Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
À même pas 30 ans, Shahrbanoo Sadat apparaît comme la figure d’un cinéma afghan en train de renaître de ses cendres.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sharbanoo Sadat démontre à nouveau son talent à raconter son pays via des destins individuels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Ce mélange de tons fait l'originalité de "L'Orphelinat", qui bénéficie en prime de l'incroyable abattage de ses jeunes acteurs non-professionnels [...].
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Inabouti mais charmant, "L'Orphelinat" surprend par sa manière insolite de combiner des genres à priori antinomiques, alliant cinéma semi documentaire (...) et pastiche à peine détourné des mélos made in Bollywood.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par La Rédaction
Présenté à La Quinzaine des réalisateurs, ce film de fiction un peu maladroit a toutefois valeur de témoignage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Obs
par Nicolas Schaller
Illustration sommaire de la catharsis par la fiction que la mise en scène platounette ne transcende guère, même si la prise du pouvoir par les talibans à la fin du film annonce les tragédies que l’on sait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Comme elle insérait des séquences oniriques dans son premier film, Shahrbanoo Sadat jalonne le second de piquantes scènes de style purement bollywoodien (...). Ces pastilles amusantes, quoi qu’un peu incongrues et trop longues, ne suffisent pas à tromper l’ennui d’une chronique qui ne s’empare pas avec assez de vigueur de ses personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce film parfois un brin maladroit où s’invitent quelques scènes bollywoodiennes colorées n’est pas dénué de charme mais peine à tenir sur la longueur faute d’un scénario suffisamment solide.
Première
par Thierry Chèze
À l’ambiance onirique de Wolf and Sheep succède ici une forme bien plus passe-partout qui ne transcende jamais le fond de son propos. Sauf dans ces moments savoureux où, pour échapper à son quotidien, Qodrat s’imagine héros d’un film bollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ici, peu de choses s’impriment en profondeur. Le film, à la manière de son héros, bientôt noyé dans un récit choral, semble chercher un point d’ancrage sans jamais le trouver, nouant et dénouant des séquences de groupe et de rêve pour constituer un bloc qui, malheureusement, se désagrège trop vite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
À même pas 30 ans, Shahrbanoo Sadat apparaît comme la figure d’un cinéma afghan en train de renaître de ses cendres.
Les Fiches du Cinéma
Sharbanoo Sadat démontre à nouveau son talent à raconter son pays via des destins individuels.
Positif
Ce mélange de tons fait l'originalité de "L'Orphelinat", qui bénéficie en prime de l'incroyable abattage de ses jeunes acteurs non-professionnels [...].
Culturopoing.com
Inabouti mais charmant, "L'Orphelinat" surprend par sa manière insolite de combiner des genres à priori antinomiques, alliant cinéma semi documentaire (...) et pastiche à peine détourné des mélos made in Bollywood.
Le Figaro
Présenté à La Quinzaine des réalisateurs, ce film de fiction un peu maladroit a toutefois valeur de témoignage.
L'Obs
Illustration sommaire de la catharsis par la fiction que la mise en scène platounette ne transcende guère, même si la prise du pouvoir par les talibans à la fin du film annonce les tragédies que l’on sait.
La Croix
Comme elle insérait des séquences oniriques dans son premier film, Shahrbanoo Sadat jalonne le second de piquantes scènes de style purement bollywoodien (...). Ces pastilles amusantes, quoi qu’un peu incongrues et trop longues, ne suffisent pas à tromper l’ennui d’une chronique qui ne s’empare pas avec assez de vigueur de ses personnages (...).
Le Journal du Dimanche
Ce film parfois un brin maladroit où s’invitent quelques scènes bollywoodiennes colorées n’est pas dénué de charme mais peine à tenir sur la longueur faute d’un scénario suffisamment solide.
Première
À l’ambiance onirique de Wolf and Sheep succède ici une forme bien plus passe-partout qui ne transcende jamais le fond de son propos. Sauf dans ces moments savoureux où, pour échapper à son quotidien, Qodrat s’imagine héros d’un film bollywoodien.
Les Inrockuptibles
Ici, peu de choses s’impriment en profondeur. Le film, à la manière de son héros, bientôt noyé dans un récit choral, semble chercher un point d’ancrage sans jamais le trouver, nouant et dénouant des séquences de groupe et de rêve pour constituer un bloc qui, malheureusement, se désagrège trop vite.