Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Sur le papier, l'éveil amoureux est un sujet classique, rebattu, investi par tant d'auteurs. La force de Lesage tient à sa façon de le magnifier ou, au contraire, de le ramener à une simplicité du geste, du mot, du cadre.
Libération
par Jérémy Piette
[...] le second long métrage de fiction de Philippe Lesage - "Genèse", comme une première promesse d’amour - nous détoure avec une délicatesse toute particulière les moindres sentiments bredouilles d’une jeunesse en quête d’affection, avec ses insécurités et ses audaces tête baissée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dénis, troubles douloureux, émois contrariés et cristallisation maladroite du désir hantent ces adolescents lucides et fragiles que la caméra de ce compatriote de Xavier Dolan filme à une distance toujours juste, entre pudeur et complicité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
"Genèse" est avant tout un film sur l'égarement de la jeunesse et la déception amoureuse qu'incarnent admirablement Théodore Pellerin et Noée Abita, deux âmes esseulées qui ne se croiseront d'ailleurs qu'à deux reprises au cours du film, et ce malgré leurs liens fraternels.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Les intrigues restent assez classiques, mais le scénario est d’une grande finesse et les jeunes acteurs sont d’une sublime intensité.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Philippe Lesage filme leur déshérence et leur incertitude en entremêlant leurs trajectoires sinueuses, à la faveur d’un point de vue distant mais caressant, où une caméra languide balaye l’espace avec douceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Philippe Lesage trouve, avec son nouveau film "Genèse", une forme suprême de cinéma, lancinant comme une scie, langoureux et volatile comme un chant intime chuchoté à l’orée des sentiments, non pas contre mais tout contre la beauté fugace de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Le cinéaste québécois Philippe Lesage confirme son talent pour capter les mouvements du coeur et les tourments adolescents dans cette fresque bouleversante.
Première
par Thierry Chèze
"Genèse" est une œuvre sous tension permanente, au plus près de personnages totalement livrés à leur aveuglement amoureux. D’une sensualité à fleur de peau, ses images célèbrent aussi bien les mots que les regards échangés qui disent si bien le trouble, l’envie, la jalousie ou la rage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Mathieu Champalaune
Sur la mélodie des sentiments, la partition de Philippe Lesage constitue un travail précis et sensible de la variation.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Philippe Lesage filme une intimité qui parle au spectateur, comme par connivence. Il trouve le ton : touchant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
par Bernard Génin
Les références, nombreuses [...] sont, comme le film, bien sympathiques, mais quand Lesage dit viser Pialat et Eustache, on peut tiquer, surtout devant ses longueurs et l'emploi systématique et abusif de la musique.
Télérama
par Louis Guichard
La confusion des désirs à l’âge du lycée n’a rien d’un sujet neuf, mais le talentueux Philippe Lesage en tire des variations drôles, détonantes, et parfois déchirantes. Le film provoque donc une sorte d’enchantement, jusqu’à son épilogue, trop long, avec d’autres personnages, encore enfants et moins émouvants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Garreau
Les corps en mouvement se cognent aux « corps » de pierre. Les attrape-cœurs ont l’esprit léger et volatile des « Don Juan ». Des filles au grand cœur dansent devant des garçons qui n’écoutent que leurs pulsions. Un film sensible et rafraîchissant malgré quelques faiblesses du scénario.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Tout le film est en surplomb par rapport à ses personnages, et donne la désagréable sensation de mijoter quelque chose dans leur dos – et dans le nôtre aussi.
Critikat.com
par Audrey Planchet
La construction narrative de "Genèse" trouve ainsi son équilibre et s’achève sur une note forte et sereine, qui malheureusement ne parvient toutefois pas à atténuer une méthode générale qui ne cesse de prendre le spectateur par la main.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CinemaTeaser
Sur le papier, l'éveil amoureux est un sujet classique, rebattu, investi par tant d'auteurs. La force de Lesage tient à sa façon de le magnifier ou, au contraire, de le ramener à une simplicité du geste, du mot, du cadre.
Libération
[...] le second long métrage de fiction de Philippe Lesage - "Genèse", comme une première promesse d’amour - nous détoure avec une délicatesse toute particulière les moindres sentiments bredouilles d’une jeunesse en quête d’affection, avec ses insécurités et ses audaces tête baissée.
L'Obs
Dénis, troubles douloureux, émois contrariés et cristallisation maladroite du désir hantent ces adolescents lucides et fragiles que la caméra de ce compatriote de Xavier Dolan filme à une distance toujours juste, entre pudeur et complicité.
La Septième Obsession
"Genèse" est avant tout un film sur l'égarement de la jeunesse et la déception amoureuse qu'incarnent admirablement Théodore Pellerin et Noée Abita, deux âmes esseulées qui ne se croiseront d'ailleurs qu'à deux reprises au cours du film, et ce malgré leurs liens fraternels.
Le Journal du Dimanche
Les intrigues restent assez classiques, mais le scénario est d’une grande finesse et les jeunes acteurs sont d’une sublime intensité.
Le Monde
Philippe Lesage filme leur déshérence et leur incertitude en entremêlant leurs trajectoires sinueuses, à la faveur d’un point de vue distant mais caressant, où une caméra languide balaye l’espace avec douceur.
Les Fiches du Cinéma
Philippe Lesage trouve, avec son nouveau film "Genèse", une forme suprême de cinéma, lancinant comme une scie, langoureux et volatile comme un chant intime chuchoté à l’orée des sentiments, non pas contre mais tout contre la beauté fugace de l’amour.
Ouest France
Le cinéaste québécois Philippe Lesage confirme son talent pour capter les mouvements du coeur et les tourments adolescents dans cette fresque bouleversante.
Première
"Genèse" est une œuvre sous tension permanente, au plus près de personnages totalement livrés à leur aveuglement amoureux. D’une sensualité à fleur de peau, ses images célèbrent aussi bien les mots que les regards échangés qui disent si bien le trouble, l’envie, la jalousie ou la rage.
Transfuge
Sur la mélodie des sentiments, la partition de Philippe Lesage constitue un travail précis et sensible de la variation.
Franceinfo Culture
Philippe Lesage filme une intimité qui parle au spectateur, comme par connivence. Il trouve le ton : touchant.
Positif
Les références, nombreuses [...] sont, comme le film, bien sympathiques, mais quand Lesage dit viser Pialat et Eustache, on peut tiquer, surtout devant ses longueurs et l'emploi systématique et abusif de la musique.
Télérama
La confusion des désirs à l’âge du lycée n’a rien d’un sujet neuf, mais le talentueux Philippe Lesage en tire des variations drôles, détonantes, et parfois déchirantes. Le film provoque donc une sorte d’enchantement, jusqu’à son épilogue, trop long, avec d’autres personnages, encore enfants et moins émouvants.
aVoir-aLire.com
Les corps en mouvement se cognent aux « corps » de pierre. Les attrape-cœurs ont l’esprit léger et volatile des « Don Juan ». Des filles au grand cœur dansent devant des garçons qui n’écoutent que leurs pulsions. Un film sensible et rafraîchissant malgré quelques faiblesses du scénario.
Cahiers du Cinéma
Tout le film est en surplomb par rapport à ses personnages, et donne la désagréable sensation de mijoter quelque chose dans leur dos – et dans le nôtre aussi.
Critikat.com
La construction narrative de "Genèse" trouve ainsi son équilibre et s’achève sur une note forte et sereine, qui malheureusement ne parvient toutefois pas à atténuer une méthode générale qui ne cesse de prendre le spectateur par la main.