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Ggoldfinger
16 critiques
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3,0
Publiée le 29 décembre 2019
Un bon sujet et de belles interprétations. Dommage que l'ambiguïté entre les 2 protagonistes tombe vite dans la facilité. spoiler: En gros après la scène chez l'antiquaire le film n'apporte plus rien et puis forcément la fameuse fin des films français à imaginer... Bref un bon court métrage.
Franck et Sybille sont tous les deux mal dans leur peau. Mal dans leur travail. C'est traité de manière loufoque, poétique par le réalisateur et j'ai du mal avec cette manière de faire. Je veux dire, ce n'est pas crédible. Quand ils arrêtent de jouer un rôle et qu'ils sont eux-mêmes (c'est-à-dire quand ils tombent amoureux), c'est là qu'ils deviennent attachants. D'accord, ça redevient une comédie romantique banal. Mais c'est toujours mieux que de voir étaler leurs névroses à l'écran. J'ai bien aimé aussi la petite pique sur la précarité dans la fonction publique. A tous ceux qui pensent que c'est la planque, que c'est l'emploi garanti à vie, c'est plus compliqué que ça pour être titularisé. Je ne suis pas sûr que ça aussi c'est la vie dont ils ont toujours rêvé. En particulier Franck. Lui, c'est la mise en scène. Pas la surveillance d'un musée ou l'escroquerie. Au moins, c'est mignon de les voir ensemble se rapprocher peu à peu. On dirait deux gamins quand ils montent leurs embrouilles. Ce n'est pas grave. Il faut avoir gardé son âme d'enfant. Dans le même registre romantique, j'ai préféré Populaire quand même.
L’interprétation est l’atout principal de cette comédie sympathique mais qui souffre de deux écueils : l’étroitesse du scénario et l’irrégularité du rythme. Et la fin improbable déçoit.
Franchement nul. Il dure 1h25 il m'a donné l'impression d'en faire le double. Mis à part 2/3 courtes scènes drôles et une caricature crédible, tout le reste est à jeter. C'est long, mou, surfait, pas drôle, pas bien joué.. L'ensemble sonne faux il n'y a rien à en tirer
Franck est un artiste à bout de nerf. Après des années de galère, il se retire du milieu théâtrale et accepte un poste de surveillant de musée. Il découvre un monde à l’inverse du sien. Tout est ordonnée, froid et sans âme. Même ses collègues manquent de fantaisie. Seule sa détestable collègue parvient à casser le rythme sans vie de sa nouvelle existence. Malheureusement, les dialogues de “Je te promets d’être sage” sont parfois gênants et même les très bons comédiens que sont Pio Marmai et Léa Drucker, ne parviennent pas rehausser le ton de la comédie romantique. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Un début très difficile. Une histoire qui traîne en longueur. Quand au final on s'y attend. Un comédie sans suspens, ni rebondissement. Cela pourrait être tiré d'une histoire vraie .
Une histoire sans queue ni tête, des dialogues plats a n'en plus finir et de nombreuses invraisemblances font un ensemble pathétique dont Pio Marmai essaie de se sortir ...en vain
une énorme déception pour moi ce film pourtant un casting quatre étoiles avec en tête d'affiche deux comédiens très souvent époustouflants. mais là la mayonnaise ne prend pas hélas et cette "comédie" nous arrache parfois forcé quelques légers sourires.
"Je promets d'être sage" est une bonne (petite) comédie. Même si ce n'est pas un film qui marque, je ne me suis pas ennuyée et j'ai passé un bon moment. En revanche, Pio Marmaï, que je suis de très près et pour lequel je suis allée voir ce film, est cantonné à des rôles assez similaires ces derniers temps (personnage un peu foufou comme dans "En liberté" et "Mais vous êtes fous?"). En espérant le voir prochainement hors de cette zone (de confort) car je ne doute point de son talent immense.
Dramaturge au bord du burn out, Franck (Pio Marmai) décide de changer radicalement de vie. Il s'installe à Dijon, près de sa sœur et trouve un emploi de gardien au musée des Beaux-arts. La fréquentation des œuvres, la routine de son travail vont, pense-t-il, lui rendre la sérénité qui l'avait quitté. Mais c'est sans compter sur ses collègues de travail et notamment sur Sibylle (Léa Drucker) qui l'accueille froidement et refuse, pour des raisons qui s'éclaireront bientôt, de participer à l'inventaire des pièces du musée.
"Je promets d'être sage" s'ouvre par une scène hilarante. On y voit Pio MarmaI dans le rôle d'un directeur de troupe au bord de la crise de nerfs péter les plombs devant un public médusé et des acteurs tétanisés, dans une mise en scène à la Ian Fabre, toute de bruit et de fureur.
Mais la suite hélas n'est pas au diapason. On quitte les planches du théâtre pour les lambris du musée - un décor que le cinéma n'avait jamais investi à ma connaissance. On y retrouve Pio Marmai, joyeusement neurasthénique, dont on se dit qu'il est décidément l'un des acteurs les plus intéressants de sa génération. Le rejoint bientôt Léa Drucker, auréolée de son récent César, dans un registre comique qu'on ne lui connaissait pas et qui, tout compte fait, ne lui convient guère. Non que le duo ne fasse pas mouche. On rit volontiers à ses tentatives plus ou moins maladroite de fourguer les pièces de l'inventaire qu'ils subtilisent. Mais le scénario n'est pas assez riche pour soutenir durablement l'intérêt. Cousu de fil de blanc, il se traîne vers un dénouement connu d'avance.
"Je promets d'être sage" ne parvient pas à se hisser au-delà de son cahier des charges : une comédie gentillette dans un cadre original bien servie par son duo d'acteurs. C'est déjà ça… mais ce n'est guère plus.
Une comédie, avec un scénario fabriqué pour ça (la comédie !). Des personnages, une situation, une intrigue, un jeu d’acteurs dans la confrontation… que demander de plus ? La fin cafouille un peu par manque de contenu sur un rebond attendu mais pour le reste c’est de bonne facture et c’est plaisant à suivre.
Comédie très agréable, j ai passé un bon moment avec le duo Pio Marmai et Léa Drucker. Petit bémol j aurai aimé que la partie arnaque revente des objets du musée soit plus développée.