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gwoin.h
50 abonnés
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3,5
Publiée le 23 juin 2019
Bonsoir,
Avec un peu de retard je vous pose ma critique du remake de "Chucky".
En effet nous sommes allés le voir jeudi. J'en attendais pas grand chose, la mode étant à refaire ce qui a déjà été fait, et bien malheureusement, en plus, la plupart du temps c'est vraiment raté.
Ce film est l'exception qui confirme la règle. Car en effet j'ai vraiment apprécié ce film et j'ai passé un super moment.
J'irai presque à dire qu'il est meilleur que le premier et bien sur bien au-dessus de toutes les suites qui ont déjà étés pondues et qui étaient toutes plus nulles les unes que les autres à part le deuxième épisode.
Bon au niveau scénario ont va pas se mentir c'est nul et tellement tiré par les cheveux que ça en devient du coup un film bourré d'humour. Je me suis vraiment marré plusieurs fois et certaines répliques de chucky sont vraiment hilarantes.
Le scénario est donc pour moi le seul point négatif car vraiment tout est téléphoné. Le plaisir est ailleurs, comme je le disais le film est marrant et il y a quelques scènes bien gores. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu cela au cinéma. D'ailleurs petit avertissement je trouve même que l'interdiction aux moins de 12 ans est très limite. Il aurait presque mérité un moins de 16 ans pour deux ou trois scènes.
En bref c'est vraiment un bon petit film d'horreur à l'humour noir et plutôt bien fichu.
Par contre n'allés pas le voir en espérant le grand frisson car ce film ne fait pas peur du tout, c'est vraiment encore une fois je trouve plus une comédie horrifique.
Je vous conseille donc d'allé le voir surtout si vous êtes fan des deux premiers épisodes, je suis sur aque vous passerez un bon moment.
Je m’attendais à quelque chose de vraiment bidon, mais j’ai passé un très bon moment devant ce film! Aubrey Plaza est parfaite, les acteurs qui jouent les enfants se débrouillent bien. Le nouveau design de Chucky tout en CGI est bof mais ça apporte un côté humoristique. Gore à souhait, les personnages sont attachants, en bref ce film est meilleur que ce qu’on pourrait imaginer d’un remake de Chucky des temps modernes.
Le slasher high tech de Lars Klevberg se laisse visionner comme une agréable série B à l'ancienne, boostant une franchise d'un petit coup de sang neuf. A l’heure où les films d'horreur sortent de moins en moins souvent dans les salles obscures, relayés directement sur des plates formes comme Netflix, on ne s’en plaindra pas.
Bon reboot, nettement meilleur que ceux après le 3 de toute evidence. La premiere partie du film est genial, bonne idée, la tête du nouveau chucky est tres reussie, de bonne références, puis vient la seconde partie, ou en faite ca part totalement en vrille et ca devient presque ennuyeux. J en ressors donc assez mitigé, mais encore une fois le nouveau design de Chucky est tres attachant.
Que dire de ce film Alors franchement je reste mitigé, c'est la première fois qu'un film m'a non seulement plu mais aussi déplu ! je m'explique... Si on fait abstraction des premiers films (bon les suites c'était la cata quand même) alors oui, c'est un bon petit film d'horreur qui se regarde avec intérêt, c'est drôle, c'est gore mais tout de même assez prévisible. Par contre, là ou le bas blesse, c'est d'une part la mythologie de Chucky (première du nom) qui en a pris un sacré coup... on ne parle plus ici de possession d'un tueur en série mais d'une poupée connectée (vive la technologie) trafiquée par un ouvrier. Et mon dieu, quelle affreuse "gueule"... En tant que jouet j'en aurai jamais voulu pour mon fils.. là ou la première chucky était esthétiquement réussi, ici elle est moche et sans relief ! La voix (française) est une toute petite voix alors que la première était plutôt musclée, faisait peur et avait un timbre à la hauteur... en bref, ce film je dis oui si on ne l'avait pas prénommé chucky mais si on en aurait fait un film indépendant avec aucun lien. malheureusement, le côté commercial a pris le dessus, c'est dommage LES grands fan de Charles Lee Ray penseront forcément comme moi !
Pas de réelle plus-value scénaristique en faisant de Chucky une poupée sous intelligence artificielle piratée, d’ailleurs ce n’est pas très clair, on ne comprend pas trop les motivations de départ, et pas plus de réponses à la fin; cependant ce remake réussit à saisir l’essence d’une série B horrifique de qualité, juste ce qu’il faut de gore, d’ironie, de développement des personnages, avec un rythme plaisant et quelques moments de tension qui fonctionnent. La dernière partie manque par contre son apothéose malgré ses idées du tout-connecté, sans nécessairement chercher le carnage disons que tout cela reste trop sage, pour ne pas dire attendu, pourtant la température était prise, mais encore une fois je me demande si le réalisateur n’a pas tout simplement voulu rendre hommage au matériau de base, avec ses clichés et invraisemblances, tout en opérant ce petit détournement ancré dans son époque, et donc sans grandiloquence indigeste typique des nouvelles licences du genre. M’attendant au navet je suis agréablement surpris, même si au fil du film je me suis fait la remarque qu’il y avait sans doute encore mieux à faire pour rendre une copie rafraîchissante et ultra divertissante, mais c’est déjà pas mal.
