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2,0
Publiée le 23 janvier 2024
Trente et un ans sèparent le "Child's Play" de Tom Holland à celui de Lars Klevberg! Entre-deux, six opus qui oscillent entre le bon et le moins bon! Alors que vaut ce "Child's Play" sorti en 2019 ? En fait on dirait que l'inspiration manque de partout dans ce huitième volet! Crèer de nouvelles idèes dans ce reboot est en effet de plus en plus difficile! Un nouvelle poupèe tueuse (Buddi et non Chucky) se paye pourtant à prix d'or avec à l'èpoque actuelle des capacitès technologiques d'une intelligence artificielle! Rèsultat les auteurs introduisent quelques chose de nouveau par rapport à la franchise horrifique, mais dènature considèrablement l'idèe de base! En fin de compte, dans "Child's Play", il n'est question que de meurtres inventifs et fort violents, à l'image de cette scie circulaire et de cette dècapitation avec une tondeuse à gazon! Et pourtant nous ne sommes pas dans un nouvel èpisode de Saw! Les acteurs dans tout ça ? Ni bon ni mauvais, le jeune Gabriel Bateman joue quand même très bien l'iconique Andy Barclay...
Pffffff... Un autre Chucky qui tente à la fois de se détacher de son héritage, parfois lourd, et en même temps de le suivre... Le cul entre deux chaises quoi. Les nouvelles technologies sont utilisées pour massacrer encore plus d'innocents, les effets gores sont nombreux, la volonté de faire bien est palpable mais ça ne passe pas. On quitte souvent l'écran des yeux pour regarder sa montre ou éviter de croiser le design atroce de ce nouveau "Chucky". Plus d'incarnation, juste une bidouille sur la carte mère... Un peu léger pour vraiment faire frissonner. Très bof
repartant de la saga et donc du 1er opus. j' avais quelques au niveau de la poupée, qui finalement en même temps que le film avance, on s y habitué et l ensemble reste dans l' esprit de base mais mis au goût du jour. notamment pour la technologie... c était un pari osé de partir là dessus mais au bout du compte cela s emboite proprement et garde un rythme constant avec son lot de mort assez sympathique et sanglant. même si on peut regretter que certains soient parfois un peu trop vite hors champs ou alors fait avec un fond trop sombre. mais pour le reste, on entre facilement dans le film et on passe un moment au une ambiance... règne en arrière-plan. toutefois certaines mises a mort font penser ou alors un petit clin d œil qui m'aiderait entre guillemets avec Saw et destination final. bref un début pour le retour de la saga, en espérant que les suites si elles se font, soit a la hauteur. bonne surprise, quelques jumpscares mais loin d être dans l excès ou la surenchère. bonne surprise au final!
Pas de réelle plus-value scénaristique en faisant de Chucky une poupée sous intelligence artificielle piratée, d’ailleurs ce n’est pas très clair, on ne comprend pas trop les motivations de départ, et pas plus de réponses à la fin; cependant ce remake réussit à saisir l’essence d’une série B horrifique de qualité, juste ce qu’il faut de gore, d’ironie, de développement des personnages, avec un rythme plaisant et quelques moments de tension qui fonctionnent. La dernière partie manque par contre son apothéose malgré ses idées du tout-connecté, sans nécessairement chercher le carnage disons que tout cela reste trop sage, pour ne pas dire attendu, pourtant la température était prise, mais encore une fois je me demande si le réalisateur n’a pas tout simplement voulu rendre hommage au matériau de base, avec ses clichés et invraisemblances, tout en opérant ce petit détournement ancré dans son époque, et donc sans grandiloquence indigeste typique des nouvelles licences du genre. M’attendant au navet je suis agréablement surpris, même si au fil du film je me suis fait la remarque qu’il y avait sans doute encore mieux à faire pour rendre une copie rafraîchissante et ultra divertissante, mais c’est déjà pas mal.
Un slasher à l'ancienne, mais une relecture qui égratigne au passage notre société du tout numérique et qui s'avère intelligente et fun sans forcément être des plus effrayantes. L'original m'avait terrorisé gamin (mais je n'en ai plus qu'un souvenir furtif), celui-ci m'a beaucoup amusé.
Scénario machiavélique mais qui reste tout de même "gentillet" et plutôt prévisible. Dans l'ensemble j'ai trouvé ce film bon, le casting et la mise en scène sont efficaces, et c'est divertissant de bout en bout !
