The Mountain : une odyssée américaine : Critique presse
The Mountain : une odyssée américaine
Note moyenne
2,8
22 titres de presse
20 Minutes
Culturopoing.com
La Septième Obsession
Le Figaro
Libération
Mad Movies
Rolling Stone
Voici
Femme Actuelle
L'Express
L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
Critikat.com
La Croix
Le Monde
L'Obs
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Goldblum rend son personnage inquiétant par son enthousiasme d’illuminé face à un traitement pour le moins discutable consistant à sectionner des fibres nerveuses à l’intérieur du cerveau du patient.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
En grattant sous la surface, l'émotion surgit à l'improviste, à l'image de cette scène de sexe magnifique entre Andy et une future victime du zélé docteur. Au cœur d'un monde mortifère, la vie règne encore, par le sexe et peut-être le désir. La chaleur, la vie.(...) Curieux paradoxe pour ce film imparfait, irritant et totalement hors norme. Mais qui parvient à hypnotiser comme un album de post rock, irrigué pas ses longues plages atmosphériques.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Drôle d'objet donc que "The Mountain" mais l'expérience qu'il nous propose, entre peinture abstraite et installation d'art contemporain, font du film un objet à la fois inclassable et unique.
Le Figaro
par La Rédaction
L’image est pure, géométrique. Le propos n’est pas si clair. Les ballots y décèleront évidemment une charge contre Trump. On nous décervelle (mais oui, mais oui). Il est aussi permis de trouver ici une œuvre originale, filmée au scalpel, qui brûle d’un feu glacé et peut laisser perplexe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
The Mountain déroule son programme somnambule et sa déficience revendiquée. Et il y a des vraies trouvailles dans ce cinéma de la maladie mentale et d’effarement lent. L’existence se borne à une succession imprévisible de questions en suspens. Cela donne ce film à la beauté ingrate qui nous éclaire mieux, comme les lampes Mazda des flashs consumés, sur les spectateurs livides que nous sommes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Si le rythme contemplatif imposé par Rick Alverson peut sombrer par moment dans la pose arty, le cinéaste accumule suffisamment d'idées de mise en scène puissantes pour capter l'attention du spectateur.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Interrogeant jusqu’à la notion de folie, cet anti-film intelligemment froid réussit à rendre regardable l’irregardable. Brutalement efficace dans sa méticuleuse destruction de nos êtres, il est de ces tours de force désormais trop rares au cinéma. À quand la suite ?
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par A.V.
Un film austère, cérébral et exigeant, où la forme est aussi séduisante que le fond.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Les couleurs ternes, la pesanteur des regards et la folie qui rôde donnent un ton très mélancolique. Très beau... mais pas pour la copine déprimée !
L'Express
par Antoine Le Fur
Mais sa trop grande aridité scénaristique finit par lasser, empêchant le spectateur d'adhérer vraiment à l'histoire. C'est beau mais c'est long.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Centré sur un adolescent introverti, factotum du médecin, le film pourrait paraître maniériste, mais tout ce bel ordonnancement glacé est chamboulé par l’irruption de la figure grimaçante et vociférante de Denis Lavant. Le jusqu’au-boutisme formaliste de cette œuvre aussi belle que poseuse ne peut laisser indifférent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Mais l’impression de prison mentale est la plus forte, que le formalisme de la mise en scène s’attache à susciter à travers des décors nus, des costumes aux couleurs sépias, un rythme d’une lenteur énervante, une musique à la nostalgie grinçante. (...) Ni Andy ni le spectateur n’en ressortent indemnes.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Jeff Goldblum, Ty Sheridan et Denis Lavant sont à l’affiche de ce road movie profondément dérangeant, de par son atmosphère, sur les expériences d’un “psychiatre” à la fin des années 1950. La mise en scène est brillante mais le rythme très lent comme ses personnages antipathiques nous laissent sur le bas-côté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Benjamin Oppert
Les méandres de la folie humaine et de ses traitements indignes, où Jeff Goldblum incarne cette fois-ci un dinosaure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Face à cette belle retenue, on peut regretter le rôle caricatural de Denis Lavant, dont les logorrhées desservent le mystère d’un film qui avait su jusqu’ici garder le silence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Peut-être comme Balzac qui sélectionnait ses lecteurs par des descriptions minutieuses au risque de perdre les moins attentifs, le cinéaste s’attache à la réalisation plus qu’au récit, quasi somnolent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
De ce vain combat face aux neuroleptiques (on est dans les années 1950), le réalisateur fait une odyssée absurde, engluée dans les brouillards de l’Oregon et de la raison, jusqu’à ce que la bizarrerie rende le propos indéchiffrable. Reste l’impression marquante d’un cauchemar sous thorazine.
L'Obs
par François Forestier
Intrigue inachevée, décors minimaux, atmosphère glaciale, le film est « artistique », dans le pire sens du mot. Scènes incompréhensibles (un monologue ahurissant de Denis Lavant), images maniérées, ennui pesant.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, hermétique et sinistre, nous plonge dans un abîme de perplexité.
Le Parisien
par Marine Quinchon
Inspiré d’un personnage réel, ce road-movie étouffant qui se situe dans l’univers des hôpitaux psychiatriques des années 1950, est raté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Frédéric Foubert
Le rapport père-fils, la masculinité en crise, les mystères de l’esprit humain, les dangers de l’utopie et de l’esprit de conquête : thématiquement, on n’est pas très loin d’une variation sur The Master. Mais sans l’élan romanesque et le génie poétique azimuté d’un PTA.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Malgré une distribution bien pensée, la vie n’entre jamais dans ce film, qui finit par devenir une caricature du cinéma intellectuel et indépendant américain… d’il y a trente ans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Goldblum rend son personnage inquiétant par son enthousiasme d’illuminé face à un traitement pour le moins discutable consistant à sectionner des fibres nerveuses à l’intérieur du cerveau du patient.
