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    Hors Normes
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    on pourrait dire "ils ont exagérés"......à peine. Vincent Cassel énorme. le tempo du film, les problématiques évoquées, tout m'a plu.
    Sacha t
    Sacha t

    1 abonné 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    Beau film français qui mérite son succès (explose au box office français). Vincent Cassel était surprenant. Le film montre plusieurs causes sociales qui aujourd'hui est compliqué à résoudre proprement (handicap, jeunes sans familles...). Et le film nous montre qu'il est capable de trouver toutes les solutions pour que chacune des personnes sur Terre aient un mode de vie correcte et vivable. Bravo pour ce film qui était surprenant 👍. Après ça manque un peu de détails, le réalisateur aurait pu trouvé plus de failles et de sujets à étaler dans le film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    De très bons acteurs. De bons ingrédients pour faire un succès populaire...
    Mais le message qui reste est très inquiétant
    Parce que les pouvoirs publics sont défaillants peut-on confier des personnes fragilisées à des gens généreux mais instables, totalement désorganisés et inadaptés ?
    La prise en charge des autistes et des schizophrènes ne mérite t elle pas plus de sérieux et notamment en termes de formation et de supervision ?
    Les inspecteurs sont méprisés pourtant leurs contrôles sont essentiels.
    L'actualité montre que les risques de dérives sont bien réels.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Le problème avec la notation c'est que si ce film obtient 4,5 il faudrait mettre 12 à Parasites, à un Prophète, à Shining... et 8 au Traitre que j'ai vu deux jours plus tôt.
    Ici le scénario est valable pour un film de 40 minutes mais pas plus, le reste du temps les réalisateurs espèrent que le spectateur est un poisson rouge qui aura oublié après un tour de bocal la scène identique qu'il a vu avant. Deux poursuites d'enfants perdus, deux rendez vous galants, deux récupérations de Joseph à la RATP, deux disputes avec Dylan et au final un ballet que l'on peut qualifier de remplissage. C'est long 90 minutes quand on a juste une ou deux bonnes idées et qu'on veut tout faire, pas de scénario = pas de film.
    C'est un bon petit film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Touchant, drôle et profond. On en ressort inspiré de faire du bien autour de soi et avec plus de bienveillance. Emmenez-y vos ados qui ont tendance à juger et critiquer les autres!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Je me suis profondément ennuyé à la vue de ce film.
    Le scénario dégouline de bons sentiments, à la limite du moralisme.
    Cassel et Kateb sont des acteurs formidables mais ici sans profondeur ni ambiguïté.
    Encore un drame social dans lequel on aime tant patauger en France. Au secours.
    Thérèse Steiger
    Thérèse Steiger

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Profondément humain avec quelques images et scènes impressionnantes.
    Un film qui peut changer le regard sur l'autisme et l'accompagnement.
    OLLIMAG
    OLLIMAG

    19 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 novembre 2019
    Un très veau film que je classerai de nécessaire et utile. Certes les services de l état sont visés à juste titre mais avec assez de bienveillance. L humanité qui se dégage de ce film est belle et permet à chacun de se poser de bonnes questions. Encore une fois un succès de la part de ses réalisateurs.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 351 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 novembre 2019
    Je me souviens d’il y a dix ans. Je me souviens d’ « Intouchables »…
    On y parlait de fracture sociale. On y parlait de parias, que ce soit par le handicap, les origines sociales ou l’orientation sexuelle. On y défendait un propos, une morale, des valeurs…
    Un film plein d’ambition. Un film qui avait connu son succès. Un film que j’avais aimé…
    Beaucoup.

    Et si je ne veux pas réduire le travail d’Olivier Nakache et de Eric Tolédano au seul « Intouchables », j’aime malgré tout à me rappeler que, de temps en temps, ils ont été capables de nous fournir ce genre de cinéma là. Un cinéma qui dit des choses, qui défend certaines causes, mais qui n’en oublie par pour autant les principes-maîtres du cinéma : explorer des situations, construire des moments, exacerber des expériences sensitives. Et si j’aime me rappeler de tout ça, c’est parce que parfois – comme c’est le cas ici avec cet « Hors normes » – le cinéma du duo tombe quand même bien bas…

    Alors pourtant, oui, dans les seules premières minutes, on ressent ce qui fait l’habilité de leur réalisation.

    Une course-poursuite. Des codes qui rappellent le cinéma policier. Et puis finalement une situation qui se révèle tout autre. On a affaire à du personnel venant au secours d’adolescents ou d’adultes handicapés. Et même si la plupart d’entre nous avait déjà lu le pitch et savait en conséquence de quoi il retournait vraiment, ça n’en reste pas moins un procédé efficace.
    Ça pose un sentiment. Une impression. Ça fixe un état d’esprit.
    Nakache et Tolédano : maîtres de l’émotion. Les gars savent gérer. Je ne leur retire par ça.