Ce remake du premier chucky n'arrive pas à égalité l'original , surtour pour celui l'ayant connu à l'époque. La poupée est moins bien réussi graphiquement que celle du film de 1989. Le point fort de cette nouvelle version est que le réalisateur à su s'adapter à l'évolution technique actuelle pour moderniser la poupée. Un remake plaisant mais dispensable.
Reboot de Jeu D'Enfant, premier film ayant lancé la franchise, Child's Play : La Poupée Du Mal, réalisé par Lars Klevberg, est un pari risqué mais plutôt réussi. L'histoire nous fait suivre une multinationale venant de relancer la production de Buddi, une poupée de haute technologie, qui devient rapidement un succès auprès des enfants du monde entier. Dans une usine de montage au Vietnam, un employé est blâmé, puis licencié par son supérieur hiérarchique. En représailles, l'homme manipule en secret la poupée qu'il assemble en désactivant toutes ses fonctions de sécurité avant de se suicider. Emballée, la poupée est expédiée à l'international. C'est à Chicago qu'elle va se retrouver. En effet, Karen offre sans le savoir à son adolescent malentendant Andy, le cadeau empoisonné. Ce scénario est plaisant à suivre tout du long de sa durée d'une heure et demie. On assiste à une intrigue offrant une nouvelle vision modernisée de Chucky, délaissant totalement le tueur Charles Lee Ray et sa volonté de possession. Le récit joue avec son époque en évoquant une poupée défaillante, ultra connectée. L'ambiance horrifique est bien présente de bout en bout et les scènes nous gratifient de morts brutales. Ce sombre récit est porté par des personnages appréciables, interprétés par une distribution convaincante comportant Gabriel Bateman, Aubrey Plaza, Tim Matheson, David Lewis ou encore Brian Tyree Henry. Seul regret au niveau des protagonistes, que l'handicap du jeune garçon ne soit pas exploité. Mais la véritable tête d'affiche est évidemment le meilleur ami pour la vie. D'autant plus que son comportement ambivalent le rendant parfois sympathique grâce à sa loyauté fait de lui un jouet plus nuancé. Les relations entretenues par tous ces individus sont réussies, notamment à la faveur de dialogues de bonne facture. Buddi est lui toujours aussi caustique et amusant lorsqu'il ouvre la bouche. Sur la forme, la réalisation de Lars Klevberg s'avère de qualité. Sa mise en scène évolue dans des environnements variés ayant un certain cachet. D'autant plus que la photographie soignée offre quelques plans marquants, notamment grâce aux éclairages. L'aspect de la poupée rousse est elle plus contestable. En effet, son allure n'est pas vraiment inspirée et il faut un certain temps pour s'habituer à son nouveau visage. Cet agréable visuel est accompagné par une b.o. très présente signée Bear McCreary. Ses compositions inquiétantes renforcent grandement l'atmosphère. De plus, la franchise parvient enfin à avoir un thème mémorable avec une chanson restant en tête. Cette nouvelle itération s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Child's Play : La Poupée Du Mal, qui, en conclusion, permet de donner un souffle nouveau à la licence qui en avait grandement besoin, en produisant un long-métrage respectant l'esprit de la saga, tout en le transposant dans son époque actuelle.
31 ans après l’original, retour et remake pour la poupée la plus connue du septième art, pas grand-chose à en attendre et au final un divertissement honnête et sans surprise sans plus un peu plus gore que la série originelle notamment le final plutôt explosif. Slasher typique qui ravira les aficionados du genre.
Ce film est un bon remake, ce n'est pas un remake plan par plan comme celui de "Psychose" qui n'as donc aucun style d'intérêt, ou un remake pas mauvais, mais maladroit comme "La malédiction". Celui-ci réécrit complètement l'histoire en gardant sa trame de base, dans ce cas, la poupée tueuse. spoiler: Mais l'originalité c'est de remplacer la poupée posséder, et de mettre en avant les dangers de l'intelligence artificielle . Bon ce n'est pas le film de l'année, mais il réussit son pari, remettre le très "sympathique" Chucky dans l'air du temps, avec (par rapport à la version d'origine) plus de meurtres, qui sont plus gore comme dans les récentes suites de la célèbres poupée. Mais il est temps pour Chucky de raccrocher les couteaux et de prendre sa retraite.
