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Max07
26 abonnés
62 critiques
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2,5
Publiée le 27 août 2024
Je trouve déjà que faire un remake de "child’s Play" était inutile. Mais je ne m’attendais pas à être autant déçu. Moderniser cet poupée culte de film d’horreur, dénaturais se qu’est Chucky. Il y avait du bon mais dans l’ensemble se n’était vraiment pas terrible. Les seul point positif était les jeu de rôle des acteurs de Andy et Karen. J’ai Trouver Chucky totalement ridicule parfois même le film était ridicule sur sa mis en scène. Bref, à éviter.. à moins que vous vouliez perde votre temps.
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12 478 critiques
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2,0
Publiée le 23 janvier 2024
Trente et un ans sèparent le "Child's Play" de Tom Holland à celui de Lars Klevberg! Entre-deux, six opus qui oscillent entre le bon et le moins bon! Alors que vaut ce "Child's Play" sorti en 2019 ? En fait on dirait que l'inspiration manque de partout dans ce huitième volet! Crèer de nouvelles idèes dans ce reboot est en effet de plus en plus difficile! Un nouvelle poupèe tueuse (Buddi et non Chucky) se paye pourtant à prix d'or avec à l'èpoque actuelle des capacitès technologiques d'une intelligence artificielle! Rèsultat les auteurs introduisent quelques chose de nouveau par rapport à la franchise horrifique, mais dènature considèrablement l'idèe de base! En fin de compte, dans "Child's Play", il n'est question que de meurtres inventifs et fort violents, à l'image de cette scie circulaire et de cette dècapitation avec une tondeuse à gazon! Et pourtant nous ne sommes pas dans un nouvel èpisode de Saw! Les acteurs dans tout ça ? Ni bon ni mauvais, le jeune Gabriel Bateman joue quand même très bien l'iconique Andy Barclay...
31 ans après l’original, retour et remake pour la poupée la plus connue du septième art, pas grand-chose à en attendre et au final un divertissement honnête et sans surprise sans plus un peu plus gore que la série originelle notamment le final plutôt explosif. Slasher typique qui ravira les aficionados du genre.
La saga culte Chucky (Child's Play, 1988) faisait frémir et rire les ados et adultes, incapables ensuite de ne pas jeter un œil inquiet à leur peluches (décoratives, qu'ils prétendent...) et s'est soldée par des suites plus ou moins bonnes qui ont fini par décevoir complètement les fans de la poupée possédée. On s'attendait assez peu à voir débarquer cette suite remaniée pour devenir plutôt un point de départ à une nouvelle saga. En effet, Child's Play : La Poupée du mal tient moins du remake (refaire à l'identique le premier opus de 1988) que du reboot (comprenez : vous allez manger encore plusieurs opus suivant celui-ci), et l'on n'est pas vraiment sûr que cela ne nous effraie pas davantage que la poupée, car cela veut dire que nous allons devoir subir ce design épouvantable qu'arbore cette nouvelle version. Affreuse, ignoble, ni faite ni à faire...les mots nous manque face à la première vision de la tête de "Buddi", on ne s'y fait pas. Le film en lui-même ne surprend guère par sa forme "klaxon à chaque endroit où il faut insérer le sursaut", et le simple fait de couper le son (ou mettre des bouchons Quies face à ces coups de trompettes sans vraie proposition d'idée effrayante) nous suffit à le confondre avec un film pour enfants. Il n'y a qu'à voir la scène où le jeune Andy apprend à sourire à la poupée, ce burlesque n'a pas vraiment sa place dans ce genre de film, et pourtant cela dure pour tenter d'arracher un rire au forceps à son spectateur. Ajoutons à cela un scénario sans surprise (la poupée qui protège son enfant, même de lui-même...), un casting bon marché (casting oubliable) et une fin clichée qu'on sait déjà être celle des futurs opus de cette saga... Seuls les doublages français sauvent la mise (on sourit toujours quand on entend les tonalités de Laurent Morteau) et les scènes de gore sont dignes - pour une fois - d'un bon nanar qui amuse. Ces macabres scènes qui combinent le ridicule au gore sont certainement les plus intéressantes dans ce reboot. Mais il en faudra plus pour nous faire oublier ce qui nous a vraiment traumatisé : le nouveau design de Chucky...
Petit film d'horreur sur l'univers de chucky. Pas spécialement fan de la série, j'ai trouvé le film sympa mais en manque de suspens. A réserver au fana de la poupée !
Je pense qu'il est temps de tourner la page des Chucky. Toutes les suites et remakes manquent clairement de nouveauté et ne parviennent pas à se réinventer. Ce "Child's Play" de 2019 tente de prendre un nouveau chemin avec l'essor des robots et de l'intelligence artificielle. Malheureusement, toutes ces bonnes intentions ne permettent pas au film de sortir du lot ; tout devient bien trop banal. La scène finale est plutôt convaincante malgré tout mais il y en a marre des clichés à répétition... le fait que le personnage principal soit pris pour un fou de croire que Chucky commet tous ces meurtres jusqu'à la dernière minute est assez insupportable. L'avantage d'un remake c'est de pouvoir suivre la trame principale du premier film tout en prenant des libertés scénaristiques. Ici, ils ne l'ont pas fait, excepté pour cette dimension IA qui remplace la poupée possédée par Charles Lee Ray dans le premier opus. Chucky est à présent bel et bien mort (et ce même si ses yeux se rallument à la fin).
