Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Obs
par Jérôme Garcin
Dans ce premier film aussi brillant qu’énigmatique, la psychorigide Léa Drucker et l’explosif Pio Marmaï sont, au sens propre, au sommet de leur art.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
[...] une réjouissante tentative hybride dramatico-loufoque qui, grâce à ses fulgurances comiques, réussi à faire mentir son titre.
Closer
par La Rédaction
Une comédie romantique qui s'appuie sur une trame originale.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
L'histoire peut sembler fragile, mais les talents conjugués de Pio Marmai et Léa Drucker font si bien vivre les personnages que l'on se prend au jeu.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Ronan Le Page signe un premier long-métrage original, distrayant et teinté de poésie parce qu’il se déroule dans un lieu inhabituel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Comédie enlevée et intelligente, « Je promets d’être sage » offre deux épatants personnages d’accidentés de la vie à Pio Marmaï et Léa Drucker.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ça se regarde bien mais dommage que tout cela reste un peu mou.
Positif
par Louise Dumas
Ronan Le Page fait, en outre, preuve d'un vrai talent dans la direction d'acteurs : Léa Drucker est excellente en frappadingue et le couple de cinéma, étonnant à tous égards, qu'elle forme avec Pio Marmaï est une riche idée.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Pio Marmaï et Léa Drucker forment le duo plein de charme de cette comédie truculente à l’écriture ciselée.
Voici
par A.V.
Un premier film joliment espiègle, porté par le charme du duo Léa Drucker/Pio Marmai.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Un peu lent au démarrage après une scène d'ouverture décoiffante, le film trouve son rythme avec la rencontre de ces deux personnages déjantés, incarnés par Léa Drucker et Pio Marmaï, excellents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si la fin s’étiole en perdant le tandem qui portait le film, Je promets d’être sage promène un joli regard, tout décalé qu’il soit, sur les musées de province, la petite vie qu’ils recèlent et offre le réjouissant face-à-face de deux comédiens qu’on a toujours plaisir à retrouver.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une gentille comédie, originale moins par son scénario que par le cadre où évoluent les personnages, et par l’interprétation de Léa Drucker, qui s’en donne à coeur joie dans le registre caractériel.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] cette comédie romantique décalée où l’on ressent l’influence de Pierre Salvadori se révèle une bien mauvaise publicité pour la profession, mais le spectateur, lui, ne s’ennuie guère, embarqué dans une histoire d’escroquerie inégale mais convaincante.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La jolie petite galerie de portraits que Ronan Le Page a installée dans les parties du musée interdites au public cède la place à un enchaînement d’arnaques et de fugues qui sortent Je promets d’être sage des territoires de chasse habituels du cinéma français et donnent envie de découvrir la suite des aventures de son réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Cécile Mury
Cette comédie drôle-amère, parfois un peu bancale, dont la fantaisie écorchée rappelle le cinéma de Pierre Salvadori, vaut surtout pour le charisme de ses deux interprètes principaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le premier long métrage de Ronan Le Page se veut résolument sincère mais son sujet, desservi par une écriture laborieuse et confuse, peine à convaincre et provoque un ennui dont les acteurs ne parviennent pas à nous sauver.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ça n’est pas un monde (ré)enchanté dans lequel gesticulent les bientôt amoureux (et escrocs) Franck et Sybille (elle aussi employée du musée, jouée par la talentueuse – et, ici, parfois démunie – Léa Drucker) mais un grand jeu confus pas bien méchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Ajoutez à cela de bons seconds rôles (Mélodie Richard en tête), une BO idéale de Florent Marchet et vous obtenez une fantaisie savoureuse... jusqu’à l’entame de sa dernière ligne droite. Soudain, la comédie s’essouffle, le récit patine.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Dans ce premier film aussi brillant qu’énigmatique, la psychorigide Léa Drucker et l’explosif Pio Marmaï sont, au sens propre, au sommet de leur art.
Marie Claire
[...] une réjouissante tentative hybride dramatico-loufoque qui, grâce à ses fulgurances comiques, réussi à faire mentir son titre.
Closer
Une comédie romantique qui s'appuie sur une trame originale.
Femme Actuelle
L'histoire peut sembler fragile, mais les talents conjugués de Pio Marmai et Léa Drucker font si bien vivre les personnages que l'on se prend au jeu.
Le Figaro
Ronan Le Page signe un premier long-métrage original, distrayant et teinté de poésie parce qu’il se déroule dans un lieu inhabituel.
Le Parisien
Comédie enlevée et intelligente, « Je promets d’être sage » offre deux épatants personnages d’accidentés de la vie à Pio Marmaï et Léa Drucker.
Ouest France
Ça se regarde bien mais dommage que tout cela reste un peu mou.
Positif
Ronan Le Page fait, en outre, preuve d'un vrai talent dans la direction d'acteurs : Léa Drucker est excellente en frappadingue et le couple de cinéma, étonnant à tous égards, qu'elle forme avec Pio Marmaï est une riche idée.
Télé Loisirs
Pio Marmaï et Léa Drucker forment le duo plein de charme de cette comédie truculente à l’écriture ciselée.
Voici
Un premier film joliment espiègle, porté par le charme du duo Léa Drucker/Pio Marmai.
Franceinfo Culture
Un peu lent au démarrage après une scène d'ouverture décoiffante, le film trouve son rythme avec la rencontre de ces deux personnages déjantés, incarnés par Léa Drucker et Pio Marmaï, excellents.
La Croix
Si la fin s’étiole en perdant le tandem qui portait le film, Je promets d’être sage promène un joli regard, tout décalé qu’il soit, sur les musées de province, la petite vie qu’ils recèlent et offre le réjouissant face-à-face de deux comédiens qu’on a toujours plaisir à retrouver.
Le Dauphiné Libéré
Une gentille comédie, originale moins par son scénario que par le cadre où évoluent les personnages, et par l’interprétation de Léa Drucker, qui s’en donne à coeur joie dans le registre caractériel.
Le Journal du Dimanche
[...] cette comédie romantique décalée où l’on ressent l’influence de Pierre Salvadori se révèle une bien mauvaise publicité pour la profession, mais le spectateur, lui, ne s’ennuie guère, embarqué dans une histoire d’escroquerie inégale mais convaincante.
Le Monde
La jolie petite galerie de portraits que Ronan Le Page a installée dans les parties du musée interdites au public cède la place à un enchaînement d’arnaques et de fugues qui sortent Je promets d’être sage des territoires de chasse habituels du cinéma français et donnent envie de découvrir la suite des aventures de son réalisateur.
Télérama
Cette comédie drôle-amère, parfois un peu bancale, dont la fantaisie écorchée rappelle le cinéma de Pierre Salvadori, vaut surtout pour le charisme de ses deux interprètes principaux.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Ronan Le Page se veut résolument sincère mais son sujet, desservi par une écriture laborieuse et confuse, peine à convaincre et provoque un ennui dont les acteurs ne parviennent pas à nous sauver.
Les Inrockuptibles
Ça n’est pas un monde (ré)enchanté dans lequel gesticulent les bientôt amoureux (et escrocs) Franck et Sybille (elle aussi employée du musée, jouée par la talentueuse – et, ici, parfois démunie – Léa Drucker) mais un grand jeu confus pas bien méchant.
Première
Ajoutez à cela de bons seconds rôles (Mélodie Richard en tête), une BO idéale de Florent Marchet et vous obtenez une fantaisie savoureuse... jusqu’à l’entame de sa dernière ligne droite. Soudain, la comédie s’essouffle, le récit patine.