Du classique mais réussi. Par contre, perso j'ai trouvé que le malaise face à la poupée n'était pas si grand que ça mais sans réussir à déterminer si c'était vraiment le but du réalisateur, le film mettant plutôt l'accent sur les événements. Mais tout ceci reste bien distrayant et pas si prévisible. Ah, et on a un gros bonus: Mark Hamill au doublage de Chucky!
Un remake de Chucky qui nous ferait presque oublié l'original. L'histoire remise au gout du jour est plutôt correcte. Après ça reste basé sur Chucky mais c'est bien réussi.
Ce Chucky sauce numérique est assez plaisant. Bien réalisé, avec de bonnes séquences gore, hélas beaucoup trop rares. Manque la nana sexy de service (Jennifer Tilly par exemple) et un zeste de folie.
Finalement pas si mal du tout ! j'y croyais pas plus que ça et ce film se révèle être un très bon divertissement . J'ai un vague souvenir du film original et donc pas vraiment de comparaison mais encore une fois quand on décide de voir ce genre de film il y a des passages obligés et là tous sont respectés . Un bon moment .
Ce remake de Chucky premier du nom est sorti dans une certaine indifférence. Pourtant ce reboot est très malin car tout en reprenant l'ambiance 80's de l'original il épouse notre époque, sa frénésie technologique et ses questionnements avec une grande habileté. Aussi bien très drôle et très glauque par moment, de plus le gamin est très bien incarné. Sa relation avec la poupée est très intéressante tant du côté de l'ambigüité que des sentiments.
Buddi ressemble à M3gan ou bien le contraire. Très bon film d'horreur, même si il y a un peu d'exagération à la fin de Buddi. Il ne s'agit que d'un film, mais un jour ou l'autre l'IA va nous jouer un sale tour. Il n'y a guère de temps morts et le scénario est bon, même si classique pour ce genre de film.
Avec les récents succès des films d'horreur Blumhouse, Ghost house, Twisted et autres maisons et de la poupée Annabelle, elle aussi une poupée du mal, il fallait bien qu'ils ressortent Chucky, aussi sous titré poupée du mal. Joli pied de nez aussi à Toy Story 4 sorti en même temps. Je dois avouer que j'y allais avec peu d'attente mais le reboot ou remake est vraiment réussi. L'idée de base est complètement changée et dans l'aire du numérique avec les jouets et la domotique connectée, autant ne pas se gêner. Le film est gore , drôle, la poupée flippante car trop bizarre (pas dans le style Annabelle) et c'est sympa.
Je suis un fan de la première heure et me voilà agréablement choqué. En effet ce film offre une vision des plus moderne et moins ésotérique que la version d origine. Je dis bravo. Chucky offre une vision bien précise de l'intelligence artificielle et faire attention quand on souhaite quelque chose.
L'idée de départ est plutôt intéressante à défaut d'être originzle, dans l'esprit d'un épisode de Black mirror, où la technologie et l'hyper connectivité se retournerait contre ses utilisateurs. Mais en choisissant de rendre réel le monstre d'origine qui était surréaliste, poupée possédée par un tueur, le film se heurte à un gros soucis de crédibilité, ne réussissant jamais à faire passer la pillule d'un jouet aussi sophistiqué. Ajoutez à cela un réalisateur qui essaye de faire un épisode de série télé au lieu d'un film d'horreur, et on se retrouve avec le reboot habituel des films des années 80, qui ne réussit jamais à imposer un style ni une ambiance convenable. D'autant plus dommage qu'il y a des nombreuses bonnes idées et des personnages attachants (mention spéciale au jeune acteur qui n'est pas sans rappeler le jeune Elliott de E. T et apporte beaucoup au film).
Très sympa ! J'ai trouvé dans ce remake que l'histoire était crédible et intéressante à suivre, puis heureusement qu'on comprends pourquoi Chucky réagi de façon violente. Il me semble que dans les chucky précédant que personne n'avait compris pourquoi ce jouet était une poupée tueuse. Dans ce remake on comprends, on comprends également pourquoi la note est meilleure. Les acteurs sont plutôt bons surtout le jeune Andy qui m'a assez surpris.
