Deux accidentés de la vie se rencontre par leur métier de gardiens de musée qui semble bien être le bout du chemin pour eux. Une rencontre qui va faire des étincelles entre Sybille qui voit se métier comme un mouroir et Franck qui lui n’aspire qu’au calme et à la tranquillité que cette place lui promet. Pour se débarrasser d’elle, il l’accepte de l’aider à piller une partie de la collection du musée. Je promet d’être sage est une comédie atypique, qui lorgne beaucoup vers le cinéma de Pierre Salvadori. La part belle est faite aux acteurs, leurs réactions, malgré de très bons dialogues leur jeu tourne presque au mime. Un petit mot aussi sur une jolie galerie de seconds rôles eux aussi décalés. Malheureusement et comme très souvent dans les films avec un duo dysfonctionnel, on perd en amusement au fur et à mesure que les deux personnages se rapprochent. Au final c’est un film plutôt plaisant, qui tombe un peu dans la facilité au fur et à mesure mais qui a la qualité d’aimer ses personnages.
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1,5
Publiée le 11 août 2020
Je promets d'être sage a un scénario clairement secondaire. C'est un prétexte à un excellent jeu d'acteurs de Pio Marmaï et Léa Drucker. Le film n'en reste pas moins globalement mauvais et s'avère être une comédie volontairement amorale : car voler est un péché si cela convient...
Quel ennui! Histoire sans intérêt, cabotinage irritant des acteurs, rien pour s'accrocher au début du commencement d'une amorce d'intrigue. Je vais retourner voir n'importe quelle comédie française bien écrite pour oublier cette daube.
Voilà encore un film où je ne me sens pas du tout concerné. Pourtant, ça démarrait bien avec ce Frank (Pio Marmaï) metteur-en-scène hystérique voire schizophrène devenir un simple surveillant de musée niché en province. Ça promettait. Mais petit à petit l’intérêt retombe assez vite, sans doute avec l’arrivée de Sybille (Léa Drucker). Le metteur-en-scène choisit de nous en dire peu sur elle, on comprend assez vite qu’elle est aigrie, antipathique et surtout tout aussi schizophrène que Franck. Allez savoir pourquoi, je ne crois pas au couple qui finit par se former. Antipathique, Sibylle, le reste pour moi tout au long du film, je ne lui trouve aucune grâce ; et Franck m’indiffère de plus en plus. Bref, un film qui m’a laissé de côté.
la dernière partie s'essouffle un peu mais toute la première partie est top! du grand Pio et Léa Drucker tient très bien le rôle aussi ! On aurait eu envie que ça aille plus loin dans le délire, on reste un petit peu sur sa faim
comment dire... pas drole, pas interessant (au fait est ce qu'il y a un scenario ou ne serait-ce qu'une histoire). il n'y a vraiment rien dans ce film. cote acteurd Pio Marmai s'en sort bien mais il est vraiment tout seul.
Pio Marmaï et Léa Drucker montent un plan pour détourner des stocks d'objets rares depuis le musée qu'ils gardent, et nous on monte une tente Quechua pour s'endormir peinard. Long, mou, décidément peu drôle et pas toujours bien interprété, le film se sauve par l'intention (c'est l'intention qui compte) qui était un bon scénario original, avec un potentiel de gags riches. Mais on s'avoue vite que cela n'est pas exactement ce à quoi on s'attendait quand on tombe sur la scène de la mallette vieillie revendue par deux pseudo-endeuillés (à l'humour poussif et jamais crédible) et les scènes de blabla qui composent la grande majorité du film. On se tourne longuement les pouces avant que l'action ne démarre, et le résultat est d'une platitude étrange, pour ce qui doit être une comédie. Ennuyeux et plat.
Je ne suis jamais rentré dedans. Pourtant, je suis client de ce genre de comédie décalée, sauf que là, je l’ai trouvée beauf, bœuf et bof, et pas vraiment drôle. Sans Pio Marmaï, ni Léa Drucker, ce premier film aurait été pire encore.
MUSEE HAUT MUSEE BAS. C'est par où la Joconde? Une oeuvre dépouillée sans grand intérêt. Si l'hystérie gagne le duo, elle m'a passé à coté comme la vie d'un gardien de musée, à s'asseoir et attendre. Sage ne veut pas dire éteint. Picasso a dit "donnez moi un musée et je le remplirai". Ronan Le Page, faut la tourner, a oublié cette citation.
Je promets d'être sage est un film pas très original, pas très drôle, mais qui bénéficie de la présence d'un couple d'acteurs qui fait le job. Grâce à Pio Marmai et surtout à Léa Drucker, on parvient à rester éveillé. Mais ce petit film sera vite oublié.
Je suis rentrée facilement dans l'histoire, intrigue originale qui nous donne envie de continuer. Jusqu'au milieu du film ou ça devient malheureusement lent et ennuyant ... je voulais surtout voir ce film pour pio Marmai et je n'ai pas été dessus encore une fois par son jeu d'acteur.
Tout à fait ce que je recherche au cinéma. Un scénario original. Des dialogues bien écrits. Des acteurs justes. Un film sans prétention qui s'avère être une très bonne surprise. J'ai passé un excellent moment. Le meilleur du cinéma français . .que je suis la première à critiquer en temps normal ...
Par une écriture aussi fine que faussement légère, cette comédie devient de plus en plus attachante au fil des minutes s'égrénant. Grâce à une belle complicité entre le duo d'acteurs Drucker/Marmaï, il est vrai bien secondés par des rôles secondaires décalés et talentueux, un vent de fraîcheur souffle sur le cinéma français. Rafraîchissant.