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nightloveart
11 abonnés
8 critiques
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0,5
Publiée le 20 juillet 2023
Une nullité affligeante ! Rien ne va ! Les acteurs sont mauvais, le scénario est encore pire et le crocodile on en parle même pas. A côté le premier était un chef d'œuvre... Et ce n'était pourtant pas le cas. Fuyez pauvre fou !
Mauvais film de "crocodile/alligator" avec des effets spéciaux des années 60 et un scénario qui ne casse pas des briques. Il est largement préférable de regarder "Rogue/Solitaire" (2007) ou "Crawl" (2019).
Franchement pas ouf, on ne voit pas assez les scènes sanglantes tout est suggèré, des héros qui se démènent, se sacrifient les uns pour les autres pour un résultat nul a chier qui finit en clifhanger ...
Dépenser des heure de ma vie je sais même pas comment ils ont fait autant de film avec des note aussi basse surtout lui le crocodile se téléporte il est partout en même temp le fusil du gars il la trouver a dans une décharges sa vaut même pas la peine d'être appelé un film(est pas juste un film d'horreur ces une horreur) .
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1,5
Publiée le 10 novembre 2019
On ne compte plus les « Lake Placid » dans une saga qui compte faire mieux que Jason Vorhees! Le crocodile est toujours aussi balèze et affamè même si le monstre n'apparaît ici que de temps à autre! Les victimes, elles, ne changent pas : toujours au mauvais endroit et au mauvais moment! De jeunes explorateurs, dèfiant l'autoritè, se mettent à la recherche d'un territoire perdu! Autant dire qu'ils vont vite regretter d'avoir accostè dans un dècor de carte postale! Malheureusement, l'île abrite un prèdateur qui a la dalle! Seul intèrêt de cet ènième volet spècialement conçu pour la tèlèvision : un joli travail sur l'image, en particulier quand une des protagonistes emprunte les conduits d'aèration avec une fusèe de dètresse! Sinon rien à signaler dans le cast hormis la prèsence de Joe Pantoliano qui a crèè sur mesure un crocodile mangeur d'homme, une espèce èteinte du Miocène qui vivait donc il y a huit millions d'annèes environ! Tout un programme...
Difficile de dire quelque chose de positif de ce film. Ce n'est pas très palpitant, le scénario est convenu et les acteurs sont médiocres. La créature en CGI est passable, pour être poli; on va dire que de loin ça passe sans lunettes. Bref ce Lake Placid Legacy est une série Z sans intérêt, passez votre chemin car il n'y a rien à en retenir.
Lake Placid est l’une des seules sagas horrifiques à pouvoir se vanter d’avoir changé son prédateur en pénitent qui semble, depuis plus de quatre films maintenant, effectuer un chemin de croix allant du supplice ultime – le deuxième volet – aux rares périodes d’accalmie – le troisième, moins pire que les autres. Que dire de ce Lake Placid: Legacy, sinon qu’il confirme l’adage selon lequel il faut préférer la mort à l’agonie ? Aussitôt ressuscité aussitôt enlisé dans le marasme esthétique et dramatique, où les licences plagiées un peu partout (Godzilla par exemple) viennent échouer et se croiser le temps d’un téléfilm minable, qui ne vaut que pour les quelques ambiances anxiogènes posées çà et là. Cet héritage est mieux réalisé, voilà son avantage : il se regarde sans crier au viol visuel, quoique le crocodile déconcerte par sa laideur numérique. Certains plans sont composés, et les jeux de lumière peuvent ravir, l’espace d’un instant, une rétine lassée par tant de clichés collés les uns aux autres. Le souci, c’est qu’une recherche esthétique dépourvue de motivation fond comme neige au soleil. Et il est inexcusable de se saisir d’un sujet environnemental aux résonances contemporaines pour le réduire à un prétexte scénaristique aussi grossier : la thématique est posée là, ne dispose d’aucun traitement, d’aucune profondeur. Les autres volets pouvaient se cacher derrière la crétinerie qu’ils affichaient ; on pouvait y lire une forme d’honnêteté, de sincérité dans la démarche qui criait haut et fort à son spectateur que rien d’intelligent n’allait se produire. Là, c’est l’inverse. L’ouverture promet un propos de fond qui n’est, en fin de compte, que poudre aux yeux, et donne l’impression au film d’avoir un fondement autre que le divertissement. Malhonnête, long et terriblement imbécile, Lake Placid: Legacy achève – on l’espère – une saga qui aurait dû se limiter à son œuvre-source.
Fallait-il voir tous les Lake Placid antérieurs pour apprécier celui-ci? J'en doute d'autant qu'il s'agit d'un redémarrage de la franchise. Pour ma part, ignorant de tous les épisodes précédents, je l'ai abordé sans attente particulière. Pour un redémarrage c'est très très poussif... Je n'ai pas vraiment réussi à me lancer dans le film et ce jusqu'au dénouement final tant il faut admettre que ni les acteurs (pas inspirés ou mal payés, voire les deux) ni la bête en question (logiquement au centre du récit mais que l'on ne voit qu'en de trop rares occasions) n'ont l'étoffe pour porter le film vers les sommets. À tout le moins vers les sommets du crédible et du raisonnable mais non, rien d'exaltant, pas d'étincelle pour nous faire frémir (un comble vu le genre) puisque l'on passe son temps à voir déambuler les protagonistes dans des réduits parsemés de caisses et de tuyaux spoiler: avec le sempiternel cul de sac pour (tenter) d'augmenter d'un cran la tension . Je me demande si cette franchise n'aurait pas mieux fait de rester au fond du marécage pour y laisser le croco en paix.
