Portrait de la jeune fille en feu : Critique presse
Portrait de la jeune fille en feu
Note moyenne
4,0
36 titres de presse
BIBA
Bande à part
Elle
L'Express
Le Dauphiné Libéré
Paris Match
Positif
Sud Ouest
Télérama
20 Minutes
CinemaTeaser
Culturopoing.com
Ecran Large
L'Humanité
La Septième Obsession
La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
Marianne
Ouest France
Première
Rolling Stone
Transfuge
Télé Loisirs
Voici
aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
L'Obs
La Croix
Le Figaro
Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Cet amour très pictural de deux femmes en avance sur leur époque, véritable ode à la sororité, transende le regard, la naissance du désir et la beauté du souvenir.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Il y a du souffle dans la visée de Sciamma, et dans son geste artistique. De l’ampleur décuplée par son travail sur la retenue et la frustration. De la maestria dans sa science de la durée. Une croyance profonde dans son art et dans sa capacité de transmission.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par La Rédaction
Grâce à ce magnifique film, Céline Sciamma s'inscrit en digne héritière de Jane Campion.
L'Express
par Christophe Carrière
[...] manifeste édifiant et intelligent sur la condition féminine.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre peinture et littérature, une brûlante histoire d’amour.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Céline Sciamma signe un film magnifique sur le regard et la naissance du désir avec «Portrait de la jeune femme en feu».
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
La réalisation s'occupe ici de faire tressaillir les visages et de faire retentir et trembler les mots. Elle trouve les lumières (et le film confirme que Sciamma est une grande coloriste) et organise les mouvements des corps [...] afin de traduire cinématographiquement le travail du portrait.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec une grâce altière et la joie que donne le spectacle de la beauté transcendée, Céline Sciamma réalise une œuvre solaire où court en permanence la vive intelligence de ses personnages, leurs échanges sensuels et intellectuels, la douceur d’une sororité plus fondamentale encore que la passion.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
L’éclosion de l’amour entre deux femmes, une peintre et son modèle, en 1770. Le désir, la création, l’émancipation, filmés avec autant d’élégance que de lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Céline Sciamma propose avec « Portrait de la jeune fille en feu » un film en costumes d’époque d’une rare modernité.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Sciamma utilise la beauté picturale de l’art classique avec l’ombre d’Orphée et d’Eurydice, Vivaldi et la superbe composition de ses cadres qui mettent en valeur les corps par un jeu de couleurs dans l’espace. Elle fabrique des images éternelles en somme, intemporelles.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Céline Sciamma confirme qu’elle est une réalisatrice talentueuse, notamment quand il s’agit d’exprimer visuellement l’art de capter l’instant et de restituer le souvenir. À ce titre, Portrait de la jeune fille en feu est autant un film sur la passion amoureuse qu’un film sur l’artiste témoin de son temps ; et, ainsi que le montre la scène finale, autant un film sur le temps perdu que sur le temps retrouvé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Avec une intelligence de chaque instant, Céline Sciamma interroge la nature de la passion amoureuse et la question du regard au cinéma. Elle livre une romance réflexive de prime abord, un geste de mise en scène et d'écriture formidablement abouti.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Alice Martinot-Lagarde
Céline Sciamma a écrit le rôle d’Héloïse pour Adèle Haenel, qui dévoile d’autres facettes de son talent tout en restant fidèle à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Céline Sciamma signe là un mélo de la plus belle eau, à la fois ardent et apaisé. Une œuvre de la maturité comme on dit, sensible et ambitieuse, tendre et cruelle comme l’amour peut l’être.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un très joli film jalonné de fulgurances esthétiques mais où la mise en scène, incroyablement corsetée, bataille sans cesse avec l’épanouissement de la sensualité. Adèle Haenel et Noémie Merlant impressionnantes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le temps de scènes sensuelles mais jamais provocantes, les corps s’enflamment sans s’exhiber. Les deux actrices maîtrisent leur jeu tout en retenue et font monter à l’unisson l’émotion. Pour un final d’une rare intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
La retenue des actrices pendant les premières séquences prend alors son sens : l’épanouissement de leurs personnages touche à la métamorphose. Adèle Haenel, qui paraissait presque une enfant, prend une autorité qui tient aussi bien à l’intelligence fulgurante de son personnage qu’à son rang (si active que soit son imagination, Céline Sciamma ne perd jamais de vue le socle de la réalité) (...).
Le Parisien
par La Rédaction
« Portrait de la jeune fille en feu » appartient désormais aux plus grands films romantiques du cinéma français, porté par ce duo d'exception que sont les deux comédiennes principales qui savent comme personne mélanger la brûlure et la caresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Naissance d’une passion ponctuelle et d’un amour pérenne : avec ce Portrait... d’une impressionnante maîtrise et d’une grande subtilité, Céline Sciamma envoûte.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
[Le film] reste jusqu’au bout d’une rigueur absolue, faisant dialoguer ses plans par un montage quasi mathématique. Mais, miracle, ses coupes un peu sèches soudain se gorgent de désir, le désir qui s’instaure entre les deux femmes et qui finit par déborder du champ.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
Le film démarre sagement puis bouleverse par sa mise en scène des rapports de pouvoir et de désir inscrits dans les regards.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une réussite notable.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Beau comme un tableau.
