Avis sur The Tax Collector

The Tax Collector est un film est plein de méchants mais vous voyez le premier coup de feu à la 56e minute. Il est toujours plein d'histoire mais personne ne fait rien on ne fait que parler. Shia LaBeouf a continué à parler et il s'est fait tirer dessus lors de la première fusillade puis il est mort. Qu'est ce que c'était et le tatouage ?. Nous avons continué à voir des nouvelles sur son tatouage son engagement mais on ne le voit pas dans le film. Une seule fois quand il est en train de mourir et couvert de sang. Il était censé être effrayant mais avec ses oreilles comme dans le film et la taille de son corps il est comme un magicien a cause des pixels (effets spéciaux)...

The Tax Collector est une véritable déception de la part de David Ayer qui n'est certes pas un génie du cinéma mais qui a à son actif quelques polars pêchus et efficaces.
Celui-ci bien que débutant assez bien tombe rapidement dans le grotesque, il recycle sans imagination ses précédents films, on visionne une histoire de gangsters latinos à L.A. à grand coup de clichés et de dialogues ronflants.
On suit le parcours de 2 collecteurs d'argent auprès de dealers car même les voyous se font racketter, déjà les personnages du film ne sont pas attachants, ce sont des méchants qui vont se faire attaquer par un plus méchant.
Le rythme n'a rien de nerveux, la moitié du film est un peu bavard, dans la seconde moitié quelques scène de fusillades sont correctes sans que l'on soit époustouflé.
Le jeu des acteurs est parfois dans le surjeu avec un jeu dramatique par toujours maîtrisé, Shia LaBeouf joue un des deux collecteurs, il se surnomme "Le Diable" et il est sensé être très craint.
Une faute dans la filmographie de David Ayer, espérons qu'il se rattrape avec son prochain film.

David Ayer plutôt doué pour l'écriture on lui doit notamment les excellents scripts de Dark blue, Training day, U-571 sans compter ses réalisations plutôt réussies comme Bad Times, End of watch, Fury au bout de la nuit, Sabotage ect... revient à un style qui lui est cher à savoir le polar urbain. Ici on délaisse les flics de L.A pour se concentrer sur le crime organisé et ses deux collecteurs de taxes, et clairement sa manque de punch et de profondeur de caractères pour ses personnages, où sa parle beaucoup pour pas grand chose. On ne ressent plus ce côté nerveux et sombre dans la réalisation qui caractérisait si bien ces deniers long métrage. Depuis son décevant mais pas catastrophique Suicide squad et ses différents avec le studio la qualité de ses films ne cesse de décroître. Pourtant ici il avait les mains libres tous comme pour Bright et c'est sûrement les 2 moins bon de sa filmo, comme quoi certains réals on peut être besoin d'être encadré par les majors. Une déception donc qui risque fort de passer inaperçu.

David Ayer revient à ses premiers amours en nous livrant ce polar musclé où Shia LaBeouf est assez méconnaissable. Même si le film n'arrive pas à la hauteur des précédentes réalisations de Ayer, The Tax Collector reste néanmoins efficace et sympathique. Un film violent et nerveux, qui ne révolutionne en rien le genre, mais qui reste divertissant.

Des gangs, des mitraillettes, des méchants très méchants, bref très classique et rien de neuf, film pour passer le temps que l'on oubli aussitôt.....

Honnêtement, même si c'est assez classique et pas super nerveux dans son ensemble, j'ai apprécié ce petit polar, et ce sans le moindre ennui. On est certes pas dans le même registre qu'un End of Watch du même réalisateur, c'est un peu plus tranquille et un peu plus bavard, mais l'action est tout de même présente pour renforcer chaque étape clef du film, et ça ne fait pas dans la dentelle, c'est du brutal.

Pas très original niveau scénario, on a déjà vu la même chose en mieux. Le personnage principal manque cruellement de charisme, je ne sais pas si l'acteur joue mal ou le personnage a été mal écrit. Il y a des effets spéciaux gores plutôt bien réussis, le tout est bien filmé dans l'ensemble. Voilà quoi, bien mais sans plus.

