Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Une œuvre simple, souvent âpre, parfois bancale, mais laissant un souvenir vif et de grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Présenté à la Semaine de la critique au Festival de Cannes en 2019, "Les Héros ne meurent jamais" aborde surtout la peur de la mort de manière drôle, subtile, originale, surfant entre fantastique et profond réalisme.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Libération
par Sandra Onana
Sa légèreté de fabrication (la forme d’un road-movie serré qui ne surjoue pas le naturalisme cahotant) l’empêche de se perdre dans le gigantisme poids lourd du grand récit universel, de même que l’engagement hypersensible des acteurs : Jonathan Couzinié, qui assume avec humilité la part de pathétique de son personnage si vulnérable, et Adèle Haenel, duplice en cinéaste séduite par l’aubaine d’une belle histoire et alter ego de la metteure en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Public
par Sarah Lévy
Jonathan Couzinié est particulièrement touchant dans la peau de Joachim en Pied Nickelé obsédé par son impossible quête.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dotée de cette capacité à trouver dans l’épaisseur du réel, la finesse d’un songe et la matière d’une inspiration originale, Aude Léa Rapin déploie sa narration avec très peu d’effets, une interprétation impeccable, parvenant à résoudre cette équation magnifique entre la douleur et l’enchantement, l’absence et la réparation.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Claire Picard
Ce dispositif astucieux (le faux documentaire) met en scène un voyage singulier, réaliste mais teinté de fantastique. Adèle Haenel y confirme son grand talent.
Voici
par La Rédaction
Original, déroutant, drôle et très émouvant.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Le procédé de mise en scène, les acteurs s'adressent au cadreur qui n'apparaît jamais à l'écran, les allers-retours entre passé et présent et la photographie inégale font qu'on finit par abandonner cette quête aléatoire.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Habile et touchant.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
À partir de son hypothèse de récit improbable, le film, audacieux, mais pas totalement maîtrisé, ausculte un pays meurtri, et rend audible la plainte de ses fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Très réjouissant dans son entame mi-mockumentary, mi-film de fantôme, le premier long métrage de Rapin mélange habilement les registres et parvient à créer du trouble. Hélas [...] l'originalité de ton décroît au profit d'un exercice un peu trop chargé d'intentions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Franck Garbarz
Il en résulte un film bancal qui hésite entre plusieurs styles et ne trouve jamais le sien et des scènes souvent interminables. Pour autant, Aude-Léa Rapin témoigne d’un certain sens de la dramaturgie et s’impose comme un nom à suivre.
Sud Ouest
par Sophie Avon
« Les héros ne meurent jamais » sont comme un documentaire déguisé en fiction rocambolesque, une fantaisie grave où la métaphysique et l’émotion triomphent sans peser.
Télérama
par Jacques Morice
Un premier film original, entre burlesque et réalisme âpre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Si l’on devine trop bien l’ambition de la jeune réalisatrice, qui confronte des jeunes Parisiens sans histoire aux survivants d’un pays encore meurtri par la guerre, on ne sait jamais sur quel pied danse son film tant elle échoue à entremêler le faux documentaire, la vraie histoire des autochtones et le psychodrame des protagonistes, tour à tour risibles et pathétiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Récit à la fois d’une quête rétrospective, d’un questionnement sur la réincarnation et d’un reportage en train de se faire (dont les péripéties apportent les passages les plus drôles), ce premier long métrage peine à trouver son assise, offrant même de grands moments de flottement et d’insignifiance.
Le Parisien
par Catherine Balle
Etrange, bricolé, expérimental, ce drame déroute, malgré une jolie fin et la présence hypnotique d 'Adèle Haenel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Le film se confond avec un exercice d’improvisation, ce qui aboutit à un recentrage sur Adèle Haenel, au répertoire plus varié. Pendant ce temps, les Bosniens servent de figurants à un scénario de la mauvaise conscience.
Ouest France
par La Rédaction
Un voyage interminable et un rare faux pas dans la carrière d'Adèle Haenel.
Première
par Thomas Baurez
(...) la cinéaste Aude Léa-Rapin, dont c’est le premier long métrage de fiction, cherche quel ton donner à son histoire et, lorsqu’elle ne sait plus, elle a recours à la forme documentaire façon carnet de voyages avec les personnages qui s’adressent à la caméra. Il lui reste toujours sur les bras cette idée de fantôme dont tout le monde cherche la trace mais qui se dérobe. Dieu, que le chemin qui mène à lui, est pénible !
