Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
CNews
par La rédaction
Une comédie dramatique canadienne résolument féministe.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Sophie Lorain crée des situations ubuesques, par la grâce de l'écriture, convoquant le cinéma burlesque. Les va-et-vient étourdissants des personnages dans le magasin de jouets, sorte de monde-bulle évoluant dans un espace-temps poreux, ravivent l'esprit ludique et mélancolique d'un grand cinéaste de l'adolescence, décédé il y a maintenant 10 ans, John Hugues.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Edifiant à certains moments, "Charlotte a 17 ans" présente de belles qualités, comme sa mise en scène dynamique, sublimée par un noir et blanc des plus esthétiques. Malgré un propos assez sérieux, le scénario cultive jusqu'au bout son aspect comique et son charme, purement québécois.
Libération
par Sandra Onana
Le film évoque parfois dans sa légèreté gracieuse une variation adolescente sur "Frances Ha" de Noah Baumbach, notamment par la manière dont ses dialogues, rehaussés par la parlure québécoise, mettent à distance les situations pour les livrer à l’analyse enlevée du remarquable trio d’actrices, formant une musique de groupe saisissante de naturel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
On se laisse prendre volontiers dans cette ronde séductrice au rythme enlevé qui regorge d’idées (…). On regrette seulement que la seconde partie se fasse plus laborieuse, comme une réaction obligée à cette onde émancipatrice.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un peu systématique dans son hystérie, mais terriblement drôle et attachant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sur un sujet rebattu (l'adolescence et ses tâtonnements vis-à-vis de l'amour), ce film canadien parvient à nous surprendre par son énergie communicative et son charme.
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Ce conte narrant les aventures sexuelles successives de Charlotte est convaincant. L’incarnation crédible par de jeunes acteurs construit un univers adolescent stylisé, en noir et blanc, dont on regrettera son isolement de la société qui l’entoure.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un teen movie féministe doublé d’un beau portrait générationnel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Sous l’afféterie du noir et blanc, cette comédie canadienne futée replace le débat sur le sexisme à hauteur d’adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Chronique adolescente, vive et drôle, Charlotte, 17 ans interroge l’égalité sexuelle entre les filles et les garçons et comment ces derniers, prisonniers d’une éducation, peuvent être amenés à reconsidérer leur manière de penser.
Première
par Thierry Chèze
Joyeusement amoral, Charlotte a 17 ans se nourrit de l’abattage de son interprète principale, Marguerite Bouchard. Mais l’obsession de la légèreté de sa réalisatrice et son parti pris de rester à la surface des choses constituent aussi ses limites : son énergie comme ses choix artistiques (pourquoi ce noir et blanc ?) tendent à devenir crispants sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
par Vincent Ostria
À l’arrivée, une espèce de farce sociologique sur les nouveaux états de la féminité, qui manque cruellement de naturel et tourne en rond en vase clos. Aussitôt vu, aussitôt oublié.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
CNews
Une comédie dramatique canadienne résolument féministe.
Culturopoing.com
Sophie Lorain crée des situations ubuesques, par la grâce de l'écriture, convoquant le cinéma burlesque. Les va-et-vient étourdissants des personnages dans le magasin de jouets, sorte de monde-bulle évoluant dans un espace-temps poreux, ravivent l'esprit ludique et mélancolique d'un grand cinéaste de l'adolescence, décédé il y a maintenant 10 ans, John Hugues.
L'Express
Edifiant à certains moments, "Charlotte a 17 ans" présente de belles qualités, comme sa mise en scène dynamique, sublimée par un noir et blanc des plus esthétiques. Malgré un propos assez sérieux, le scénario cultive jusqu'au bout son aspect comique et son charme, purement québécois.
Libération
Le film évoque parfois dans sa légèreté gracieuse une variation adolescente sur "Frances Ha" de Noah Baumbach, notamment par la manière dont ses dialogues, rehaussés par la parlure québécoise, mettent à distance les situations pour les livrer à l’analyse enlevée du remarquable trio d’actrices, formant une musique de groupe saisissante de naturel.
Cahiers du Cinéma
On se laisse prendre volontiers dans cette ronde séductrice au rythme enlevé qui regorge d’idées (…). On regrette seulement que la seconde partie se fasse plus laborieuse, comme une réaction obligée à cette onde émancipatrice.
L'Obs
Un peu systématique dans son hystérie, mais terriblement drôle et attachant.
Le Journal du Dimanche
Sur un sujet rebattu (l'adolescence et ses tâtonnements vis-à-vis de l'amour), ce film canadien parvient à nous surprendre par son énergie communicative et son charme.
Les Fiches du Cinéma
Ce conte narrant les aventures sexuelles successives de Charlotte est convaincant. L’incarnation crédible par de jeunes acteurs construit un univers adolescent stylisé, en noir et blanc, dont on regrettera son isolement de la société qui l’entoure.
Paris Match
Un teen movie féministe doublé d’un beau portrait générationnel.
Télérama
Sous l’afféterie du noir et blanc, cette comédie canadienne futée replace le débat sur le sexisme à hauteur d’adolescents.
Le Monde
Chronique adolescente, vive et drôle, Charlotte, 17 ans interroge l’égalité sexuelle entre les filles et les garçons et comment ces derniers, prisonniers d’une éducation, peuvent être amenés à reconsidérer leur manière de penser.
Première
Joyeusement amoral, Charlotte a 17 ans se nourrit de l’abattage de son interprète principale, Marguerite Bouchard. Mais l’obsession de la légèreté de sa réalisatrice et son parti pris de rester à la surface des choses constituent aussi ses limites : son énergie comme ses choix artistiques (pourquoi ce noir et blanc ?) tendent à devenir crispants sur la longueur.
L'Humanité
À l’arrivée, une espèce de farce sociologique sur les nouveaux états de la féminité, qui manque cruellement de naturel et tourne en rond en vase clos. Aussitôt vu, aussitôt oublié.