AlloCiné
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Votre avis sur Requiem for a Dream ?
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Malsain, glauque, gênant, et pourtant quel film! La descente aux enfers de jeunes junkies, dans une ambiance qui nous met mal à l'aise, et une BO géniale. Certaines scènes sont vraiment choquantes, mais pour les amateurs du genre mais le film est à voir. Jared Leto y est excellent.
LE FILM à montrer à la génération comme prévention contre la drogue! (y a pas plus efficace) Totalement bouleversant et dérangeant. Un "Trainsppoting" puissance 1000 où on rigole pas avec la came...
Cette descente aux enfers est un coup de maître organisé par Darren Aronofsky. Une histoire dingue, des scènes dérangeantes comme jamais vu auparavant, et des interprétations d'acteurs tout à fait remarquables, en particulier Ellen Burstyn qui m'a coupé le souffle. Un film a voir au moins une fois dans sa vie.
Florent B.
Très bon film sur l'univers de la drogue. Les acteurs sont à leur place et l'histoire se révèle très intéressante. Néanmoins quelques scènes peuvent choquer. Un film qui laisse à réfléchir. Choquant, éprouvant mais intelligent. Un film qui met mal à l'aise. A voir. Ames sensibles s'abstenir.
Ben, non le film ne m'a pas bouleversé, ben non il n'hantera pas mes nuits. Une leçon de cinéma nous dit-on, alors que les personnages ne sont que factuels et sans profondeur, alors qu'on doit se farcir un interminable dialogue en champ contre champ entre la mamie et son fiston, alors qu'on en rajoute des tonnes sur la déchéance de Sarah jusqu'à ad nauseam simplement pour choquer le péquin ? Pourtant le film contient de bonnes choses, la performance remarquable d'Ellen Burstyn, la beauté de Jennifer Connelly, la musique du Kronos quartet. Et puis l'idée de parler d'autres addictions comme la téléphagie, l'anorexie mentale ou la toxicomanie médicamenteuse était une bonne idée. Pour le reste c'est un film à message, ça sert à quoi les films à messages ? Sur le sujet Barbet Schroeder avait réalisé en 1969 "More" qui lui reste un chef d'œuvre.
Un jour je passais devant un vidéo-club et assistait à une des scènes finale de ce film qui semblait être assez choc.
J'aurai du mal à le juger totalement car je n'ai pas réussis à aller au bout, ce qui est très rare chez moi. Pas pour sa violence mais pour son ennui.
La réalisation est merdique, abusant d'effets faciles et surtout inutiles quant à la narration. Effets d'accéléré, de photo surtravaillée, d'enchainements hyper-rapides, clips, de division d'image. Autrement dit tout l'arsenal cyber-branché qui donnera dans 10 ans un aspect ultra-kitch et vieillot à ce film. L'aspect que je lui trouve dès aujourd'hui.
L'histoire n'a rien de palpitant, en fait il n'y en a pas vraiment, aucune trame scénaristique réelle. Rien qui nous entraine d'un point A à un point B et ainsi de suite. Ce surplace m'a à un tel point endormis que je n'ai pu finir le film et voir la séquence choc qui m'avait tant plus en extrait.
Je considère donc ce navet comme un effet de mode, un produit adapté à une certaine "djeuns-population". Avec des aspects de film-culte étudié d'avance sur un concept avancé de marketing pour séduire certaines franges pseudo-rebelles de fils de petits bourges.
Le premier merdeux que je croise et me scandant sa vénération pour ce "film-culte" se ramasse un coup de boule !
J'aurai du mal à le juger totalement car je n'ai pas réussis à aller au bout, ce qui est très rare chez moi. Pas pour sa violence mais pour son ennui.
La réalisation est merdique, abusant d'effets faciles et surtout inutiles quant à la narration. Effets d'accéléré, de photo surtravaillée, d'enchainements hyper-rapides, clips, de division d'image. Autrement dit tout l'arsenal cyber-branché qui donnera dans 10 ans un aspect ultra-kitch et vieillot à ce film. L'aspect que je lui trouve dès aujourd'hui.
L'histoire n'a rien de palpitant, en fait il n'y en a pas vraiment, aucune trame scénaristique réelle. Rien qui nous entraine d'un point A à un point B et ainsi de suite. Ce surplace m'a à un tel point endormis que je n'ai pu finir le film et voir la séquence choc qui m'avait tant plus en extrait.
Je considère donc ce navet comme un effet de mode, un produit adapté à une certaine "djeuns-population". Avec des aspects de film-culte étudié d'avance sur un concept avancé de marketing pour séduire certaines franges pseudo-rebelles de fils de petits bourges.
Le premier merdeux que je croise et me scandant sa vénération pour ce "film-culte" se ramasse un coup de boule !