Voilà un reboot qui semblait vachement mal embarqué et suscitait en quelques minutes une forme d’incrédulité hostile alors que la franchise originale, après des années de vol en freestyle, avait effectué un retour honorable sous la houlette de Don Mancini depuis quelques années, avec deux films modestes mais qui sentaient bon l’artisanat à l’ancienne. Une fois qu’on a fait abstraction de certaines éléments problématiques, tout n’est pourtant pas à jeter dans ce remake de l’épisode fondateur, même s’il n’a plus grand chose à voir avec ce que ‘Child’s play’ était à l’origine. Premier élément qui jure, la poupée : on ne sait pas si elle est en numérique ou en animatronique mais elle est moche : juste moche, pas moche et dérangeante comme pouvait l’être le Chucky originel. Second point d’achoppement, le récit a été expurgé de tout élément fantastique. Exit donc, l’esprit de Charles Lee Ray car Chucky est aujourd’hui une poupée connectée dont l’I.A. s’est. détraquée, avec un mécanisme d’imprégnation vis-à-vis de son propriétaire qui a viré à l’exclusivité meurtrière. Si le scénario emploie astucieusement des thématiques d’actualité (Internet des objets, emprise des méga-sociétés de type Amazon), ne rechigne pas à un certain humour indirect et surfe sans complexe sur la mode Amblinienne des teenagers qui s’unissent contre le danger (‘Stranger things’, ‘Ca’, etc…), il faut quand même admettre que l’ensemble fonctionne nettement moins bien qu’à l’époque (ce qui, avec trente ans de plus de films d’horreur au compteur, n’a rien d’étonnant). Le résultat n’est pas catastrophique, au regard des hordes de remakes et reboots totalement foireux qui existent mais si vous souhaitez profiter un peu de ce qui ressemble à une sorte de croisement bâtard entre des ‘Goonies’ urbains et un ‘Small soldiers’ de l’ère numérique, autant faire une croix directement sur tout effet horrifique escompté par la vision de ce nouveau ‘Child’s play’.
Après les excellents remakes de "Vendredi 13" et "Massacre à la tronçonneuse", c'est une nouvelle saga qui se refais une jeunesse (en oubliant volontairement les plus récents qui sont à oublier facilement). Premier point fort de ce remake, son intrigue qui nous plonge droit spoiler: dans notre époque ou objets connecter et high tech sont notre désormais quotidien, ou presque. Puis l'humour très bien penser de l'ensemble du casting principalement le jeune Andy et sa mère. Étrangement, ce Andy m'à réellement rappeler celui de la saga "Toy Story", ironiquement, le 4 est sorti en même temps. spoiler: Autre point fort, les scènes ne tardent pas à venir, le montage est hyper dynamique, les acteurs ne nous ennuies pas une seconde et la musique est canon. Puis Chucky viens au monde et se met bien sûr dans sa tendre boucherie. A noté que son design n'à plus rien à voir ni avec le tout premier, ni avec le tout dernier (aucune cicatrices sur le visage). Un look 100% poupée ou son aspect criminel spoiler: n'est plus du tout provoqué par la face elle-même, mais par ses yeux changeant de couleur. Les nouvelles technologies sont donc au centre de ce film et nous rappel l'énormité de ces trucs qui n'ont franchement aucun intérêt. Une énormité principalement utilisée par des enfants, encore pire, ces derniers en redemande à leur parents et hop, spoiler: le joujou se connecte à tous ce qui lui passe sous le nez. Autant vous dire que je voyais venir à 4 km la manière dont cette version allait tuer ses proies. Puis le final avec spoiler: l'arrivée de la prochaine version tournant au carnage avec Chucky se connectant à tous et donnant vie à ses confrères pour plus de casse. Un moment génial. L'affrontement final par contre entre nos 3 principaux personnages fut trop cour à mon goût, mais le contenu était là. Une qualité visuelle hyper bien, des acteurs canon, une tension très bonne, une nouvelle poupée géniale ayant ses dialogues bien savoureux. Un film anti-connexion, rappelant la comédie "A fond", un moment génial.
Un très bon remake de chucky , bien réalisé, poupée 2.0 qui sème le chaos et la terreur au petit Andy et tous ses proches . Un brin comique mais pas trop ce qui n'est pas déplaisant . A la hauteur de mes Attentes .