Scénario machiavélique mais qui reste tout de même "gentillet" et plutôt prévisible. Dans l'ensemble j'ai trouvé ce film bon, le casting et la mise en scène sont efficaces, et c'est divertissant de bout en bout !
Ce remake du premier chucky n'arrive pas à égalité l'original , surtour pour celui l'ayant connu à l'époque. La poupée est moins bien réussi graphiquement que celle du film de 1989. Le point fort de cette nouvelle version est que le réalisateur à su s'adapter à l'évolution technique actuelle pour moderniser la poupée. Un remake plaisant mais dispensable.
Reboot de Jeu D'Enfant, premier film ayant lancé la franchise, Child's Play : La Poupée Du Mal, réalisé par Lars Klevberg, est un pari risqué mais plutôt réussi. L'histoire nous fait suivre une multinationale venant de relancer la production de Buddi, une poupée de haute technologie, qui devient rapidement un succès auprès des enfants du monde entier. Dans une usine de montage au Vietnam, un employé est blâmé, puis licencié par son supérieur hiérarchique. En représailles, l'homme manipule en secret la poupée qu'il assemble en désactivant toutes ses fonctions de sécurité avant de se suicider. Emballée, la poupée est expédiée à l'international. C'est à Chicago qu'elle va se retrouver. En effet, Karen offre sans le savoir à son adolescent malentendant Andy, le cadeau empoisonné. Ce scénario est plaisant à suivre tout du long de sa durée d'une heure et demie. On assiste à une intrigue offrant une nouvelle vision modernisée de Chucky, délaissant totalement le tueur Charles Lee Ray et sa volonté de possession. Le récit joue avec son époque en évoquant une poupée défaillante, ultra connectée. L'ambiance horrifique est bien présente de bout en bout et les scènes nous gratifient de morts brutales. Ce sombre récit est porté par des personnages appréciables, interprétés par une distribution convaincante comportant Gabriel Bateman, Aubrey Plaza, Tim Matheson, David Lewis ou encore Brian Tyree Henry. Seul regret au niveau des protagonistes, que l'handicap du jeune garçon ne soit pas exploité. Mais la véritable tête d'affiche est évidemment le meilleur ami pour la vie. D'autant plus que son comportement ambivalent le rendant parfois sympathique grâce à sa loyauté fait de lui un jouet plus nuancé. Les relations entretenues par tous ces individus sont réussies, notamment à la faveur de dialogues de bonne facture. Buddi est lui toujours aussi caustique et amusant lorsqu'il ouvre la bouche. Sur la forme, la réalisation de Lars Klevberg s'avère de qualité. Sa mise en scène évolue dans des environnements variés ayant un certain cachet. D'autant plus que la photographie soignée offre quelques plans marquants, notamment grâce aux éclairages. L'aspect de la poupée rousse est elle plus contestable. En effet, son allure n'est pas vraiment inspirée et il faut un certain temps pour s'habituer à son nouveau visage. Cet agréable visuel est accompagné par une b.o. très présente signée Bear McCreary. Ses compositions inquiétantes renforcent grandement l'atmosphère. De plus, la franchise parvient enfin à avoir un thème mémorable avec une chanson restant en tête. Cette nouvelle itération s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Child's Play : La Poupée Du Mal, qui, en conclusion, permet de donner un souffle nouveau à la licence qui en avait grandement besoin, en produisant un long-métrage respectant l'esprit de la saga, tout en le transposant dans son époque actuelle.
Ce film est un bon remake, ce n'est pas un remake plan par plan comme celui de "Psychose" qui n'as donc aucun style d'intérêt, ou un remake pas mauvais, mais maladroit comme "La malédiction". Celui-ci réécrit complètement l'histoire en gardant sa trame de base, dans ce cas, la poupée tueuse. spoiler: Mais l'originalité c'est de remplacer la poupée posséder, et de mettre en avant les dangers de l'intelligence artificielle . Bon ce n'est pas le film de l'année, mais il réussit son pari, remettre le très "sympathique" Chucky dans l'air du temps, avec (par rapport à la version d'origine) plus de meurtres, qui sont plus gore comme dans les récentes suites de la célèbres poupée. Mais il est temps pour Chucky de raccrocher les couteaux et de prendre sa retraite.