Première
par Thierry Chèze
Céline Sciamma raconte avec une infinie délicatesse une histoire d’amour impossible, sublimée par Adèle Haenel et Noémie Merlant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Ayant épaté le festival cannois qui lui a décerné la Palme (méritée) du scénario, Portrait d’une jeune fille en feu voit plus loin encore que les conventions d’une époque étouffante et patriarcale.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Romane Carrière
Le "Portrait de la jeune fille en feu" propose le récit d'un visage devenu une image, la course effrénée, furieuse pour arracher une dernière image de l'être aimé.
Télé Loisirs
par C.P.
Un film à la mise en scène épurée, porté par des actrices remarquables.
Voici
par A.V.
Un conte moderne, vif et délicat.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Est-ce le talent de Céline Sciamma qui permet de sublimer Adèle Haenel, ou au contraire la beauté de l’actrice qui inspire la réalisatrice ? C’est précisément la question qui est posée à travers la relation entre une peintre et son modèle. Et le résultat est stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Par ses lenteurs, sa préciosité et une certaine prétention, ce huis clos féminin peut fasciner ou décourager. Restent quand même de très belles images...
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans ce gynécée coupé du monde, siège d’une passion homosexuelle cachée, Céline Sciamma passe au crible les multiples aspects de l’oppression patriarcale : mariage contraint, avortement clandestin, intimité honteuse, accès interdit au grand art, etc. En cela, le prix du scénario cannois était mérité. Pour le souffle et la chair romanesques, il faudra repasser.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
D’abord un peu raide, peut-être pour symboliser les contraintes de l’époque, le film gagne peu à peu en intensité et offre de très belles scènes, notamment lorsque ces femmes entre elles se dévoilent dans l’intimité de leur chambre. Céline Sciamma est cependant moins convaincante dans la peinture de femmes du Grand Siècle que dans le portrait de celles d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Françoise Dargent
Le film est un peu théorique, plus intéressant qu’émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Critikat.com
par Thomas Lequeu
L’apparente simplicité de la mise en scène se trouve malheureusement parfois entachée d'un trop-plein de symbolisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
L’écriture filmique de ce Portrait appartient au genre tout ce qu’il y a de plus neutre du cinéma endimanché, à l’interprétation calamiteuse, plein d’hilarants détails qui tuent et de feu qui crépite très fort dans la cheminée, pour faire ambiance.
BIBA
Cet amour très pictural de deux femmes en avance sur leur époque, véritable ode à la sororité, transende le regard, la naissance du désir et la beauté du souvenir.
Bande à part
Il y a du souffle dans la visée de Sciamma, et dans son geste artistique. De l’ampleur décuplée par son travail sur la retenue et la frustration. De la maestria dans sa science de la durée. Une croyance profonde dans son art et dans sa capacité de transmission.
Elle
Grâce à ce magnifique film, Céline Sciamma s'inscrit en digne héritière de Jane Campion.
L'Express
[...] manifeste édifiant et intelligent sur la condition féminine.
Le Dauphiné Libéré
Entre peinture et littérature, une brûlante histoire d’amour.
Paris Match
Céline Sciamma signe un film magnifique sur le regard et la naissance du désir avec «Portrait de la jeune femme en feu».
Positif
La réalisation s'occupe ici de faire tressaillir les visages et de faire retentir et trembler les mots. Elle trouve les lumières (et le film confirme que Sciamma est une grande coloriste) et organise les mouvements des corps [...] afin de traduire cinématographiquement le travail du portrait.
Sud Ouest
Avec une grâce altière et la joie que donne le spectacle de la beauté transcendée, Céline Sciamma réalise une œuvre solaire où court en permanence la vive intelligence de ses personnages, leurs échanges sensuels et intellectuels, la douceur d’une sororité plus fondamentale encore que la passion.
Télérama
L’éclosion de l’amour entre deux femmes, une peintre et son modèle, en 1770. Le désir, la création, l’émancipation, filmés avec autant d’élégance que de lyrisme.
20 Minutes
Céline Sciamma propose avec « Portrait de la jeune fille en feu » un film en costumes d’époque d’une rare modernité.
CinemaTeaser
Sciamma utilise la beauté picturale de l’art classique avec l’ombre d’Orphée et d’Eurydice, Vivaldi et la superbe composition de ses cadres qui mettent en valeur les corps par un jeu de couleurs dans l’espace. Elle fabrique des images éternelles en somme, intemporelles.
Culturopoing.com
Céline Sciamma confirme qu’elle est une réalisatrice talentueuse, notamment quand il s’agit d’exprimer visuellement l’art de capter l’instant et de restituer le souvenir. À ce titre, Portrait de la jeune fille en feu est autant un film sur la passion amoureuse qu’un film sur l’artiste témoin de son temps ; et, ainsi que le montre la scène finale, autant un film sur le temps perdu que sur le temps retrouvé.