Un 4eme opus ou 5ème si on comte le 3 fait en téléfilm, l ensemble commence à devenir redondant et trouve sa base ici comme pour les films catastrophes ou d horreur (un groupe de militant.. Ou de jeune vont explorer...) et nous montre dés le début le manque d originalité. La mise en scène n est pas top surtout la majeur partie où il fait en plus nuit. Les 1ere scènes où l on voit une victime nous laissait pensé à une suite un peu plus gore qu auparavant. Mais le schéma change, chacun n à pas vraiment de charisme, de prestance. Rendant le film un peu plus fade même quant il tente des petites choses. On y croit malheureusement plus.
Ah clairement, là, y a du mieux. Ça se ressent tout de suite. Autant les précédents n'étaient que des téléfilms honteux tournés en Bulgarie avec un budget de misère, des techniciens dénués de talent et d'argent, des acteurs en roue libre sans aucun Q.I, là, tout simplement c'est meilleur. A la limite, ça ne s'explique pas. On le voit à l'écran, c'est tout. C'est mieux réalisé. Mieux joué. Les personnages sont moins bêtes. Ce sont des espèces de Robin des Bois souhaitant dénoncer les pratiques de grands industriels et qui se retrouvent pris au piège de ce qu'ils considèrent au départ comme une farce de la part d'un d'un ancien collègue. Évidemment, ils vont vite déchanter quand ils vont se rendre compte que les crocos sont de la partie. Alors, oui, il est moche mais ils ont le bon goût de nous le montrer assez peu et de toute façon je savais qu'il n'y aurait aucun miracle. Autant faire avec. Non, moi, j'ai aimé. Ils tentent de survivre. Ils se sacrifient les uns pour les autres. C'est parfois gore. Ce sont de jeunes acteurs/actrices de séries télés à qui tu as envie de laisser une chance car ils sont sympathiques et plutôt beaux/belles. Et pas mauvais. J'ai eu le même sentiment d'indulgence que pour le Power Rangers de 2017. Je ne sais pas s'il y a eu un changement de cap en interne. J'ai la flemme de m'y intéresser. Mais ce fut une bonne surprise. Et le meilleur depuis le premier.
Lake Placid fait partie de ces rarissimes cas où un médiocre Monster-movie de série B récolte mystérieusement un certain succès en salle, à l’instar de ‘Anaconda’ vers la même époque. Comme ce dernier, la franchise a d’ailleurs renoué ensuite avec sa nature profonde, au travers d’épisodes de plus en plus ridicules et fauchés : les deux monstres se sont même rencontrés dans les années 2010, signe ultime de dégénérescence d’une série. Quant à ce ‘Legacy’ tardif, il n’hésite pas à se présenter comme l’unique héritier du ‘Lake Placid’ fondateur, et n’entretiendrait dès lors aucun rapport avec les vulgaires produits d’exploitations que furent les 4 ou 5 navets sortis entretemps. Dans un certain sens, c’est exact puisque ‘Legacy’ se débrouille pour faire encore pire. Déjà, il se déroule majoritairement dans le fameux décor, bien connu des amateurs de films d’action japonais et russes fauchés, dit “des couloirs�, un labyrinthe bétonné et criblé de tuyaux, de câbles électriques et de flaques d’eau, qui pourrait tout aussi bien se situer dans une usine que dans une gare désaffectée, une zone militaire ou les cabines d’un bassin de natation mal entretenue. Corollaire de ce choix, on trouve ce décor générique partout et il ne doit pas être bien cher à louer. Passons directement sur le verbiage incessant d’acteurs lamentables et l’absence de rebondissements intéressants pour en arriver à la discrétion visuelle du crocodile géant, qu’on voit beaucoup moins que dans l’épisode fondateur et jamais en entier...et cette timidité de la part du saurien n’a rien à voir avec un quelconque souci de ménager le suspense et la surprise en attendant le climax : c’est juste que les CGI aussi pourris, on ne les étale pas au vu et au su de tout le monde : c’est impudique.
Ouh la la, une grosse calamité que ce film et qui dessert totalement l'héritage (avec et sans jeu de mot!) de ses origines. Évitez de regarder ce film si vous ne voulez pas perdre votre temps.
Dommage qu'on ne puisse pas mettre 0 étoiles , une nullité absolue. mal joué , aucun scénar évidemment , le crocodile qui est partout en même temps , des effets spéciaux archi nuls. comment peut on encore produire de tel films ? C'est vraiment dommage car le premier lake placid était pas mal du tout , mais avec ce dernier opus , on touche le fond.
Un crocodile qui est partout d'une scène à l'autre (dès que quelqu'un s'aventure quelque part, il se fait bouffer), des acteurs qui ne jouent pas très bien, des effets spéciaux numériques OMG catastrophiques du croco, des scènes de mort suggérées pour masquer l'absence de FX digne de ce nom, des gentils qui sont quand même hyper au courant des particularités d'un croco, qui savent manœuvrer une pelleteuse ou savent comment construire une radio ou un téléphone dans un endroit désaffecté... Une fin archi prévisible spoiler: (l’héroïne qui pleurniche tout le long et qui se révèle Badass Le 2ième croco)...
Bref, vous l'aurez compris, j'aurais mieux fait de regarder la BA de cet énorme nanard, histoire de ne pas perdre trop de temps...la seule réussite de ce film est l'affiche, le reste ressemble à une production The Asylum...