Après avoir vu la bande annonce au moment de sa sortie je m’attendais à une totale catastrophe, et bien ce n’est pas le cas. L’avantage quand on s’attend à un raté c’est que l’on peut être agréablement surpris. Ce nouveau Child’s Play n’est pas vraiment un film réussi mais c’est plutôt un bon remake. Il ne se contente pas de faire un copier coller de l’ancienne version mais va explorer de nouvelles pistes. Je passerai rapidement sur le fait que Chucky soit aujourd’hui un jouet connecté pour qu’il fasse plus moderne, ce changement est même sous exploité de mon point de vue. Mais la modification la plus importante et la plus intéressante est dans la nature de la poupée qui n’est plus un Serial Killer dont l’âme a été transférée dans un jouet mais un simple dysfonctionnement, ici Chucky est une poupée qui veut juste jouer et faire plaisir à son propriétaire et qui va « écarter » tous ceux qui se dressent entre eux. L’idée est bonne et donne quelques passages intéressants car Chucky passe pour un enfant à qui on a pas donné de règles. Le film n’oublie pas d’être gore et drôle , la mort du beau père m’a personnellement beaucoup amusé. Après j’ai eu beaucoup de mal à me faire au design de Chucky fait en plus avec des CGi qui feront toujours moins d’effets, le film souffre de plusieurs incohérences trop grosses et de quelques Jump Scare grossiers. Mais l’esprit n’est pas trahi, je me suis moins amusé que dans un Chucky classique mais ça reste un assez bonne tentative.
Plutôt intéressant ce remake/reboot je m'attendais presque à un nanar du même niveau que les derniers films, mais il faut bien reconnaître qu il est un cran au-dessus. Déjà même si il suis dans les grandes lignes le scénario du 1er, il s'en démarque suffisamment pour avoir sa propre identité, au delà du bête remake, tout en le mettant au goût du jour. Le tous est correctement joué, l'humour est acceptable, et il dispose de quelques scènes sanglantes. On a déjà eu à faire à bien pire.
Un nouveau Chucky. Je redoutais le pire. Il faut bien avouer que plus les épisodes se succédaient, et plus on tombait dans le pathétique. Mais là, nous avons droit à une refonte totale de l'histoire. Tyler Burton Smith (le scénariste), s'est octroyé quelques libertés avec l'histoire originale, et il faut reconnaitre que le résultat est assez convainquant. Ainsi, fini du vilain criminel Charles Lee Ray qui, avec une incantation vaudou damballa, arrive à se réincarner dans un corps. Dans ce volet, Chucky est devenu une poupée hyper Hi-Tech : une Amazon Alexia sur pattes. L'idée est pas mal du tout, surtout que ça rajoute pleins de capacités à notre petit brave gars : il est motorisé, se déplace donc, et peux contrôler des appareils Bluetooth et wifi. Pour les personnages principaux, on se retrouve avec une petite bande d'ado, un peu à la manière de Stranger Things. Cela m'étonnerait pas d'ailleurs, que Lars Klevberg (le réalisateur) se soit un peu inspiré de cette série pour réaliser cet opus, tant certains aspects y font penser, sans pour autant y faire référence. Quoiqu'il en soit, c'est assez bien mener. Chucky est convaincant ainsi que tous ceux qui l'entourent. On en vient aux points moins valorisant : les scènes de meurtres. Le film est bien réalisé dans sa généralité, même les moments sanguinolents. Cependant, ça manque d'originalité, et on se retrouve un peu trop souvent, à regarder le sang qui gicle sur le mûr. Du coup, nous avons cette même frustration que celle de se retrouver à regarder une cheminée pendant une scène coquine... A la base, Chucky est vicieux et cruel. Pour le coup, il l'est moins, et c'est bien dommage. Un peu plus sadique et gore et j'aurais octroyé une demi étoile de plus. Enfin, sur la scène finale. Il y avait mieux à faire. Cette dernière commence très bien, et on s'attend à une orgie de sang, mais malheureusement, tout retombe comme un soufflé raté avec une conclusion attendue et plus que décevante. Loin d'être raté, Child's Play reste tout de même un bon petit film d'horreur, se situant bien au-dessus des derniers volets de la saga. Il parait qu'une série est annoncé sur Sy-Fy, j'ai assez hâte de voir le résultat. Histoire à suivre...
Grand fan de la saga ( du 1 jusqu'au 7) j'ai été agréablement surpris, ce remake de Chucky est plutôt bien adapté. Bien sûr il ne vaut pas les deux premiers film original mais garde le côté délirant et horrifique des des 4 derniers. L'acteur Gabriel Bateman qui joue Andy est un excellent jeune acteur.