Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Waves" emporte par sa virtuosité, hypnotise par sa puissance visuelle, et émeut par son histoire d'amour et de violence, incarnée par d'excellents acteurs. La confirmation définitive que Trey Edward Shults est un réalisateur qui va compter.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Film courageux, marqué par des effets de styles comme la réduction de l'image de l'écran lorsque la tension sur Tyler se fait oppressante, Waves n'a rien à envier aux réalisations d'un Barry Jenkins. Une réussite.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une introspection captivante d'une famille qui vacille.
Première
par Frédéric Foubert
Un objet à la fois très tranchant et très doux. Loin d’être parfait, mais franchement impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Blois
Le film tire avec talent le portrait d'une Amérique ambivalente et d'une jeunesse rongée par son mal-être.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
De la tragédie au bonheur absolu, « Waves » dévore la vie comme si son réalisateur la découvrait.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après avoir usé d’une mise en scène ostentatoire comme pour marquer son territoire, Trey Edward Shults calme le jeu, et on découvre un vrai talent de directeur d’acteurs, à même de cristalliser une tragédie contemporaine dans toute son ampleur. Enfin, il laisse affleurer l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une mise en scène audacieuse pour un scénario plutôt convenu, sauvé par ses interprètes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec ce scénario qui oppose dislocation et respect des liens du sang, le réalisateur construit une parabole d’inspiration chrétienne sur le rachat et le pardon. Ses bonnes intentions font parfois naître l’émotion mais frôlent la leçon de morale. Le fond swingue moins que la forme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Un diptyque dont la première partie passionnante concentre tout l’effort d’un réalisateur américain, qui dépeint la lente descente aux enfers d’une famille à qui tout souriait, jusqu’à un drame irréparable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Waves est un bon exemple de l’infiltration des codes de la série dans le long métrage, tant on a l’impression de voir défiler trois épisodes ramassés en 2h15. Le tout nappé de bons sentiments et d’une playlist acidulée (pourquoi avoir dérangé Trent Reznor si Spotify existe).
Le Figaro
par La Rédaction
Mais ce récit d’une famille afro-américaine bourgeoise endeuillée s’enlise dans les clichés du genre (lycée, violence, drogues). Avant de trouver une heure et demie trop tard un semblant de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Derrière ses virevoltants mouvements de caméra et ses anamorphoses un peu grossières," Waves" déploie un schéma mélodramatique qui, dans toute sa munificence, entraîne tout sur son passage - et tombe donc, in fine, dans l’outrance puritaine, malgré toutes ses qualités.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Fabien Baumann
[…] une débauche de couleurs criardes, de musiques tonitruantes et de travellings tournoyants pour nous informer qu’un lycéen de la bourgeoisie noire va mal […].
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Shults s’abîme dans les pires clichés indés [en] auscultant avec maniérisme et complaisance les tourments d’une famille CSP+ afro-américaine. [Le réalisateur] se plante dans les grandes largeurs avec "Waves", navet misérabiliste essayant très fort d’égaler "Moonlight", mais dont la complaisance n’a d’égale que la prétention.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Sommet de bouffissure indé, d’images posters surex le jour, néons la nuit, qui se donne un mal de chien à mimer une spontanéité bidon, de jeunesse ambiancée, roulis cool des jours indifférents - en attendant que ça cesse d’être «terriblement cool» pour devenir simplement terrible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
"Waves" emporte par sa virtuosité, hypnotise par sa puissance visuelle, et émeut par son histoire d'amour et de violence, incarnée par d'excellents acteurs. La confirmation définitive que Trey Edward Shults est un réalisateur qui va compter.
Elle
Film courageux, marqué par des effets de styles comme la réduction de l'image de l'écran lorsque la tension sur Tyler se fait oppressante, Waves n'a rien à envier aux réalisations d'un Barry Jenkins. Une réussite.
Ouest France
Une introspection captivante d'une famille qui vacille.
Première
Un objet à la fois très tranchant et très doux. Loin d’être parfait, mais franchement impressionnant.
Voici
Le film tire avec talent le portrait d'une Amérique ambivalente et d'une jeunesse rongée par son mal-être.
CinemaTeaser
De la tragédie au bonheur absolu, « Waves » dévore la vie comme si son réalisateur la découvrait.
L'Obs
Après avoir usé d’une mise en scène ostentatoire comme pour marquer son territoire, Trey Edward Shults calme le jeu, et on découvre un vrai talent de directeur d’acteurs, à même de cristalliser une tragédie contemporaine dans toute son ampleur. Enfin, il laisse affleurer l’émotion.
Le Monde
Une mise en scène audacieuse pour un scénario plutôt convenu, sauvé par ses interprètes.
Télérama
Avec ce scénario qui oppose dislocation et respect des liens du sang, le réalisateur construit une parabole d’inspiration chrétienne sur le rachat et le pardon. Ses bonnes intentions font parfois naître l’émotion mais frôlent la leçon de morale. Le fond swingue moins que la forme.
aVoir-aLire.com
Un diptyque dont la première partie passionnante concentre tout l’effort d’un réalisateur américain, qui dépeint la lente descente aux enfers d’une famille à qui tout souriait, jusqu’à un drame irréparable.
Cahiers du Cinéma
Waves est un bon exemple de l’infiltration des codes de la série dans le long métrage, tant on a l’impression de voir défiler trois épisodes ramassés en 2h15. Le tout nappé de bons sentiments et d’une playlist acidulée (pourquoi avoir dérangé Trent Reznor si Spotify existe).
Le Figaro
Mais ce récit d’une famille afro-américaine bourgeoise endeuillée s’enlise dans les clichés du genre (lycée, violence, drogues). Avant de trouver une heure et demie trop tard un semblant de grâce.
Les Fiches du Cinéma
Derrière ses virevoltants mouvements de caméra et ses anamorphoses un peu grossières," Waves" déploie un schéma mélodramatique qui, dans toute sa munificence, entraîne tout sur son passage - et tombe donc, in fine, dans l’outrance puritaine, malgré toutes ses qualités.
Positif
[…] une débauche de couleurs criardes, de musiques tonitruantes et de travellings tournoyants pour nous informer qu’un lycéen de la bourgeoisie noire va mal […].
Les Inrockuptibles
Shults s’abîme dans les pires clichés indés [en] auscultant avec maniérisme et complaisance les tourments d’une famille CSP+ afro-américaine. [Le réalisateur] se plante dans les grandes largeurs avec "Waves", navet misérabiliste essayant très fort d’égaler "Moonlight", mais dont la complaisance n’a d’égale que la prétention.
Libération
Sommet de bouffissure indé, d’images posters surex le jour, néons la nuit, qui se donne un mal de chien à mimer une spontanéité bidon, de jeunesse ambiancée, roulis cool des jours indifférents - en attendant que ça cesse d’être «terriblement cool» pour devenir simplement terrible.