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titicaca120
390 abonnés
2 179 critiques
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3,0
Publiée le 24 juin 2019
un film d'horreur épouvante bien huilé avec tous les mécanismes de ce genre de film. la gentille poupée va devenir tout doucement de plus en plus méchante. un scénario pas trop original mais on ne s'ennuie pas une seconde.
Contrairement à ce que l'on pouvait imaginer, cette relecture du mythe de la célèbre poupée du mal est une réussite. Cette mise à jour de Chucky offre aux fans un retour aux sources satisfaisant. Le cahier des charges est rempli et le film se révèle assez rythmé et distrayant. Le réalisateur parvient à renouer avec l'esprit originel des premiers épisodes tout en le modernisant. Tous les ingrédients sont réunis pour un slasher réussi. Il y a un savoureux mélange de gore et d'humour noir. C'est un remake qui vaut la peine d'être vu.
J'ai été agréablement surpris tout le long du film. L'ayant VU une deuxième fois (canicule), il m'a vraiment convaincu il y a de quoi s'éclater devant ce film. Le final dans le supermarché est très bien réalisé. Poupée délicieusement flippante, la voix aussi. Le jeune acteur Andy & sa très jolie maman jouent très bien. You are my..... En comparaison (de poupée) bien mieux que Annabelle1 !!
Excellent surprise que ce reboot modernisé de Chucky ! Meme si la nouvelle poupée n'est pas aussi trash et charismatique que celle d'origine, le film tient la route sur ses passages gore et humour noir. Mais bon, j'espère que le vrai Chucky nous reviendra en série télé comme promis
Version 2.0 d’une franchise horrifique bien connue et arrivée à bout de souffle, Child’s Play surprend en bien. La poupée maléfique en 2019 devient connectée, est fabriquée par un équivalent d’Amazon, est vendue chez un cousin de Wallmart, les voitures autonomes sont en roue libre, les drones attaquent les carotides et un Jeff Bezos avec des cheveux veut changer notre monde tout en remplissant son compte en banque. Pas très horrifique, les scènes les plus gores sont celles d’une rediffusion de « Massacre à La Tronçonneuse » sur la télé du héros, mais avec un deuxième niveau de lecture tout à fait jubilatoire et étonnant. Une bonne surprise.
Je m’attendais à ça. J’ai trouvé les 3/4 dû films plutôt cool. Mais bon là bande de gosses de 14 ans c’était un peu lourd au bout d’un moment et du coup c’est plus un film "d’horreur " ( Oui par ce que c’était plus une comédie pour moi ) pour jeunes ados quoi ..
Alors de une la poupée est complètement ridicule comparé aux années 80, de deux la poupée connectée au reste de la maison complètement ridicule aussi, ceux qui vont aimer ce genre de film doux (Chucky) on jamais vu les précédents, film totalement raté il faut absolument stopper ce genre de remake ou de suite ça ne sert strictement à rien comparé aux autres années précédentes [années (80-90)], après pour le reste du film dans l'ensemble quelques scènes comiques qui passe dans l'ensemble, les scènes d'horreur sont aussi pas mal mais après ça ne vaut pas du tout les anciens Chucky vive les années 80-90 pour ceux genre de film.