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Une œuvre simple, souvent âpre, parfois bancale, mais laissant un souvenir vif et de grande justesse.
CNews
Présenté à la Semaine de la critique au Festival de Cannes en 2019, "Les Héros ne meurent jamais" aborde surtout la peur de la mort de manière drôle, subtile, originale, surfant entre fantastique et profond réalisme.
Libération
Sa légèreté de fabrication (la forme d’un road-movie serré qui ne surjoue pas le naturalisme cahotant) l’empêche de se perdre dans le gigantisme poids lourd du grand récit universel, de même que l’engagement hypersensible des acteurs : Jonathan Couzinié, qui assume avec humilité la part de pathétique de son personnage si vulnérable, et Adèle Haenel, duplice en cinéaste séduite par l’aubaine d’une belle histoire et alter ego de la metteure en scène.
Public
Jonathan Couzinié est particulièrement touchant dans la peau de Joachim en Pied Nickelé obsédé par son impossible quête.
Sud Ouest
Dotée de cette capacité à trouver dans l’épaisseur du réel, la finesse d’un songe et la matière d’une inspiration originale, Aude Léa Rapin déploie sa narration avec très peu d’effets, une interprétation impeccable, parvenant à résoudre cette équation magnifique entre la douleur et l’enchantement, l’absence et la réparation.
Télé Loisirs
Ce dispositif astucieux (le faux documentaire) met en scène un voyage singulier, réaliste mais teinté de fantastique. Adèle Haenel y confirme son grand talent.
Voici
Original, déroutant, drôle et très émouvant.
Le Figaro
Le procédé de mise en scène, les acteurs s'adressent au cadreur qui n'apparaît jamais à l'écran, les allers-retours entre passé et présent et la photographie inégale font qu'on finit par abandonner cette quête aléatoire.
Le Journal du Dimanche
Habile et touchant.
Les Fiches du Cinéma
À partir de son hypothèse de récit improbable, le film, audacieux, mais pas totalement maîtrisé, ausculte un pays meurtri, et rend audible la plainte de ses fantômes.
Les Inrockuptibles
Très réjouissant dans son entame mi-mockumentary, mi-film de fantôme, le premier long métrage de Rapin mélange habilement les registres et parvient à créer du trouble. Hélas [...] l'originalité de ton décroît au profit d'un exercice un peu trop chargé d'intentions.
Positif
Il en résulte un film bancal qui hésite entre plusieurs styles et ne trouve jamais le sien et des scènes souvent interminables. Pour autant, Aude-Léa Rapin témoigne d’un certain sens de la dramaturgie et s’impose comme un nom à suivre.
Sud Ouest
« Les héros ne meurent jamais » sont comme un documentaire déguisé en fiction rocambolesque, une fantaisie grave où la métaphysique et l’émotion triomphent sans peser.
Télérama
Un premier film original, entre burlesque et réalisme âpre.
L'Obs
Si l’on devine trop bien l’ambition de la jeune réalisatrice, qui confronte des jeunes Parisiens sans histoire aux survivants d’un pays encore meurtri par la guerre, on ne sait jamais sur quel pied danse son film tant elle échoue à entremêler le faux documentaire, la vraie histoire des autochtones et le psychodrame des protagonistes, tour à tour risibles et pathétiques.
Le Monde
Récit à la fois d’une quête rétrospective, d’un questionnement sur la réincarnation et d’un reportage en train de se faire (dont les péripéties apportent les passages les plus drôles), ce premier long métrage peine à trouver son assise, offrant même de grands moments de flottement et d’insignifiance.
Le Parisien
Etrange, bricolé, expérimental, ce drame déroute, malgré une jolie fin et la présence hypnotique d 'Adèle Haenel.
Cahiers du Cinéma
Le film se confond avec un exercice d’improvisation, ce qui aboutit à un recentrage sur Adèle Haenel, au répertoire plus varié. Pendant ce temps, les Bosniens servent de figurants à un scénario de la mauvaise conscience.
Ouest France
Un voyage interminable et un rare faux pas dans la carrière d'Adèle Haenel.
Première
(...) la cinéaste Aude Léa-Rapin, dont c’est le premier long métrage de fiction, cherche quel ton donner à son histoire et, lorsqu’elle ne sait plus, elle a recours à la forme documentaire façon carnet de voyages avec les personnages qui s’adressent à la caméra. Il lui reste toujours sur les bras cette idée de fantôme dont tout le monde cherche la trace mais qui se dérobe. Dieu, que le chemin qui mène à lui, est pénible !