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    Les Héros ne meurent jamais
    Note moyenne
    2,9
    20 titres de presse
    • Bande à part
    • CNews
    • Libération
    • Public
    • Sud Ouest
    • Télé Loisirs
    • Voici
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Positif
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Cahiers du Cinéma
    • Ouest France
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Bande à part

    par Olivier Bombarda

    Une œuvre simple, souvent âpre, parfois bancale, mais laissant un souvenir vif et de grande justesse.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CNews

    par La rédaction

    Présenté à la Semaine de la critique au Festival de Cannes en 2019, "Les Héros ne meurent jamais" aborde surtout la peur de la mort de manière drôle, subtile, originale, surfant entre fantastique et profond réalisme.

    La critique complète est disponible sur le site CNews

    Libération

    par Sandra Onana

    Sa légèreté de fabrication (la forme d’un road-movie serré qui ne surjoue pas le naturalisme cahotant) l’empêche de se perdre dans le gigantisme poids lourd du grand récit universel, de même que l’engagement hypersensible des acteurs : Jonathan Couzinié, qui assume avec humilité la part de pathétique de son personnage si vulnérable, et Adèle Haenel, duplice en cinéaste séduite par l’aubaine d’une belle histoire et alter ego de la metteure en scène.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Public

    par Sarah Lévy

    Jonathan Couzinié est particulièrement touchant dans la peau de Joachim en Pied Nickelé obsédé par son impossible quête.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Dotée de cette capacité à trouver dans l’épaisseur du réel, la finesse d’un songe et la matière d’une inspiration originale, Aude Léa Rapin déploie sa narration avec très peu d’effets, une interprétation impeccable, parvenant à résoudre cette équation magnifique entre la douleur et l’enchantement, l’absence et la réparation.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    Télé Loisirs

    par Claire Picard

    Ce dispositif astucieux (le faux documentaire) met en scène un voyage singulier, réaliste mais teinté de fantastique. Adèle Haenel y confirme son grand talent.

    Voici

    par La Rédaction

    Original, déroutant, drôle et très émouvant.

    Le Figaro

    par Nathalie Simon

    Le procédé de mise en scène, les acteurs s'adressent au cadreur qui n'apparaît jamais à l'écran, les allers-retours entre passé et présent et la photographie inégale font qu'on finit par abandonner cette quête aléatoire.

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphane Joby

    Habile et touchant.

    Les Fiches du Cinéma

    par Jef Costello

    À partir de son hypothèse de récit improbable, le film, audacieux, mais pas totalement maîtrisé, ausculte un pays meurtri, et rend audible la plainte de ses fantômes.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Ludovic Béot

    Très réjouissant dans son entame mi-mockumentary, mi-film de fantôme, le premier long métrage de Rapin mélange habilement les registres et parvient à créer du trouble. Hélas [...] l'originalité de ton décroît au profit d'un exercice un peu trop chargé d'intentions.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Positif

    par Franck Garbarz

    Il en résulte un film bancal qui hésite entre plusieurs styles et ne trouve jamais le sien et des scènes souvent interminables. Pour autant, Aude-Léa Rapin témoigne d’un certain sens de la dramaturgie et s’impose comme un nom à suivre.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    « Les héros ne meurent jamais » sont comme un documentaire déguisé en fiction rocambolesque, une fantaisie grave où la métaphysique et l’émotion triomphent sans peser.

    Télérama

    par Jacques Morice

    Un premier film original, entre burlesque et réalisme âpre.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Si l’on devine trop bien l’ambition de la jeune réalisatrice, qui confronte des jeunes Parisiens sans histoire aux survivants d’un pays encore meurtri par la guerre, on ne sait jamais sur quel pied danse son film tant elle échoue à entremêler le faux documentaire, la vraie histoire des autochtones et le psychodrame des protagonistes, tour à tour risibles et pathétiques.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Véronique Cauhapé

    Récit à la fois d’une quête rétrospective, d’un questionnement sur la réincar­nation et d’un reportage en train de se faire (dont les péripéties apportent les passages les plus drôles), ce premier long­ métrage peine à trouver son assise, offrant même de grands moments de flottement et d’insignifiance.

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Etrange, bricolé, expérimental, ce drame déroute, malgré une jolie fin et la présence hypnotique d 'Adèle Haenel.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Cahiers du Cinéma

    par Raphaël Nieuwjaer

    Le film se confond avec un exercice d’improvisation, ce qui aboutit à un recentrage sur Adèle Haenel, au répertoire plus varié. Pendant ce temps, les Bosniens servent de figurants à un scénario de la mauvaise conscience.

    Ouest France

    par La Rédaction

    Un voyage interminable et un rare faux pas dans la carrière d'Adèle Haenel.

    Première

    par Thomas Baurez

    (...) la cinéaste Aude Léa-Rapin, dont c’est le premier long métrage de fiction, cherche quel ton donner à son histoire et, lorsqu’elle ne sait plus, elle a recours à la forme documentaire façon carnet de voyages avec les personnages qui s’adressent à la caméra. Il lui reste toujours sur les bras cette idée de fantôme dont tout le monde cherche la trace mais qui se dérobe. Dieu, que le chemin qui mène à lui, est pénible !

    La critique complète est disponible sur le site Première
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