star Wars) le réalisateur de Dead Man met en scène la fin du monde avec une misanthropie nonchalante.
Le Parisien
Le réalisateur revisite le film de zombies avec son ironie et son sens du décalage.
Les Inrockuptibles
Noir… et très drôle.
Marianne
Ce film est une fable, qu'il faut prendre au quatrième degré, sans bouder son plaisir. Pas un grand Jarmusch, mais un bon Jarmusch. Ce qui est déjà beaucoup…
Bande à part
Malgré son rythme trop dilaté et son scénario minimaliste, un climat de malaise profond opère. Fun, les zombies de Jarmusch ? Pas tant que ça…
Culturopoing.com
A la vue de son film de déterrés certains s’empresseront d’ensevelir Jarmusch. Un peu vite.(...) Jarmush ne comprend plus son époque et ne souhaite pas la comprendre. Cet aveu rend le film bouleversant par intermittence derrière le vernis d'une pochade horrifique sans conséquence.
Ecran Large
Comme paralysé par un monde qu'il ne comprend plus, Jarmusch signe une fable paresseuse, régulièrement sauvée par ses excellents comédiens. Comme quoi, le mort-vivant n'est pas toujours celui qu'on croit.
Franceinfo Culture
The Dead Don't Die n’est pas un grand film. Il se voit comme on prendrait le train fantôme : pour rire à se faire peur. A se faire peur, moins avec les zombies qu’avec la crise climatique, l’épuisement de la planète, la consommation à outrance, les nationalismes… que le film dénonce en creux. Le message passe, grâce à la mise en scène et la pléiade d’acteurs prestigieux qui se prêtent au jeu.
L'Humanité
Une vision noire et souriante qui prend son temps sans faute, ni grands élans.
La Croix
Le réalisateur détourne le classique film de zombies pour livrer une vision à la fois drôle et désespérée de l’Amérique de Trump mais la nonchalance de sa mise en scène finit par ennuyer.
Le Dauphiné Libéré
Bref, on est dans un film de genre, mais revu et réinterprété par un cinéaste qui cultive le côté dandy, pas dupe et un peu hautain, de son cinéma, tout en ne s’interdisant ni les citations, ni les références à d’autres univers filmiques, voire au sien propre.
Le Journal du Geek
Ce n’est pas un film mémorable, dans la filmographie de Jarmusch, mais une plaisante parenthèse fantastique. Avec un tel casting, on aurait pu espérer mieux.
Le Monde
Entre ironie et élégance, Jim Jarmusch lâche les morts vivants sur un monde en proie à une catastrophe écologique.
Le Point
Sans véritable enjeu, The Dead Don't Die se repose un peu trop sur son affiche, véritable who's who des fidèles de Jarmusch (...) Mais l'ambiance reste suffisamment amusante et enjouée, jusqu'à un final particulièrement nihiliste et délirant, pour éviter au divertissement de se faire dévorer par le néant.
Libération
Jim Jarmusch signe une amusante fable à zombies, qui croule sous les références et les stars.
Sud Ouest
Bill Murray, Adam Driver et Chloë Sevigny, en flics d’une bourgade habituellement paisible, ainsi que Tilda Swinton en préposée aux pompes funèbres d’une espèce supérieure, sont au catalogue de ce requiem à la fois réjouissant et un zeste paresseux.
aVoir-aLire.com
Une parodie plutôt drôle, mais qui finit tout de même par tourner à vide, et parvient difficilement à cacher ses intentions didactiques.
L'Ecran Fantastique
Si on retrouve la patte Jarmusch sur ce film (le mélange de rock, de nonchalance, de second degré et d'absurde), on peine malgré tout à se laisser absorber par ce récit en roue libre, trop conscient de ce qu'il est [...] et qui ne mène nulle part.
L'Obs
Malgré quelques scènes amusantes, le film s’enlise inexorablement… Jarmusch a récemment joué dans une série télé intitulée « Bored to Death » (« Ennuyé à mourir »). C’est exactement ça.
Mad Movies
Certains se régaleront des multiples références aux classiques du film de zombie (Romero en tête), de la nonchalance de la mise en scène et du caractère méta de la narration. Il est cependant permis de voir en cette désinvolture pseudo-cool un je-m'en-foutisme agaçant, et dans ces citations une posture apte à étaler sa culture du genre [...].
Positif
S’il était parvenu à renouveler tant bien que mal la mythologie et les codes du film de vampires dans "Only Lovers Left Alive", la recette ne fonctionne pas avec le film de zombies, que le cinéaste traite de façon trop déférente et référentielle.
Critikat.com
À l'arrivée, que reste-t-il ? Une comédie poussive, un film d’horreur grossièrement intellectualisé, une tentative post-moderne sans grand intérêt d’un film lui-même zombie.
Télérama
A la fois trop littérale pour être un hommage convaincant au genre et trop impersonnelle pour séduire les fans de Jarmusch, cette comédie souffre en outre de la comparaison avec un précédent film de zombies, très réussi, avec Bill Murray : Bienvenue à Zombieland, de Ruben Fleischer, qui avait su trouver, lui, la bonne distance.