Tous les amateurs de films d’horreur connaissent Chucky, une poupée maléfique et parlante initiée au cinéma à la fin des années 80 et qui connaîtra de nombreuses suites. “Child’s Play : La Poupée du Mal” est une sorte de reboot. Une mère offre à un fils une poupée dotée d’une intelligence artificielle et visant à améliorer le quotidien des enfants. Le modèle offert était défaillant et le Chucky qui nous intéresse ne connaît aucune limite entre le bien et le mal. Loin de faire peur, cette version 2.0 est un nanar non déplaisant à partir du moment où le regarde avec un second degré. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Après avoir vu la bande annonce au moment de sa sortie je m’attendais à une totale catastrophe, et bien ce n’est pas le cas. L’avantage quand on s’attend à un raté c’est que l’on peut être agréablement surpris. Ce nouveau Child’s Play n’est pas vraiment un film réussi mais c’est plutôt un bon remake. Il ne se contente pas de faire un copier coller de l’ancienne version mais va explorer de nouvelles pistes. Je passerai rapidement sur le fait que Chucky soit aujourd’hui un jouet connecté pour qu’il fasse plus moderne, ce changement est même sous exploité de mon point de vue. Mais la modification la plus importante et la plus intéressante est dans la nature de la poupée qui n’est plus un Serial Killer dont l’âme a été transférée dans un jouet mais un simple dysfonctionnement, ici Chucky est une poupée qui veut juste jouer et faire plaisir à son propriétaire et qui va « écarter » tous ceux qui se dressent entre eux. L’idée est bonne et donne quelques passages intéressants car Chucky passe pour un enfant à qui on a pas donné de règles. Le film n’oublie pas d’être gore et drôle , la mort du beau père m’a personnellement beaucoup amusé. Après j’ai eu beaucoup de mal à me faire au design de Chucky fait en plus avec des CGi qui feront toujours moins d’effets, le film souffre de plusieurs incohérences trop grosses et de quelques Jump Scare grossiers. Mais l’esprit n’est pas trahi, je me suis moins amusé que dans un Chucky classique mais ça reste un assez bonne tentative.
La saga culte Chucky (Child's Play, 1988) faisait frémir et rire les ados et adultes, incapables ensuite de ne pas jeter un œil inquiet à leur peluches (décoratives, qu'ils prétendent...) et s'est soldée par des suites plus ou moins bonnes qui ont fini par décevoir complètement les fans de la poupée possédée. On s'attendait assez peu à voir débarquer cette suite remaniée pour devenir plutôt un point de départ à une nouvelle saga. En effet, Child's Play : La Poupée du mal tient moins du remake (refaire à l'identique le premier opus de 1988) que du reboot (comprenez : vous allez manger encore plusieurs opus suivant celui-ci), et l'on n'est pas vraiment sûr que cela ne nous effraie pas davantage que la poupée, car cela veut dire que nous allons devoir subir ce design épouvantable qu'arbore cette nouvelle version. Affreuse, ignoble, ni faite ni à faire...les mots nous manque face à la première vision de la tête de "Buddi", on ne s'y fait pas. Le film en lui-même ne surprend guère par sa forme "klaxon à chaque endroit où il faut insérer le sursaut", et le simple fait de couper le son (ou mettre des bouchons Quies face à ces coups de trompettes sans vraie proposition d'idée effrayante) nous suffit à le confondre avec un film pour enfants. Il n'y a qu'à voir la scène où le jeune Andy apprend à sourire à la poupée, ce burlesque n'a pas vraiment sa place dans ce genre de film, et pourtant cela dure pour tenter d'arracher un rire au forceps à son spectateur. Ajoutons à cela un scénario sans surprise (la poupée qui protège son enfant, même de lui-même...), un casting bon marché (casting oubliable) et une fin clichée qu'on sait déjà être celle des futurs opus de cette saga... Seuls les doublages français sauvent la mise (on sourit toujours quand on entend les tonalités de Laurent Morteau) et les scènes de gore sont dignes - pour une fois - d'un bon nanar qui amuse. Ces macabres scènes qui combinent le ridicule au gore sont certainement les plus intéressantes dans ce reboot. Mais il en faudra plus pour nous faire oublier ce qui nous a vraiment traumatisé : le nouveau design de Chucky...