Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Transfuge
par Marie Campistron
Mêlant habilement les genres, le film emprunte la figure du super-héros [...] pour décrire une réalité sociale froide et cauchemardesque.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un film radical, qui dénonce la violence et la corruption généralisées en Russie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Une évocation implacable de la corruption généralisée en Russie. Le metteur en scène de Classe à part confirme qu’il est un des cinéastes les plus doués de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Pas de pathos chez le réalisateur russe. On est sidéré, plus qu'ému. Un film fort sur l'impuissance.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
Flics corrompus, magistrats véreux, noirceur constante, le metteur en scène en rajoute dans le pessimisme. La mère est une jolie blonde alcoolique qui se balade en petite tenue: un brin d’inceste ne dépare le tableau. Pour les estomacs bien accrochés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Préférant la démonstration à la subtilité, le film de Tverdovsky convainc davantage par sa charge cynique que par son récit dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Fable à la fois attachante et agaçante, le dernier film d'Ivan Ivanovitch Tverdovski témoigne de cette jeune vague du cinéma russe, cherchant à tout prix, entre dénonciation politique et esthétique toc, à épater son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
La seule vraie étrangeté, la relation quasi incestueuse du fils avec sa mère, n’est guère explicitée…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Le sujet s’épuise vite, l’intrigue secondaire (une relation incestueuse) est inutile, et il ne reste qu’une impression dérangeante de tape-à-l’œil. C’est agaçant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Porté par des acteurs convaincants, ce drame âpre et réaliste ne parvient jamais vraiment à faire vibrer la corde sensible.
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Rivée à une auscultation clinique de la corruption qui gangrène la société moscovite, [l]a mise en scène et [l]es effets de style s'effacent alors devant [le] sujet. Cela occasionne, hélas, une distance glaciale entre spectateurs et personnages, et fait d'un long métrage, loin d'être inintéressant, un objet froid et hermétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Eisenreich
Malheureusement, le scénario n'explore pas suffisamment les pistes politiques qu'il met en place.
Première
par Christophe Narbonne
Séduisant sur le papier, le film se contente d’illustrer son propos sur la corruption généralisée en Russie, sans l’ombre d’une nuance. Le trouble naît surtout de la relation quasi incestueuse entre cette mère irresponsable et son fils en mal d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce sujet, qui était aussi celui du Petit Garçon (1969), de Nagisa Oshima, est ici mis en scène avec une grandiloquence démonstrative étouffante, ne laissant que peu de place à une complexité pourtant indispensable.
Ouest France
par La Rédaction
Une parabole sans nuance sur la corruption généralisée en Russie.
Transfuge
Mêlant habilement les genres, le film emprunte la figure du super-héros [...] pour décrire une réalité sociale froide et cauchemardesque.
Télérama
Un film radical, qui dénonce la violence et la corruption généralisées en Russie.
aVoir-aLire.com
Une évocation implacable de la corruption généralisée en Russie. Le metteur en scène de Classe à part confirme qu’il est un des cinéastes les plus doués de sa génération.
Franceinfo Culture
Pas de pathos chez le réalisateur russe. On est sidéré, plus qu'ému. Un film fort sur l'impuissance.
Le Figaro
Flics corrompus, magistrats véreux, noirceur constante, le metteur en scène en rajoute dans le pessimisme. La mère est une jolie blonde alcoolique qui se balade en petite tenue: un brin d’inceste ne dépare le tableau. Pour les estomacs bien accrochés.
Les Fiches du Cinéma
Préférant la démonstration à la subtilité, le film de Tverdovsky convainc davantage par sa charge cynique que par son récit dramatique.
Culturopoing.com
Fable à la fois attachante et agaçante, le dernier film d'Ivan Ivanovitch Tverdovski témoigne de cette jeune vague du cinéma russe, cherchant à tout prix, entre dénonciation politique et esthétique toc, à épater son spectateur.
L'Humanité
La seule vraie étrangeté, la relation quasi incestueuse du fils avec sa mère, n’est guère explicitée…
L'Obs
Le sujet s’épuise vite, l’intrigue secondaire (une relation incestueuse) est inutile, et il ne reste qu’une impression dérangeante de tape-à-l’œil. C’est agaçant.
Le Journal du Dimanche
Porté par des acteurs convaincants, ce drame âpre et réaliste ne parvient jamais vraiment à faire vibrer la corde sensible.
Les Inrockuptibles
Rivée à une auscultation clinique de la corruption qui gangrène la société moscovite, [l]a mise en scène et [l]es effets de style s'effacent alors devant [le] sujet. Cela occasionne, hélas, une distance glaciale entre spectateurs et personnages, et fait d'un long métrage, loin d'être inintéressant, un objet froid et hermétique.
Positif
Malheureusement, le scénario n'explore pas suffisamment les pistes politiques qu'il met en place.
Première
Séduisant sur le papier, le film se contente d’illustrer son propos sur la corruption généralisée en Russie, sans l’ombre d’une nuance. Le trouble naît surtout de la relation quasi incestueuse entre cette mère irresponsable et son fils en mal d’amour.
Le Monde
Ce sujet, qui était aussi celui du Petit Garçon (1969), de Nagisa Oshima, est ici mis en scène avec une grandiloquence démonstrative étouffante, ne laissant que peu de place à une complexité pourtant indispensable.
Ouest France
Une parabole sans nuance sur la corruption généralisée en Russie.