Degas : une passion pour la perfection : Critique presse
Degas : une passion pour la perfection
Note moyenne
3,3
4 titres de presse
Le Dauphiné Libéré
Franceinfo Culture
L'Obs
La Croix
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le film de David Bickerstaff, réalisé avec soin sinon avec grande originalité, et qui abuse quelque peu des travellings tournants autour des œuvres présentées, offre un intérêt, bien réel, concernant moins le cinéma luimême que l’histoire de la peinture.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si l’on apprend beaucoup de choses sur la vie du peintre, notamment son antisémitisme notoire, et sur son approche picturale, grâce à l’intervention de nombreux historiens d’art et de spécialistes de Degas, la forme à proprement parlé du film est plus proche d’un documentaire télévisuel que destiné au cinéma. Reste que l’on y trouve son compte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Magique et spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Genica Baczynski
À cet instant, où rien ne se prononce, le cinéma remodèle son "enfance" et recapture le regard.
Le Dauphiné Libéré
Le film de David Bickerstaff, réalisé avec soin sinon avec grande originalité, et qui abuse quelque peu des travellings tournants autour des œuvres présentées, offre un intérêt, bien réel, concernant moins le cinéma luimême que l’histoire de la peinture.
Franceinfo Culture
Si l’on apprend beaucoup de choses sur la vie du peintre, notamment son antisémitisme notoire, et sur son approche picturale, grâce à l’intervention de nombreux historiens d’art et de spécialistes de Degas, la forme à proprement parlé du film est plus proche d’un documentaire télévisuel que destiné au cinéma. Reste que l’on y trouve son compte.
L'Obs
Magique et spectaculaire.
La Croix
À cet instant, où rien ne se prononce, le cinéma remodèle son "enfance" et recapture le regard.