    Mais demeure la question du reste.
    Une question que je pourrais d’ailleurs reformuler de la manière suivante : de cette émotion, qu’en font-ils au fond ?
    Parce que bon, aller tirer la larmichette en montrant des gens en galère, ça va le temps d’un spot de pub qui nous invite à passer à la caisse, mais sur grand écran, moi j’attends autre chose. J’attends du sens, des sensations, un propos, une démarche.
    Et si les amis Eric et Oli ne nous font pas l’affront de laisser la gamelle vide comme le feraient de piètres frères Dardenne, ce qu’ils y mettent dedans me pose quand même problème.

    Cette marmelade a tout de même quelque-chose d’étrange.
    D’un côté on a une sorte de carte postale nous vendant une France qui doit certainement exister quelque part mais que moi je n’ai personnellement jamais vue : une France où voiles, kippas et survêts des Citizens se côtoient dans la plus franche des camaraderies. Tout le monde est heureux, posé, en paix. Pas de tension, pas de réflexion ni même de vanne. Que des sourires. Même Klapisch n’oserait pas nous en faire des comme ça.

    De l’autre côté une ode à ces gens généreux, le cœur sur la main, qui donnent tout. Des saints parmi les saints. Des « justes » issus de toutes les communautés, guidés par leur cœur, guidés par leur foi (sic) qui viennent au secours d’une société qu’un Etat bureaucratique et rigide ne parvient plus à aider. Tout un dispositif narratif au service d’une démonstration qui appelle à une évidence : l’Etat est de trop, laissons la place aux communautés. Laissons la place à la foi.

    Oui oui… Vous pouvez me relire. J’ai bien dit ce que j’ai dit et je n’invente rien.
    Ce n’est pas moi qui extrapole, c’est le film lui-même qui l’affirme par sa démonstration au marteau-pilon.

    Après avoir passé une heure à nous opposer les insuffisances des services publics d’un côté et les vertus sociales et médicales des associations de généreux volontaires, le film plante le clou en trois temps. D’abord par le discours d’un chef de service hospitalier qui, quand on l’interroge sur le fait qu’elle confie des malades à des associations non assermentées, décide de répondre : « Ces gens ont écouté leur cœur. Ils ont écouté leur foi. Et ils ont eu raison. » Puis, dans un deuxième temps, par l’échange musclé entre le personnage de Joseph et les inspecteurs de l’IGAS. Le premier s’énerve de voir qu’on veut lui retirer ses protégés et dit : « Vous voulez me les prendre ? Alors prenez les tous ! » Les seconds répondent par un silence gêné, avouant leur impuissance à traiter des cas aussi lourds. Enfin, dans un troisième temps, le clou est définitivement enfoncé par un carton, citant un texte officiel reconnaissant la nécessité de service public d’avoir recours à ce genre d’associations. CQFD.

    Morale de tout ça : reconnaître ces associations religieuses qui délivrent des services charitables plutôt que des accompagnements médicaux, c’est juste du bon sens.
    Ça va dans le sens de l’Histoire…
    Enfin… Ça va surtout dans le sens de la doctrine défendue par le duo…

    Parce que oui, je pense que la première des choses à faire quand on se décide à aborder ce « Hors normes », c’est de savoir reconnaître sa véritable nature. Ce long-métrage n’est pas une fiction. Il n’est pas une simple exploration de l’humain. Il n’est pas un espace ouvert au spectateur. Il est juste un film militant. Et comme tout film militant, il a son dogme, ses biais et surtout il a tout son dispositif formel qui vise à accomplir sa mission véritable : l’endoctrinement.

    Le but n’est pas seulement qu’on s’apitoie sur le sort de ces pauvres autistes. Non.
    Le but c’est aussi et surtout qu’on s’indigne d’une législation qui ose encore aujourd’hui mettre des bâtons dans les roues de ces gentilles associations religieuses.
    On aurait pu conclure sur les manques de moyens de l’Etat, sur les coupes honteuses menées par les derniers gouvernements en place pour asphyxier l’hôpital public. Mais non.
    Là on nous pose le désengagement de l’Etat comme une fatalité. On nous présente le recours à ces associations comme allant de soi.
    Alors que non. Cela ne va pas de soi.