Culturopoing.com
En grattant sous la surface, l'émotion surgit à l'improviste, à l'image de cette scène de sexe magnifique entre Andy et une future victime du zélé docteur. Au cœur d'un monde mortifère, la vie règne encore, par le sexe et peut-être le désir. La chaleur, la vie.(...) Curieux paradoxe pour ce film imparfait, irritant et totalement hors norme. Mais qui parvient à hypnotiser comme un album de post rock, irrigué pas ses longues plages atmosphériques.
La Septième Obsession
Drôle d'objet donc que "The Mountain" mais l'expérience qu'il nous propose, entre peinture abstraite et installation d'art contemporain, font du film un objet à la fois inclassable et unique.
Le Figaro
L’image est pure, géométrique. Le propos n’est pas si clair. Les ballots y décèleront évidemment une charge contre Trump. On nous décervelle (mais oui, mais oui). Il est aussi permis de trouver ici une œuvre originale, filmée au scalpel, qui brûle d’un feu glacé et peut laisser perplexe.
Libération
The Mountain déroule son programme somnambule et sa déficience revendiquée. Et il y a des vraies trouvailles dans ce cinéma de la maladie mentale et d’effarement lent. L’existence se borne à une succession imprévisible de questions en suspens. Cela donne ce film à la beauté ingrate qui nous éclaire mieux, comme les lampes Mazda des flashs consumés, sur les spectateurs livides que nous sommes.
Mad Movies
Si le rythme contemplatif imposé par Rick Alverson peut sombrer par moment dans la pose arty, le cinéaste accumule suffisamment d'idées de mise en scène puissantes pour capter l'attention du spectateur.
Rolling Stone
Interrogeant jusqu’à la notion de folie, cet anti-film intelligemment froid réussit à rendre regardable l’irregardable. Brutalement efficace dans sa méticuleuse destruction de nos êtres, il est de ces tours de force désormais trop rares au cinéma. À quand la suite ?
Voici
Un film austère, cérébral et exigeant, où la forme est aussi séduisante que le fond.
Femme Actuelle
Les couleurs ternes, la pesanteur des regards et la folie qui rôde donnent un ton très mélancolique. Très beau... mais pas pour la copine déprimée !
L'Express
Mais sa trop grande aridité scénaristique finit par lasser, empêchant le spectateur d'adhérer vraiment à l'histoire. C'est beau mais c'est long.
L'Humanité
Centré sur un adolescent introverti, factotum du médecin, le film pourrait paraître maniériste, mais tout ce bel ordonnancement glacé est chamboulé par l’irruption de la figure grimaçante et vociférante de Denis Lavant. Le jusqu’au-boutisme formaliste de cette œuvre aussi belle que poseuse ne peut laisser indifférent.
Le Dauphiné Libéré
Mais l’impression de prison mentale est la plus forte, que le formalisme de la mise en scène s’attache à susciter à travers des décors nus, des costumes aux couleurs sépias, un rythme d’une lenteur énervante, une musique à la nostalgie grinçante. (...) Ni Andy ni le spectateur n’en ressortent indemnes.
Les Fiches du Cinéma
Jeff Goldblum, Ty Sheridan et Denis Lavant sont à l’affiche de ce road movie profondément dérangeant, de par son atmosphère, sur les expériences d’un “psychiatre” à la fin des années 1950. La mise en scène est brillante mais le rythme très lent comme ses personnages antipathiques nous laissent sur le bas-côté.
aVoir-aLire.com
Les méandres de la folie humaine et de ses traitements indignes, où Jeff Goldblum incarne cette fois-ci un dinosaure.
Critikat.com
Face à cette belle retenue, on peut regretter le rôle caricatural de Denis Lavant, dont les logorrhées desservent le mystère d’un film qui avait su jusqu’ici garder le silence.
La Croix
Peut-être comme Balzac qui sélectionnait ses lecteurs par des descriptions minutieuses au risque de perdre les moins attentifs, le cinéaste s’attache à la réalisation plus qu’au récit, quasi somnolent.
Le Monde
De ce vain combat face aux neuroleptiques (on est dans les années 1950), le réalisateur fait une odyssée absurde, engluée dans les brouillards de l’Oregon et de la raison, jusqu’à ce que la bizarrerie rende le propos indéchiffrable. Reste l’impression marquante d’un cauchemar sous thorazine.
L'Obs
Intrigue inachevée, décors minimaux, atmosphère glaciale, le film est « artistique », dans le pire sens du mot. Scènes incompréhensibles (un monologue ahurissant de Denis Lavant), images maniérées, ennui pesant.
Le Journal du Dimanche
Le récit, hermétique et sinistre, nous plonge dans un abîme de perplexité.
Le Parisien
Inspiré d’un personnage réel, ce road-movie étouffant qui se situe dans l’univers des hôpitaux psychiatriques des années 1950, est raté.
Première
Le rapport père-fils, la masculinité en crise, les mystères de l’esprit humain, les dangers de l’utopie et de l’esprit de conquête : thématiquement, on n’est pas très loin d’une variation sur The Master. Mais sans l’élan romanesque et le génie poétique azimuté d’un PTA.
Télérama
Malgré une distribution bien pensée, la vie n’entre jamais dans ce film, qui finit par devenir une caricature du cinéma intellectuel et indépendant américain… d’il y a trente ans.