Avec de tels collecteurs, jeunes et fébriles, David Ayer ne mise que sur une réputation bien exagérée pour faire monter la mayonnaise. Pendant prêt d'une heure, les deux compères rôdent pour récolter le pécule avant de ramener l'ensemble dans une planque où se terre le fameux oncle pour lequel ils travaillent.
En ce lieu, un homme de main accule Shia LaBeouf en le bousculant... peut-être alors l'instant de démonstration pour l'acteur aux oreilles de choux, qui semble pratiquer les sports de combats; Lui, la personnalité peu discrète à la forte gueule qui face à d'anciens Navy sur-armés n'hésite pas à monter au front... soit disant. Mais rien ne nous le prouvera. En rien crédible et sans que rien ne s'articule autour de lui, il disparaît du récit .
Après le retour dominateur d'un ancien chef de gang, les taxes changent de mains et aucune bonne décision prise face à un tel danger à part laisser mourir ses proches, se faire mettre sa tête dans une boîte, sans prendre avantage.
90' pour une affaire rapidement pliée, peu d'action à la clé et surtout peu d'émotion, si ce n'est un aspect telenovela qu'on ne connaissait pas à David Ayer.
Le réalisateur laisse échapper son sujet, sans aucune démonstration de force pour le ramener sur le devant de la scène.
The Debt Collector (2018) reste bien plus subtile et précieux que ce figuratif et jamais convaincant Tax Collector.

Série B correcte. Les 2 acteurs principaux sont plutôt crédibles, la présence de Shia Leboeuf peut surprendre, de par son role assez secondaire et un film quelconque. Pour le reste, c'est du déjà vu et ça se laisse voir.

Vu The Tax Collector de David Ayer c'est complètement mauvais sa parle pour rien dire c'est d'une mièvrerie pas possible et c'est pas le peu d'action qui pourra rattraper le tout du naufrage vraiment a oublié ⭐

Attendu avec impatience
Regardé avec un Max de patience
M’en suis sorti plein de remontrances
Insipide
Totalement nul

J'ai arrêté de regarder la série Gomorra, car tous les personnages sont antipathiques et représentent plus ou moins la lie de l'Italie. Dans ce film c'est la même chose, je n'ai de la sympathie pour personne, ni le gang latino violent, crapuleux et racketteur, ni évidemment pour l'autre gang latino encore plus cinglé et possédé (par le diable). C'est presque un plaisir de les voir s'entretuer. Malheureusement le but de ce film est de montrer de la violence gratuite, rien de plus. La première partie est relativement bonne, toute proportion gardée, mais après ça devient pathétique et ça part en déchaînement de cruauté presque sans raison apparente. Les dialogues de racaille, à qui provoque le plus, sont aussi lassants et probablement assez éloignés de la réalité, autrement ils sont encore plus débiles que ce que je pense. Le scénario tient sur un seul post-it.

David Ayer est le cinéaste pour lequel je suis profondément enraciné. Le gars a gravi les échelons sans passer par les grinds traditionnels de l’école de cinéma. Il est entré en tant qu’écrivain, s’est entouré des bonnes personnes, s’est mis au travail et a réussi. Ouais, il n’est pas parfait et ses pires tendances à la violence hyper-macho trop graphique peuvent devenir répétitives, mais la plupart du temps, il est plutôt bon. Au pire, ses films sont au moins divertissants et il obtient de grandes performances de sa distribution. Cela dit, quelque chose a raté la cible avec The Tax Collector .