Ecran Large
Avec une intelligence de chaque instant, Céline Sciamma interroge la nature de la passion amoureuse et la question du regard au cinéma. Elle livre une romance réflexive de prime abord, un geste de mise en scène et d'écriture formidablement abouti.
L'Humanité
Céline Sciamma a écrit le rôle d’Héloïse pour Adèle Haenel, qui dévoile d’autres facettes de son talent tout en restant fidèle à elle-même.
La Septième Obsession
Céline Sciamma signe là un mélo de la plus belle eau, à la fois ardent et apaisé. Une œuvre de la maturité comme on dit, sensible et ambitieuse, tendre et cruelle comme l’amour peut l’être.
La Voix du Nord
Un très joli film jalonné de fulgurances esthétiques mais où la mise en scène, incroyablement corsetée, bataille sans cesse avec l’épanouissement de la sensualité. Adèle Haenel et Noémie Merlant impressionnantes.
Le Journal du Dimanche
Le temps de scènes sensuelles mais jamais provocantes, les corps s’enflamment sans s’exhiber. Les deux actrices maîtrisent leur jeu tout en retenue et font monter à l’unisson l’émotion. Pour un final d’une rare intensité.
Le Monde
La retenue des actrices pendant les premières séquences prend alors son sens : l’épanouissement de leurs personnages touche à la métamorphose. Adèle Haenel, qui paraissait presque une enfant, prend une autorité qui tient aussi bien à l’intelligence fulgurante de son personnage qu’à son rang (si active que soit son imagination, Céline Sciamma ne perd jamais de vue le socle de la réalité) (...).
Le Parisien
« Portrait de la jeune fille en feu » appartient désormais aux plus grands films romantiques du cinéma français, porté par ce duo d'exception que sont les deux comédiennes principales qui savent comme personne mélanger la brûlure et la caresse.
Les Fiches du Cinéma
Naissance d’une passion ponctuelle et d’un amour pérenne : avec ce Portrait... d’une impressionnante maîtrise et d’une grande subtilité, Céline Sciamma envoûte.
Les Inrockuptibles
[Le film] reste jusqu’au bout d’une rigueur absolue, faisant dialoguer ses plans par un montage quasi mathématique. Mais, miracle, ses coupes un peu sèches soudain se gorgent de désir, le désir qui s’instaure entre les deux femmes et qui finit par déborder du champ.
Libération
Le film démarre sagement puis bouleverse par sa mise en scène des rapports de pouvoir et de désir inscrits dans les regards.
Marianne
Une réussite notable.
Ouest France
Beau comme un tableau.
Première
Céline Sciamma raconte avec une infinie délicatesse une histoire d’amour impossible, sublimée par Adèle Haenel et Noémie Merlant.
Rolling Stone
Ayant épaté le festival cannois qui lui a décerné la Palme (méritée) du scénario, Portrait d’une jeune fille en feu voit plus loin encore que les conventions d’une époque étouffante et patriarcale.
Transfuge
Le "Portrait de la jeune fille en feu" propose le récit d'un visage devenu une image, la course effrénée, furieuse pour arracher une dernière image de l'être aimé.
Télé Loisirs
Un film à la mise en scène épurée, porté par des actrices remarquables.
Voici
Un conte moderne, vif et délicat.
aVoir-aLire.com
Est-ce le talent de Céline Sciamma qui permet de sublimer Adèle Haenel, ou au contraire la beauté de l’actrice qui inspire la réalisatrice ? C’est précisément la question qui est posée à travers la relation entre une peintre et son modèle. Et le résultat est stupéfiant.
Femme Actuelle
Par ses lenteurs, sa préciosité et une certaine prétention, ce huis clos féminin peut fasciner ou décourager. Restent quand même de très belles images...
L'Obs
Dans ce gynécée coupé du monde, siège d’une passion homosexuelle cachée, Céline Sciamma passe au crible les multiples aspects de l’oppression patriarcale : mariage contraint, avortement clandestin, intimité honteuse, accès interdit au grand art, etc. En cela, le prix du scénario cannois était mérité. Pour le souffle et la chair romanesques, il faudra repasser.
La Croix
D’abord un peu raide, peut-être pour symboliser les contraintes de l’époque, le film gagne peu à peu en intensité et offre de très belles scènes, notamment lorsque ces femmes entre elles se dévoilent dans l’intimité de leur chambre. Céline Sciamma est cependant moins convaincante dans la peinture de femmes du Grand Siècle que dans le portrait de celles d’aujourd’hui.
Le Figaro
Le film est un peu théorique, plus intéressant qu’émouvant.
Critikat.com
L’apparente simplicité de la mise en scène se trouve malheureusement parfois entachée d'un trop-plein de symbolisme.
Cahiers du Cinéma
L’écriture filmique de ce Portrait appartient au genre tout ce qu’il y a de plus neutre du cinéma endimanché, à l’interprétation calamiteuse, plein d’hilarants détails qui tuent et de feu qui crépite très fort dans la cheminée, pour faire ambiance.