Voilà un reboot qui semblait vachement mal embarqué et suscitait en quelques minutes une forme d’incrédulité hostile alors que la franchise originale, après des années de vol en freestyle, avait effectué un retour honorable sous la houlette de Don Mancini depuis quelques années, avec deux films modestes mais qui sentaient bon l’artisanat à l’ancienne. Une fois qu’on a fait abstraction de certaines éléments problématiques, tout n’est pourtant pas à jeter dans ce remake de l’épisode fondateur, même s’il n’a plus grand chose à voir avec ce que ‘Child’s play’ était à l’origine. Premier élément qui jure, la poupée : on ne sait pas si elle est en numérique ou en animatronique mais elle est moche : juste moche, pas moche et dérangeante comme pouvait l’être le Chucky originel. Second point d’achoppement, le récit a été expurgé de tout élément fantastique. Exit donc, l’esprit de Charles Lee Ray car Chucky est aujourd’hui une poupée connectée dont l’I.A. s’est. détraquée, avec un mécanisme d’imprégnation vis-à-vis de son propriétaire qui a viré à l’exclusivité meurtrière. Si le scénario emploie astucieusement des thématiques d’actualité (Internet des objets, emprise des méga-sociétés de type Amazon), ne rechigne pas à un certain humour indirect et surfe sans complexe sur la mode Amblinienne des teenagers qui s’unissent contre le danger (‘Stranger things’, ‘Ca’, etc…), il faut quand même admettre que l’ensemble fonctionne nettement moins bien qu’à l’époque (ce qui, avec trente ans de plus de films d’horreur au compteur, n’a rien d’étonnant). Le résultat n’est pas catastrophique, au regard des hordes de remakes et reboots totalement foireux qui existent mais si vous souhaitez profiter un peu de ce qui ressemble à une sorte de croisement bâtard entre des ‘Goonies’ urbains et un ‘Small soldiers’ de l’ère numérique, autant faire une croix directement sur tout effet horrifique escompté par la vision de ce nouveau ‘Child’s play’.
Ce huitième film de la licence Chucky et remake du premier du nom n'a rien d'effrayant. Le réalisateur a essayé d'avoir son Chucky à lui tout en gardant l'esprit du personnage. Mais le scénario pose problème quand on voit comment là poupée maléfique nait, c'est limite incompréhensible. Les personnages sont presque la même panoplie, l'enfant, la mère, le policier, la voisine. Une petite nouveauté : les amis de Andy, j'ai bien aimé celle là. Néanmoins ce film reste peut attrayant dans l'ensemble.
Un film pour un public de jeunes adolescents! Bien loin de l'épouvante que procurait le premier du nom, celui-ci est "remaké" à la sauce 2019, ce qui peut être une bonne idée, mais ici, plus le film avance, plus on trouve des incohérences. Les acteurs sont correctes, quelques scènes gores mais sans plus, de l'épouvante? Pas vraiment. Des scènes très clichées, un manque d'explication, aucune subtilité malgré une mise en scène plutôt satisfaite.
Moyen pour la reprise de chucky. Un jeu d acteurs minable mais le scenario est sympa et quelques scenes bien saignantes font remonter la moyenne, mais sinon, aucune frayeur, aucun suspens....un petit thriller parmi tous les autres sui finiront aux oubliettes.
Tous les amateurs de films d’horreur connaissent Chucky, une poupée maléfique et parlante initiée au cinéma à la fin des années 80 et qui connaîtra de nombreuses suites. “Child’s Play : La Poupée du Mal” est une sorte de reboot. Une mère offre à un fils une poupée dotée d’une intelligence artificielle et visant à améliorer le quotidien des enfants. Le modèle offert était défaillant et le Chucky qui nous intéresse ne connaît aucune limite entre le bien et le mal. Loin de faire peur, cette version 2.0 est un nanar non déplaisant à partir du moment où le regarde avec un second degré. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
"Child's play" est un film d'horreur conventionnel qui reprend les codes habituels de cette franchise. Suite éloignée du premier "Jeu d'enfant" qui avait beaucoup marqué en son temps, il n'apporte cependant rien de nouveau. Point positif, l'acteur jouant le rôle principal de l'enfant est parfaitement crédible car son jeu est à la hauteur et il en est de même pour sa mère. Le clin d’œil aux enceintes intelligentes est également à noter et on passe un bon moment.
A noter la voix de Mark Hamill dans la version américaine de la poupée. A réserver spécialement à ceux qui ne connaissent pas ou aux nostalgiques de cette série si ils ne sont pas essoufflés par sa durée. On passe du bon temps mais il ne faut pas en attendre plus ...
Heu très surprise....rien a voir avec la 1ere version ...la c'est la technologie...et non la possession qui habite la poupée...bref un peu déçue mais ça se regarde... quelques scènes gore certes...mais pas bidon non plus. Chucky est plutôt flippant. Film moyen.