C’est un grand film sur toile. Alors que Fury plongeait le public dans les profondeurs de la Seconde Guerre mondiale, il a été vu dans les limites d’un escadron de chars. Il y avait une intimité dans ce film avec le casting de personnages et la mission. The Tax Collector vise à faire quelque chose de similaire avec l’entreprise familiale de David et Creeper, mais faire exploser le monde dans le monde souterrain de la vie de gang à Las Angeles. J’adore le fait que ce film ait pris son temps pour se lancer. Tout cela est de construction du monde, nous présentant divers personnages, comment David fait des affaires, comment il est respecté par les gangs rivaux en tant qu’intermédiaire honnête. Il faut presque 45 minutes avant l’incident incitant et j’adore ça parce que nous apprenons à savoir qui sont ces personnes et comment elles fonctionnent. Il y a même des rappels à Training Day et Harsh Times les attirant dans le même petit univers. Ensuite, quand le grand deuxième acte arrive, vous pensez que vous êtes dans une bataille épique. Le problème, c’est qu’à ce moment-là, il reste à peine 30 minutes de film.

Si vous le décomposez par structure de scénario, The Tax Collector a l’ impression de manquer complètement son deuxième acte. La configuration se produit – mais ensuite le film passe un peu par les mouvements aussi vite que possible pour arriver à une résolution rapide du troisième acte. David essaie de trouver un moyen de s’échapper avec sa famille et lorsque cela ne fonctionne pas, il essaie autre chose et lorsque cela ne fonctionne pas, il doit revenir à la loyauté d’un gang en quelques minutes. L’appeler «précipité» est un euphémisme. The Tax Collector à honnêtement l’impression de se lancer dans un grand drame policier épique de 3 heures semblable à The Godfather , mais a eu la moitié du temps pour l’exécuter. J’ai continué à devoir revenir en arrière et revoir les scènes parce que c’était tellement décousu. C’est frustrant parce que les 45 premières minutes étaient si bonnes, certaines des meilleures choses qu’Ayer ait exécutées en tant que scénariste / réalisateur. Le reste va au pot.

Comme il est à l’avant-plan tout au long du film, Bobby Soto gère la charge de travail. Il apporte beaucoup de cœur et de passion au rôle et joue un homme au-dessus de sa tête de manière convaincante. Vous ressentez pour lui quand les choses tournent au sud et vous voulez que le monde fonctionne à ses côtés dès que possible. Shia LaBeouf est une autre histoire. Ne vous méprenez pas, il est incroyable. Il ressemble et se sent comme une bombe à retardement prête à exploser, mais vous n’obtenez pas ce moment. Nous sommes taquinés de ce qu’il pourrait faire quand il a relâché la chaîne – mais rien de plus. Sans rien gâcher, je vais simplement dire que les tatouages ​​corporels infâmes et étendus qu’il a obtenus pour ce film n’étaient pas du tout nécessaires.

Et puis… c’est fini. Claquement des doigts, le film est terminé. Vous avez l’impression d’avoir vu le film mais vous n’avez pas vraiment apprécié toute la série. The Tax Collector est comme une pizza au pepperoni Hot Pocket qui n’a pas été entièrement cuite. Vous ne réalisez pas qu’il est encore gelé jusqu’à ce que vous arriviez au milieu, alors vous mangez sur les bords. Vous obtenez en quelque sorte la saveur et quelques morceaux de viande, mais le meilleur est perdu parce que vous ne pouvez pas le faire cuire deux fois. J’adorerais lire le scénario original d’Ayer pour cela, car cela ressemble vraiment à un film avec beaucoup plus. Je ne sais pas si ce matériel a été filmé et coupé pour une durée d’exécution plus courte ou si des problèmes de budget l’ont rendu court, mais The Tax Collector a un début épique avec une finition triviale.

Rien de nouveau avec ce film qui alterne scènes gores et clichés à la pelle sur les milieux où règnent la pègre et trafic de drogues.
Le film se laisse regarder avec un Shea la beouf loin de Transformers.

Un polar signé David Ayer où il reprend les codes qu'il a déjà utilisé dans Bad Times et End Of Watch. On suit 2 collecteurs de taxes qui pillent les différents gangs mexicains de Los Angeles. C'est rythmé et ça tire pas mal mais on a cette impression de déjà vu tout le long c'est dommage car on aurait pu avoir un grand film et malheureusement l'acteur principal manque de charisme alors que Shia Laboeuf lui est excellent et très énigmatique . Le scénario est assez basique, à part ça c'est un bon film qui mérite d'être vu.