    Faire passer comme allant de soi quelque-chose qui ne va pas de soi : ça, ça porte un nom.
    Quand on joue les maîtres de l’émotion pour sensibiliser à un questionnement ou pour remettre en cause des représentations (comme dans « Intouchables » par exemple) alors là, d’accord, on peut revendiquer la démarche d’artistes. D’artistes engagés certes ; d’artistes qui imprègnent leur œuvre de leur sensibilité et de leurs valeurs, mais des artistes malgré tout.
    Par contre quand on se décide de faire un film biaisé, à la conclusion univoque, qui vise à promouvoir les services d’associations communautaires bien existantes autour desquelles ne s’expriment pas une totale unanimité, là on se retrouve dans une démarche tout autre. Au mieux c’est de la publicité déguisée. Au pire, c’est carrément de la propagande.

    Or moi, les films de propagandes, je trouve ça un peu minable.
    Au-delà de la malhonnêteté de l’entreprise, c’est vraiment la pauvreté du résultat qui me dérange. On ne m’appelle à aucun questionnement. On ne m’offre aucun moment de suspension. Je suis juste dans de la démonstration téléguidée. Dans l’hagiographie permanente.

    Ce film interdit la pensée. Il l’anesthésie par de l’émotion permanente. Il ne sait qu’afficher qu’une seule image : celle d’une action juste dont il ne faut pas avoir peur.
    Le communautarisme ? Pas de crainte à avoir ma petite dame ! Admirez l’image qu’on vous offre : celle d’un communautarisme rassurant ; celle d’un communautarisme heureux et ouvert !
    La religion ? Roooh ! Maaaaais noooon ! Tous ces gens affichent ostensiblement leur appartenance religieuse mais il n'y absolument aucune raison de penser qu'à un moment donné ils ne sauront pas faire la part des choses ! Ce n'est pas comme s'ils faisaient ça parce qu'ils "écoutaient leur foi" ! Hein...
    L’incompétence ? Bon… Allez c’est vrai qu’ils se plantent parfois. Mais au final ils obtiennent des résultats bien meilleurs que tous ces vilains hôpitaux qui ne savent que les bourrer de médicaments !
    Alors bon, pourquoi ouvrir un espace de débat ? Pourquoi laisser un espace libre de réflexion au spectateur ? C’est tellement plus choupi une happy end avec une conclusion toute simple à retenir…

    Alors bon… Puisque le duo Nakache / Tolédano a décidé de réduire ce film a de la simple propagande, jugeons-le comme il se doit. Avec notre raison entrainée plutôt qu’avec notre émotion manipulable.
    Or que me dit ma raison ?
    Elle me dit que je ne cautionne ni la méthode, ni le message, ni même la pauvreté sensorielle et réflexive que cet espace de cinéma m’a proposé.
    Pire, plus que ne pas la cautionner, au fond ma raison la désapprouve.
    Hautement.

    Bref, voilà malheureusement un nouveau film piteux à accrocher au triste tableau de chasse du duo ; tableau qui comprenait déjà le déjà très doctrinal « Samba ».
    Et dire qu’il y a dix ans, c’était le même duo qui nous proposait pourtant « Intouchables ».
    Dix ans c’est peu…
    Et pourtant, quand on regarde ce qui sépare ce « Hors normes » d’ « Intouchables », c’est bien tout un âge civilisationnel qui semble s’être écoulé…
    Etrange sensation…

    Mais bon... Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n'êtes pas d'accord et que vous voulez qu'on en discute, n'hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j'aime ça... ;-)
    Claudie P.
    Claudie P.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    A voir absolument. Très bonne distribution et une description de ce monde "différent" juste et intelligente.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    La différence et le combat des familles et des éducateurs sont bien résumés
    Merci pour ce film qui rend hommage à la différence
    Le fameux canard
    Le fameux canard

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    Le duo Toledano-Nakache présente encore un excellent film incroyable de justesse avec des acteurs tous très bon. Il ne manquait pas grand chose pour nous faire pleurer pour de bon.
    7fabcool7
    7fabcool7

    55 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    comme 'FAT' : il n'aurait pas pu mettre une association française Laïque ??! Il y a tant d'associations françaises qui sont neutre. c'est dommage qu'ils mettent en avant une seule ethnie, pour une cause commune. Ils ont tout gâché : on a pas besoin d'être juif pour être sensible.... Bref j'ai pas accroché et failli partir au bout d'1H10 finalement. Et je trouve pas les 2 acteurs principaux si terrible que ça dans ce film là. en tout cas.
    gilles94160
    gilles94160

    8 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    un film émouvant, passionnant, sur le monde des associations s'occupant des autistes
    les acteurs sont justes, on ressort la boule au ventre
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    40 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    Un film très humain, intimement lié au "soi" , au "nous" et à l'amour de l'autre, pour ce qu'il est, simplement.
    Au delà du sujet de l'autisme, il y a un vrai message de cœur et de charité. Un film emporté par des détails, des acteurs et une bande originale qui font mouche. C'est une très belle réussite de la part de Toledano et Nakache.
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