Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
La Septième Obsession
par David Ezan
Épousant la flamboyance du roman, le film se désolidarise du réalisme pour plonger tête la première dans la stylisation : l'image, tournoyante, aveuglante, se confond avec l'intériorité de son héros misérable, pris au piège d'une ville filmée comme un labyrinthe sans issue.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
La rédemption n'existe pas, même dans les films, même en allemand. Ouille, on sort de là estourbi, lessivé. Quel choc !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Léo Soesanto
Un néo-thriller porté par l’ambiguïté des personnages et le charisme de leurs interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une relecture moderne du roman d'Alfred Döblin aux airs de fresque existentielle.
Ouest France
par Thierry Chèze
Cette chronique-fleuve propose une orgie de sons et de couleurs. Certes clivante, elle crée, si l'on y adhère, une atmosphère envoûtante.
Paris Match
par Yannick Vely
Film-fresque sur la trajectoire d’un jeune immigré guinéen dans les bas-fonds de l’Allemagne, « Berlin Alexanderplatz » séduit par l’ambition folle de son réalisateur, sa complexe construction narrative qui épouse celle d'une tragédie antique et bien sûr sa puissance formelle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une épopée de trois heures éreintantes, trouée d’excès, parfois puissants, parfois plus douteux.
La Croix
par Céline Rouden
Le film, empreint de ce romantisme allemand qui tend à outrer certains personnages, fascine par sa languissante beauté, parfois jusqu’à l’excès, et doit beaucoup à la présence et au naturel de son acteur principal, Welket Bungué.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une fresque urbaine violente et intense portée par une mise en scène sophistiquée, voire grandiloquente, qui tend à faire de l'épate.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Un sens assez virtuose du récit et une manière de brosser avec élégance un portrait d’une Europe à la fois eldorado et cauchemar pour celui qui n’a plus d’identité.
Positif
par Fabien Baumann
Mais la fresque comme son protagoniste succombent bien trop vite aux attraits piégeurs de la pègre cosmopolite. Le cinéaste se prend de passion pour le cabotinage exceptionnel d’Albrecht Schuch, Méphistophélès dégingandé à fine moustache qui tente notre réfugié et prend bientôt toute la place sur l’écran.
Première
par Thierry Chèze
S’attaquer à une œuvre aussi imposante a quelque chose de vertigineux. Qurbani joue plei nement ce côté monumental, en orchestrant trois heures d’une orgie de sons et de couleurs débordante et clivante.
Télérama
par Jacques Morice
Cette fresque tumultueuse se veut un réquisitoire contre le racisme, mais cède bien trop aux clichés pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Burhan Qurbani revisite le classique de Döblin qui avait tant inspiré Fassbinder. Cette modernisation des tourments de Franz et Reinhold dans le Berlin actuel est louable. Elle est également victime d’une réalisation efficace mais peu tranchante, et peu inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une odyssée baroque et exaltée sur les bas-fonds de la pègre allemande, mais dont le formalisme cinématographique épuise le récit dans la surenchère et l’exaspération.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
Épousant la flamboyance du roman, le film se désolidarise du réalisme pour plonger tête la première dans la stylisation : l'image, tournoyante, aveuglante, se confond avec l'intériorité de son héros misérable, pris au piège d'une ville filmée comme un labyrinthe sans issue.
Le Figaro
La rédemption n'existe pas, même dans les films, même en allemand. Ouille, on sort de là estourbi, lessivé. Quel choc !
Libération
Un néo-thriller porté par l’ambiguïté des personnages et le charisme de leurs interprètes.
Marie Claire
Une relecture moderne du roman d'Alfred Döblin aux airs de fresque existentielle.
Ouest France
Cette chronique-fleuve propose une orgie de sons et de couleurs. Certes clivante, elle crée, si l'on y adhère, une atmosphère envoûtante.
Paris Match
Film-fresque sur la trajectoire d’un jeune immigré guinéen dans les bas-fonds de l’Allemagne, « Berlin Alexanderplatz » séduit par l’ambition folle de son réalisateur, sa complexe construction narrative qui épouse celle d'une tragédie antique et bien sûr sa puissance formelle.
CinemaTeaser
Une épopée de trois heures éreintantes, trouée d’excès, parfois puissants, parfois plus douteux.
La Croix
Le film, empreint de ce romantisme allemand qui tend à outrer certains personnages, fascine par sa languissante beauté, parfois jusqu’à l’excès, et doit beaucoup à la présence et au naturel de son acteur principal, Welket Bungué.
Le Journal du Dimanche
Une fresque urbaine violente et intense portée par une mise en scène sophistiquée, voire grandiloquente, qui tend à faire de l'épate.
Le Monde
Un sens assez virtuose du récit et une manière de brosser avec élégance un portrait d’une Europe à la fois eldorado et cauchemar pour celui qui n’a plus d’identité.
Positif
Mais la fresque comme son protagoniste succombent bien trop vite aux attraits piégeurs de la pègre cosmopolite. Le cinéaste se prend de passion pour le cabotinage exceptionnel d’Albrecht Schuch, Méphistophélès dégingandé à fine moustache qui tente notre réfugié et prend bientôt toute la place sur l’écran.
Première
S’attaquer à une œuvre aussi imposante a quelque chose de vertigineux. Qurbani joue plei nement ce côté monumental, en orchestrant trois heures d’une orgie de sons et de couleurs débordante et clivante.
Télérama
Cette fresque tumultueuse se veut un réquisitoire contre le racisme, mais cède bien trop aux clichés pour convaincre.
Les Fiches du Cinéma
Burhan Qurbani revisite le classique de Döblin qui avait tant inspiré Fassbinder. Cette modernisation des tourments de Franz et Reinhold dans le Berlin actuel est louable. Elle est également victime d’une réalisation efficace mais peu tranchante, et peu inspirée.
aVoir-aLire.com
Une odyssée baroque et exaltée sur les bas-fonds de la pègre allemande, mais dont le formalisme cinématographique épuise le récit dans la surenchère et l’exaspération.