Film sympa les personnes qui notent sans avoir vu le film ... vous êtes navrant, vraiment ... on peut ne pas aimer mais au moins ne vous contentez pas d une modélisation de poupée pour faire votre jugement
Pendant près d’une heure, le spectateur se dit qu’il a sous les yeux l’un des remakes horrifiques les plus audacieux et ambitieux vus depuis longtemps, le film entretenant de façon quasi parfaite une tension à la fois angoissante et burlesque. Puis tout s’effondre. La parcimonie des effets cède la place au grand-guignolesque des plus déplorables : la clausule s’apparente à une séquence de torture porn vraiment malvenue où nous pouvons voir une mère meurtrie et ligotée, en pleine agonie, et son fils qui contribue, pour un temps, à la pendre. Là, nous ne rions plus. Et toute la construction mi comique mi horrifique jusqu’alors en règle disparaît, ne laissant en lieu et place qu’un empilement de scènes mal coordonnées et trop courtes. Child's Play : La Poupée du mal est une œuvre avortée, au potentiel évacué par facilité ou par nécessité technique ; nous ressentons les coupes effectuées pour réduire le film à une heure et demie, nous nous heurtons aux scènes ainsi accolées les unes aux autres, sans que le crescendo horrifique ne dispose de suffisamment d’espace et de temps pour se développer. Quoi qu’il en soit, c’est frustré que ressort le spectateur, conscient du vrai propos de fonds qui animait l’œuvre dans sa première partie : insérer une poupée déréglée dans un foyer lui aussi déréglé était une idée ô combien intelligente, idée augmentée par une dénonciation en creux des conditions de travail dans les usines étrangères en charge de réaliser les productions américaines. Car c’est toute une société qui se trouve malade, rongée par la violence endémique : la poupée n’est que le réceptacle de cette culture de la violence, et tend à devenir le bras armé d’un retour à la justice par le prisme des codes en vigueur. Ce discours, absent du Chucky originel, bénéficie en outre d’un parti pris esthétique qui donne naissance à des plans superbement composés. Le souci réside dans l’incapacité du film à repousser la fascination pour la violence qu’il dénonce ici, puisqu’il s’engouffre, en guise de clausule, dans les pires facilités du genre. Le massacre dans le magasin de jouets devait donner lieu à la grande scène cathartique et burlesque ; or, quelques petites minutes suffisent à la traiter… Child's Play se précipite et perd en subtilité ce qu’il gagne en bêtise. Reste une première heure superbe, à l’atmosphère renforcée par la géniale composition musicale de Bear McCreary qui mobilise bon nombre d’instruments aux sonorités étranges évoquant l’enfance (xylophones, accordéons, chœurs et bien d’autres).
Une bonne surprise ce Chuky au vu des attendus. J’ai beaucoup aimé la première partie du film avec une vrai réflexion sur notre société connectée d’aujourd’hui.la seconde est plus classique pour un film d’horreur. Globalement j’ai passé un moment sympa et le nouveau design de la poupée passe bien au final.
Tandis qu’Annabelle, l’équivalent grotesque de Chucky, pollue nos écrans depuis quelques années, il était temps que le seul et unique Chucky revienne à son tour au cinéma. Cet opus est loin de valoir le chef d’œuvre de la série, « La fiancée de Chuky », qui, grâce à la talentueuse actrice Jennifer Tilly, restera pour toujours inégalable, mais il se place quand même parmi les meilleurs et les mieux inspirés de cette franchise.
C'est franchement bof, agréable à suivre mais bof. Y a de vrais bonnes idées (Chucky qui contrôle les objets connectés), d'autres bcp moins. Je n'ai pas aimé le look du Chucky botoxé. Le scénario est un peu téléphoné, avec toujours la même bande d'enfants, la mère divorcée, le gentil voisin flic, etc... Ce qui m'a le plus déçu c'est que ce Chucky est une simple poupée qu'un ouvrier asiatique énervée décide de rendre violente en enlevant tous les pare-feux: j'ai trouvé la scène d'introduction particulièrement stupide et ratée par rapport au 1er des Chucky (le meilleur à ce jour). Chucky c'est un tueur en série dans le corps d'une poupée par un simple réglage. Un film oubliable.
Ce reboot de la franchise, qui avait la bonne idée de revisiter le mythe à l'aune de l'ère des I.A. et des gadjets connectés, alligne finalement tous les clichés, poncifs et grosses ficelles du genre, sans talent. C'est caricatural, téléphoné, déjà-vu, ridicule... On sourit devant un tel nanar pour teenagers, tellement le film manque de personnalité. Très, très dispensable.
j'ai été le voir par curiosité même si j'en attendais pas tant. un très bon début mais par la suite j'ai moins aimé même si il y a des moments assez bien car j'ai trouvé des passages quelconques sans plus et finale décevante pour ma part. par contre. ce que j'ai apprécié c'est la poupée qui devient de plus en plus méchante. voilà, il restera pas gravé en ma mémoire.