Un chef d'oeuvre... les acteurs, le scénario , la bande son, l'image, tout est soigné, réussi, parfait. Ce film ne m'a pas laissée indifférente, il boulverse, impressionne, laisse une trace. WoW
Un long clip ennuyeux avec des effets de style artificiels et répétitifs. Et que je t'accélère l'image, et que je divise l'écran, etc... Je suis restée de marbre devant ce film, qui, de plus, est complètement irréaliste. Aucun médecin digne de ce nom ne prescrirait des amphétamines pour maigrir, vu que c'est complètement illégal et classé comme drogue dangereuse. La descente aux enfers des jeunes est trop rapide et le traitement clipesque annihile les sensations que l'on devrait éprouver. Alors, certes, la drogue, c'est mal, et la télé abêtit. A part ça, j'avais vu il y a longtemps " Moi, Christine F, 13 ans, droguée, prostituée ", et le film, très glauque, m'avait réellement mise mal à l'aise. Requiem est culte ? Cul-cul la praline, oui.
Mal filmé, mal joué, scénario très très mince. C'est insupportable à regarder tant les effets sonores et visuels sont épiliptiques.
Requiem For A Dream est un film coup de poing qui aborde le thème de la drogue sans aucune concession. On suit la lente déchéance des quatre personnages principaux pris dans la spirale infernale de l'addiction. Si le film a surtout marqué les esprits par sa réalisation révolutionnaire et sa bande son inoubliable, il ne faut pas pour autant oublier la performance des acteurs qui livrent tous une prestation de haut vol (Ellen Burstyn en tête). Bien qu'il tire un peu trop sur la corde du pathos à mon goût, Requiem For A Dream reste un choc visuel et auditif de chaque instant qui a peut de chance de vous laisser de marbre.
Une oeuvre hyper-surestimée, érigée en monument par certains. Pourtant force est de constater la pauvreté de la mise en scène, les procédés sont hyper répétitifs, le propos creux et banal, la musique sublime de Clint Mansell massacrée par un montage catastrophique. Les acteurs livrent une belle performance, rendant leurs personnages respectifs particulièrement attachants, mais Aronofsky ne semble pas très franc lorsque sa caméra s'arrête sur eux, profitant à chaque fois de la situation pour jouer à fonds l'esthétique, pourtant minable. Au point qu'on finit par se détacher complètement de l'histoire, laissant ses personnages si attachants à leur destin tragique. La conclusion du film (selon votre dépression encours) : pas bien la drogue, pas bien/pas bien la télé, pas bien (version pour les gosses qui regardent trop la téloche)/ pas bien les médocs, pas bien. Pourquoi Aronofsky n'a-t-il pas voulu compléter cette liste ? On aurait par exemple pu y rajouter l'alcool, la caféine, l'usage du téléphone, facebook et j'en passe. Mais cela n'aurait sans doute pas tenu dans un seul film, à quand le n°2 ? Le public répondrait sans doute à l'appel.
Bon, je recommence, ma 1ère critique ayant finalement été désactivée. Mais je tiens tout de même à exprimer (avec la retenue nécessaire) toute la colère et le dégoût que suscite chez moi ce film. Sinon le film en lui-même, en tout cas l'accueil et la critique qui lui ont été réservés. On a ainsi pu lire dans la presse, et de manière presque généralisée, qu'il s'agissait d'un "chef d'oeuvre". C'est du pur délire! Ces gens-là auraient-ils oublié ce qu'est le cinéma? A savoir le septième parmi les arts? Auraient-ils du coup oublié ce qu'est l'Art? Sûrement pas un produit à rentabilité commerciale immédiate, à l'esthétique publicitaire, interprété par des mannequins qui ont oublié d'être acteurs, et à l'absence totale d'intelligence dans le propos (le film s'adresse à un public adolescent, enfanté par la télé et la pub, et en quête de repères). Dans la droite lignée du grand conformisme ambiant. Nommé cela un "chef d'oeuvre", c'est renier l'essence même du cinéma, c'est assassiner l'Art. C'est accepter et légitimer un peu plus le triste sort réservé aujourd'hui à toute tentative de création artistique véritable, c'est valider la fonction de débilisation et de manipulation des masses que possède aujourd'hui l'image filmique. Une étape de plus est franchie dans le reniement de l'Art, dans la transformation du cinéma en pur produit de consommation. Qu'on parle d'un divertissement destiné à un public cherchant à "poser le cerveau", et à s'abrutir volontairement, ce que je peux comprendre totalement (çà m'arrive aussi de vouloir mater une connerie!), je dis ok (le genre de nullités "prêtes à manger" et "prêtes à penser" que Hollywood sait si bien pondre). Mais non, c'est de "la poésie brute", un "film culte"... Je vous en prie, arrêtez!!! Vouer un culte à ce film, c'est comme vouer un culte à la Star'Ac. Quand on a 12 ans, çà se comprend, mais quand on en a 40 et qu'on est critique dans un grand organisme de presse, alors il y a un vrai gros problème.
Un film troublant à la mise en scène énergique, voire épileptique totalement en adéquation avec le propos du film, une réussite.
Excellent film réserver au amateurs de trainspotting.
Ti Nou
Ce deuxième long-métrage de Darren Aronofsky fonctionne à merveille que ce soit dans l'écriture des personnages tous attachants ou dans l'efficacité d'une mise en scène tape-à-l'œil mais pleine de sens contribuant à rendre ces descentes aux enfers bouleversantes.
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